Scène érotique #1 : Une visite fort agréable
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Night of slow

Je lâche le côté droit de sa jupe et avec empressement faufile ma main sous son fessier pour saisir sa petite culotte à pleine main et la tirer le long de ses jambes qui se referment pour laisser passer le petit morceau de tissus. Une fois la petite culotte retirée, ses jambes s’entrouvrirent lentement pour tomber nez à nez sur cette vulve d’un rose pétant et humide. Le spectacle de cette vulve et de ses lèvres s’ouvrant telles des pétales devant moi était sublime. Je jetai un léger coup d’œil vers le visage de la petite dame, elle avait les yeux fermés, la bouche entrouverte et je pouvais lire sur son visage « l’attente du moment tant espéré est enfin arrivée ». Je plonge ma langue directe entre ses lèvres et la balance de haut en bas comme pour me faufiler le plus loin possible vers l’intérieure de sa chatte. Un sursaut de surprise s’est dessiné sur son corps pris de surprise sous ma gourmandise. Ma langue nage à travers elle pour la goûter, ma bouche s’est totalement collée à sa vulve telle une sangsue, son odeur m’enivre complètement. Les mains encore sur sa ceinture de jupe, la tirant toujours contre ma bouche, je sens son corps se cambrer sous la douce torture que ma langue offre à son antre vaginal. Les râlements se font entendre déjà assez fort.

Une main vient de se poser sur ma tête et fermement me plaque la bouche contre sa vulve, comme si elle voulait sentir ma langue tout au fond d’elle. Me relevant la tête, je glisse ma langue sur son clitoris et tout doucement la caresse lentement de plusieurs lapés. Haaaaaaaaaaaa! Ce soupir de soulagement qu’elle vient de laisser fuir telle une bénédiction que ma langue lui offre, vient soudain la mettre dans un tout autre état. Toujours les cuisses grandes ouvertes devant moi, je sens son corps épris de spasmes. Me remettant à la tirer vers moi, j’entoure complètement son clitoris de mes lèvres qui forment une grosse ventouse autour de son petit objet de plaisir.

En plein milieu de ma bouche, je fais ballotter ma langue sur son clito d’une vitesse assez rapide. Sa main se reposa sur ma tête, son corps qui s’était relâché se cambra de nouveau sous les lapés incessantes de ma langue. Elle râlait constamment, je sentis son corps se raidir soudainement et un long et fort gémissement sortit de sa bouche. Ses pieds s’étaient plantés dans le matelas et faisaient relever ses hanches prises de convulsions. Ma langue s’était arrêtée encore ploguée sur son clito. Wow! Ce fut rapide me disais-je! Son corps s’était complètement relâché, dû à l’orgasme reçu. Je me relève pour contempler mon œuvre allongée devant moi. Elle semblait en paix, les yeux toujours fermés, les jambes encore grandes ouvertes, la chatte toute luisante de salive, les lèvres entrouvertes. Tout son corps m’appelait, tout son corps était là, offert à moi, offert pour être abusé.

Je me débarrasse de mon pantalon avec empressement et viens m’installer entre ses jambes. Ce que j’adore par-dessus tout, c’est qu’après la jouissance que je lui donne ainsi, c’est d’enfouir ma queue dans sa chatte encore toute chaude, humide et palpitante du plaisir qu’elle a reçu. J’étais bien bandé d’excitation, dans ma main droite, ma verge était énorme, ma peau était très tendue sous la pression du désir.

Elle, les yeux rivés sur mon pénis, le regard avide de la sentir pénétrer en elle, suivait le parcourt de mon sexe gonflé s’approchant de son antre vaginal. Elle se redressa d’un coup pour bien la regarder. Elle attendait, impatiente. Je la posai lentement entre ses lèvres et y fit glisser mon gland reluisant de sa mouille vers son intérieur. L’entrée de sa chatte m’attendait comme une bouche réclamant sa gâterie.

Night of slow
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