En
plein milieu de ma bouche, je fais
ballotter ma langue sur son clito
d’une vitesse assez rapide.
Sa main se reposa sur ma tête,
son corps qui s’était
relâché se cambra de
nouveau sous les lapés incessantes
de ma langue. Elle râlait constamment,
je sentis son corps se raidir soudainement
et un long et fort gémissement
sortit de sa bouche. Ses pieds s’étaient
plantés dans le matelas et
faisaient relever ses hanches prises
de convulsions. Ma langue s’était
arrêtée encore ploguée
sur son clito. Wow! Ce fut rapide
me disais-je! Son corps s’était
complètement relâché,
dû à l’orgasme
reçu. Je me relève pour
contempler mon œuvre allongée
devant moi. Elle semblait en paix,
les yeux toujours fermés, les
jambes encore grandes ouvertes, la
chatte toute luisante de salive, les
lèvres entrouvertes. Tout son
corps m’appelait, tout son corps
était là, offert à
moi, offert pour être abusé.
Je
me débarrasse de mon pantalon
avec empressement et viens m’installer
entre ses jambes. Ce que j’adore
par-dessus tout, c’est qu’après
la jouissance que je lui donne ainsi,
c’est d’enfouir ma queue
dans sa chatte encore toute chaude,
humide et palpitante du plaisir qu’elle
a reçu. J’étais
bien bandé d’excitation,
dans ma main droite, ma verge était
énorme, ma peau était
très tendue sous la pression
du désir.
Elle,
les yeux rivés sur mon pénis,
le regard avide de la sentir pénétrer
en elle, suivait le parcourt de mon
sexe gonflé s’approchant
de son antre vaginal. Elle se redressa
d’un coup pour bien la regarder.
Elle attendait, impatiente. Je la
posai lentement entre ses lèvres
et y fit glisser mon gland reluisant
de sa mouille vers son intérieur.
L’entrée de sa chatte
m’attendait comme une bouche
réclamant sa gâterie.
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