À la quête de mon point g
[f.e.e.]

Alors je frotte la zone qui se regonfle aussi tôt sous mes pressions. Je me relève, je suis à présent assise sur mon lit, les jambes bien écartées. J’ai posé ma main droite sur le haut de mon pubis, pour mieux ressentir mon point g. Je presse sur mon ventre, je contracte mon vagin, mes fesses, mes abdos. Je suis en total écoute de mon corps à présent, le moindre mouvement me donne des frissons, les chatouillements se sont transformés en agacements. C’est moins agréable, mais très tolérable. Je les assume, car je les sens changer petit à petits pour des pressions de plaisirs. L’envie d’uriner revient, elle est présente, bien constante à chaque fois que mes doigts frottent mon point g. Je le sens gonfler et dodu, la sensation est bizarre, mon esprit se concentre sur l’envie d’uriner, mes abdos se contractent, je suis haletante, j'ai chaud, je respire fort. Ma main toujours sur mon ventre appuie de plus belle celui-ci pour bien le coller à la stimulation interne de mes doigts qui s’activent maintenant à un rythme rapide.

Un petit jet sort de nulle part, je n’ai rien senti venir, alors je continue la stimulation. Je frotte de plus belle, je contracte mon ventre plus fort, je force, ça monte, je sens la sensation d’un liquide qui monte vers mon clitoris. Je frotte vigoureusement, presque brutalement, je respire fort, je suis haletante. J’ai la bouche ouverte, regardant mon sexe bien écarté. Je vois mes doigts qui s’enfoncent à une vitesse diabolique, je suis en attente du liquide que je veux voir gicler. Soudain, la sensation d’uriner se relâche complètement, une vraie libération. Je vois un liquide éclabousser ma main, mes cuisses, je le sens couler entre mes lèvres. Je continue à faire jouer mes doigts dans mon vagin, le son de la mouille accompagne ceux-ci, j’entends le clapotis du liquide transparent qui n’en finit plus de sortir à présent en petits jets. J’en reçois même un peu sur le bord de mes lèvres, instinctivement, je le goûte, c’est salé. Je passe ma main, la sens et constate qu’il n’y a aucune odeur.

Ma main qui était posée sur mon ventre touche ma vulve pour sentir le jet sortir, je ne sens que celle-ci complètement mouillé comme si on avait fait couler un quelconque liquide tiède dessus. J’ai littéralement éjaculé sur mon lit. Au moment de la libération du liquide, aucun orgasme ne l’accompagna. J’en fus quelque peu déçu de la sensation, car j’espérais tellement jouir, jouir d’un orgasme intense. De plus, ma chatte réclamait encore d’être apaisée, elle réclamait jouissance.

Mes doigts ne se sont jamais arrêtés de frotter la zone pendant tout ce temps. Tellement exciter par la réussite de mon exploit, j’en avais oublié la sensation et l’agacement qui revenaient. Elles étaient de plus en plus désagréables, j’arrête de stimuler la zone de mon point g. Je retire les doigts de mon vagin imbibé de jus, frottent ceux-ci sur mon clitoris comme pour essayer de faire revenir l’orgasme perdu, mais rien n’y fait. Je ne jouirais pas ce soir.

Cette séance d’éjaculation féminine m’a laissée dans un état de calme et de plénitude. Je suis zen, malgré ma vulve qui crie à la jouissance. Je touche mon lit, il est bien trempé. Je dois retirer les deux grosses couvertures, car une grosse flaque de liquide lès ont bien souillées. Je me rendors paisiblement et tout de même très satisfaite d’avoir réussi cet exploit.

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