Me
faire lécher par cette femme
pendant que je me fais sodomiser est
déjà divin, mais le
gode vibrant, qui parfois alterne,
parfois se synchronise avec ce qui
me défonce le cul. Ça
devient surréel, j’ai
l’impression de perdre tout
contrôle de moi-même.
J’avais oublié qu’il
y avait les 3 autres hommes dans la
pièce, et un qui devait être
plus excité m’a enfoncé
sa bite dans ma bouche, sans même
que j’ai pu dire quoi que ce
soit. Il me tenait la tête m’obligeant
à le prendre tout entier. Il
utilise ma bouche comme si c’était
ma chatte ou mon cul. J’ai des
hauts le cœur, lorsqu’il
ressort je crache, il me frappe la
joue et me force à le sucer.
Mon maître voyant la scène
s’est mis à me défoncer
encore plus fort mon cul meurtri,
l’autre femme enfonce le gode
de toutes ses forces et brutalise
mon vagin. Les 2 autres hommes, voulant
participer, l’un d’eux
me malaxe les seins avec force et
l’autre prends la place de mon
maître et s’enfonce avec
énergie dans mon cul à
son tour. Leurs insultes augmentent
mon excitation déjà
maximale, mon maître se dirige
vers ma bouche et me demande de tout
avaler son sperme qui coule déjà.
Mes orgasmes s’enchaînent,
je réponds oui, lorsqu’on
me demande si je suis une chienne
docile et soumise, je réponds
oui, lorsqu’on me demande si
j’en veux plus. Une deuxième
queue s’introduit dans mon anus,
je me surprends de la facilité
avec laquelle, elle est entrée.
J’aime cette sensation que je
ne connais pas, je n’ai plus
aucun contrôle de mon corps,
j’ai l’impression que
je vais perdre conscience, je m’abandonne
complètement au plaisir. Et
tout d’un coup, je pisse d’un
jet très puissant, je jouis,
je jouis tellement fort que je ne
peux m’empêcher de crier,
je me libère enfin.
Les
hommes se retirent et l’autre
femme se fait prendre la tête
violemment, ce qui me fait perdre
mon équilibre en heurtant ma
jambe gauche et se fait ordonner de
me torcher l’anus resté
dilaté par tout ce qu’il
a accepté. Elle fourre sa langue
au maximum de ce qu’elle peut
dans mon cul et lèche l’intérieur.
|
 |
 |
|
|
Cela apaise la
sensation d’irritation, je
profite de ce moment de détente,
je me sens heureuse, détendue
et fière. Un homme tire ma
tête vers derrière,
je suis toujours en position 4 pattes,
je ressens un liquide chaud couler
sur mon visage. J’ouvre la
bouche pour mieux recevoir son urine,
c’est sur mon visage qu’il
préfère m’humilier.
J’aime ressentir cette humiliation,
je suis soumise et l’objet
de plaisir de tous ses hommes. Lorsqu’il
a fini, on tire sur ma laisse, mon
maître m’installe à
genoux devant les appuie-bras du
divan, il pose ma tête dessus
et m’attachent les mains avec
les pattes du divan. Il m’ouvre
les jambes et me demande de sortir
les fesses. Il me caresse doucement
et très sensuellement la
peau avec la lanière d’un
fouet. Je sais que le coup va tomber,
mais quand? Où? À
quelle force?
Mon
cœur se remet à palpiter
et immédiatement un liquide
s’échappe de ma vulve
et s’écoule sur mes
lèvres et mes cuisses. J’aime
cette peur, cette angoisse, cette
incapacité de connaître
mon destin, et cette lanière
qui va sous peu me pincer la peau.
Je n’ai pas le droit de parler
ni de bouger, je force ma cambrure
comme pour appeler le coup. Enfin,
un coup cinglant vient s’abattre
sur ma peau. Pourtant pas de violence,
juste ce qu’il faut pour que
je puisse supporter, mais assez
pour que je sente avec précision
le trajet sur ma peau l’objet
de ma soumission. Les caresses et
les coups s’enchaînent
et s’alternent pour mon plus
grand plaisir. À chaque coup
des souvenirs de ma soirée
me reviennent, mon excitation augmente,
je ressens encore l’envie
de me faire prendre. Je suis épuisée
et mon corps le démontre.
Les coups arrêtent, on tire
ma laisse et me force à m’allonger
sur un lit sur le dos. On m’enlève
la laisse et mon collier de soumise.
Je me demande ce qu’il m’arrivera,
je croyais avoir fait mon devoir.
Mon maître tire mes jambes
vers ma tête et il m’attache
les chevilles de chaque côté
du lit sur ce que je crois être
la tête du lit.
|
 |
 |
|