Plusieurs
mains se baladent sur mon corps, je
savoure ce moment et j’espère
secrètement me faire prendre
par tous ses hommes. Mon maître
me demande d’écarter
mes fesses ce que je fais, il lèche
et salive sur mon anus. Il entre un
doigt tout en me masturbant puis un
2e doigt. Une fois que mon anus est
un peu plus détendu, il entre
un plug assez large dans mon cul.
Je sais à cet instant que mon
corps ne m’appartient plus.
Dans ma chatte il y entre un gode
qui vibre à petite vitesse.
Agréable sensation, la fine
paroi de chair qui séparer
mon cul et ma chatte vibre au rythme
du gode et ce qui entraîne avec
le plug beaucoup de sensation en moi.
J’ai déjà envie
de jouir, mais je me retiens puisque
mon maître ne m’en a pas
donné la permission. On me
repousse vers l’arrière
et on m’attache les mains dans
le dos à ce qui doit être
un poteau puis on place un bâillon
dans ma bouche. On me laisse ainsi
le poteau entre mon dos et mes mains
aveugle et vibrante. Mais que se passe-t-il?
Pourquoi tous ces hommes se sont éloignés,
pourquoi y va-t-il plus personne autour
de moi. J’entends qu’il
se passe quelque chose plus loin,
mais quoi? Une femme miaule son plaisir,
je devine que ces hommes sont tous
sur elle. Et moi? Pourquoi je n’ai
rien, j’ai envie d’éclater,
mon corps ne demande qu’à
être violé, pénétré,
qui n’en peut plus d’attendre,
d’être excité,
je suis frustrée.

D’un
coup, une main s’approche,
je sais que ce n’est pas mon
maître, il m’enlève
le bâillon. Ma bouche commençait
à se rigidifier, il était
grand temps qu’on me l’enlève.
Alors que ma bouche engourdie essaye
d’articuler la première
syllabe du mot; Merci! une queue
s’introduit dans ma bouche
à m’en étouffer
et une voix m’ordonne ’’ta
gueule salope et suce’’.
Enfin! Je lèche cette queue
libératrice et la suce de
mon mieux espérant qu’elle
va me défoncer un de mes
autres trous après, mais…
moins d’une minute après,
il retire son sexe, je m’avance
la tête pour le rattraper,
mais il me prend par les cheveux
avec sa main gauche, fait basculer
ma tête vers l’arrière
et c’est un liquide chaud
qui vient m’inonder le visage,
rien de plus. Frustrée,
je comprends, j’avais seulement
servie qu’à le finir
et servie de bouche à sperme.
Puis chacun leurs tours les autres
hommes se finissent dans ma bouche
et sur mon visage. Chaque queue
ayant un goût différent
selon le trou qu’il visitait
avant. Pourquoi
l’autre femme a tout et moi
rien? J’ai le visage parsemé
de sperme, quelques gouttes tombent
de mon menton et atterrissent entre
mes seins.
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Mon
maître me caresse la nuque,
me détache et me mets à
4 pattes, le gode et le plug toujours
bien installés, il appelle
l’autre femme qui vient tout
près de moi. Il me dit ’’cette
sale chienne t’a volé
ton plaisir, maintenant je lui ordonne
de te bouffer la chatte’’.
La femme s’installe couchée
sur le dos sous moi entre mes bras
et jambes, je peux sentir l’odeur
de son sexe sous mon nez. Elle commence
à me lécher, cette
adorable petite langue docile augmente
mon plaisir, je me libère
de cette frustration diabolique.
Je lui prends les cheveux et la
diriges à mes envies, ça
devient divin. Une main enfonce
ma face sur son sexe et avec des
mouvements de va-et-vient me remplit
le visage de son jus.
La
langue de cette femme se délecte,
je mouille énormément.
Je ressens mes sécrétions
mêlées de sa salive
s’insinuer entre mes fesses.
Au moment où je tortille
et que je demande à mon maître
si je peux jouir, il demande à
l’autre femme d’arrêter,
il éteint le gode et retient
mes mains qui s’étaient
dirigées instinctivement
sur mon clitoris. ’’Pourquoi
me faites-vous ça Maître’’
lui demandais-je avec un ton suppliant.
Il me répond ’’mais
c’est pour mieux te faire
jouir petite salope’’.
Je me frotte les jambes comme pour
espérer des caresses, mon
excitation retombe quelque peu.
Il accroche une laisse après
le collier de soumise, il me traîne
sur le divan et m’écarte
avec force les jambes. Il place
le visage de l’autre femme
sur mon clitoris et lui demande
de me lécher et de boire
tout ce qui sort de mon trou. Il
m’enfonce le gode à
puissance maximale et demande à
l’autre femme de faire des
mouvements de va-et-vient, rapide,
brutaux et profonds. Il m’enlève
le plug de mon cul, il crache dedans
et m’enfonce son sexe qui
entre comme dans du beurre à
l’intérieur de mon
anus resté béant et
qui ne m’appartient plus désormais.
Mon cul moule à ce qui s’immisce
en lui, s’ouvrant, se dilatant,
acceptant sans pouvoir lutter avec
cette queue bien dure qui cherche
à se vider en lui, perforant
sans délicatesse cette partie
de mon corps la plus humiliante.
Mon maître prend bien soin
de sortir complètement de
mon anus accueillant pour mieux
le heurter, pour mieux le violer
et meurtrir cette anatomie soumise,
la mienne.
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