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[f.e.e.] |
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Il
est
3h
du
matin,
impossible
de
m’endormir,
je
tourne
dans
tous
les
sens
dans
mon
lit
cherchant
le
sommeil,
mais
rien
n’y
fait.
J’ai
encore
les
effets
euphoriques
de
ma
soirée
de
filles.
Le
vin
a
coulé
à
flots
ce
soir.
Lorsque
je
suis
dans
cet
état
enivrant,
mon
esprit
est
plus
imaginatif,
il
se
crée
des
scénarios,
je
repense
à
la
fois
où
mon
mec
m’avait
fait
éjaculer
pour
la
1re
fois
dans
sa
chambre,
le
souvenir
des
images
de
cette
après-midi-là
est
gravé
dans
ma
mémoire
à
jamais.
Wow!
Je
me
souviens
encore
de
l’effet
que
les
orgasmes
reçus
cette
journée-là
avaient
eu
sur
moi.
J’en
avais
été
totalement
chamboulée,
accrochée
sur
la
cuisse
de
mon
mec,
je
riais
et
sanglotais
comme
une
petite
fille,
j’étais
entre
deux
mondes.
Les
images
des
scènes
se
bousculaient
dans
ma
tête.
Je
commençais
à
sentir
l’envie
de
sexe
monter
en
moi,
imaginer
mon
mec
me
prendre
de
la
sorte,
faisait
grimper
mon
désir.
L’idée
me
vint
d’essayer
de
partir
à
l’exploration
de
mon
point
g,
seule
dans
mon
lit,
vêtue
de
ma
petite
nuisette
de
satin
bleu,
la
chatte
flambant
nue.
Encore
camoufler
dans
mes
couvertures,
je
glisse
mes
mains
de
chaque
côté
de
mon
corps,
je
me
caresse
doucement
imaginant
les
mains
de
mon
mec
le
faire.
Mon
esprit
divague,
je
le
vois
m’embrasser
et
me
bouffer
le
corps.
J’ondule
sous
mes
caresses,
mes
mains
passent
entre
mes
cuisses
qui
s’écartent,
mes
doigts
frôlent
le
rebord
de
ma
chatte
qui
est
déjà
humide.
D’ailleurs
ce
soir,
je
l’avais
sentie
à
plusieurs
reprises
avoir
des
secousses
de
désirs
durant
mon
souper
de
fille.
J’avais
senti
couler
sur
ma
culotte
de
la
mouille
tiède
et
en
allant
aux
toilettes
chez
mon
amie,
j’avais
pu
constater
que
ma
culotte
était
bien
mouillée
par
mon
jus.
Mes
doigts
glissèrent
sur
mes
lèvres,
ils
entrouvrent
doucement
celles-ci
pour
y
faire
pénètre
mon
index
puis
mon
majeur,
ils
glissent
facilement
à
l’intérieur
des
chairs
moites.
Je
frotte
les
rebords
de
mon
vagin
à
la
recherche
de
la
petite
boursouflure,
à
la
quête
de
mon
point
g.
Je
me
pénètre
de
la
sorte
pendant
quelques
secondes,
j’entends
ma
mouille
clapper
entre
mes
doigts,
je
ruisselle
de
jus.
Ma
main
droite
se
pose
sur
le
dessus
de
mon
clitoris,
je
le
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presse légèrement,
puis à
l’aide
de mon majeur
et de mon
index, je
le frotte
vigoureusement.
Je fais
des mouvements
circulaires
avec mes
deux doigts
tout en
pressant
bien sûr
sa tête.
Les doigts
de ma main
gauche sont
encore dans
ma chatte,
ils fouillent,
ils pressent
les parois
vaginales,
ils trouvent
enfin la
petite surface
rugueuse.
Je frotte
la zone
de plus
belle, je
ramène
mes doigts
en faisant
des pressions
de va-et-vient.
Je sens
la surface
gonfler
sous mes
doigts,
plus je
la stimule
plus elle
gonfle et
en même
temps, je
continue
de masturber
mon clitoris.
Wow! À
l’aide
de mes doigts,
j’ai
enfin trouvée
la zone
dont mon
mec me parle
tant, cette
zone que
j’ai
toujours
pensée
qu’elle
n’existait
pas chez
moi. Je
sens l’orgasme
se crée
dans mon
ventre,
je le sens
prendre
de l’ampleur.
Les chatouillements
sur le clitoris
augmentent,
ils se répandent
dans la
partie interne
de celui-ci,
ils grandissent
à
sa base.

Dans
mon vagin,
mes doigts
n’arrêtent
pas de frotter
vivement
mon point
g, il est
bien gonflé,
je le sens
rond sous
mes doigts.
La sensation
d’uriner
monte petit
à
petit, mon
clito se
contracte,
je sens
l’orgasme
se frayer
un chemin
dans mon
sexe, il
est là,
il va exploser.
Je continue
la stimulation
de mon clitoris,
je veux
que mon
orgasme
explose,
je presse,
je presse
plus vite,
très
vite, encore
plus, ah
ouuiiiiii!
Il est là,
il va explos…
Non!
Rien du
tout!...
L’orgasme
est monté,
il a grossi,
puis a totalement
disparu,
comme implosé
à
l’intérieur
de mon sexe.
Que c’est
frustrant,
je lâche
mon clitoris
encore excité
de cette
montée
d’adrénaline,
mes doigts
dans mon
vagin se
sont arrêtés.
Mais je
ressens
comme un
léger
battement
qui palpite
à
l’endroit
où
ils s’amusaient
quelques
instants
plus tôt.
Je décide
de continuer
à
presser
la zone
de mon point
g, elle
est réceptive
pour quoi
ne pas essayer
de me faire
éjaculer.
J’aurais
de quoi
raconter
d’excitant
à
mon mec
et je sais
qu’il
aimerait
bien que
j’y
arrive plus
souvent
afin de
contempler
un jour
le résultat
de mes pratiques.
...»
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