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[f.e.e.] |
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«
Oh
que
oui,
il
ne
va
pas
en
revenir
de
son
fiasco
».
Je
continuais
mon
délire
mental
pendant
qu’il
s’affairait
sur
mon
corps
de
plus
en
plus
sensuellement…
«
De
toute
façon,
c’est
moi
qui
vais
le
faire
jouir
après,
car
j’ai
de
plus
en
plus
hâte
de
grimper
sur
sa
queue
en
ce
moment…
»
«
Ouf!
Ses
caresses
commencent
à
être
vraiment
très
excitantes,
ma
chatte
mouille
de
plus
en
plus.
»
En
effet,
les
caresses
du
Monsieur
commençaient
à
prendre
le
dessus
sur
ma
raison,
j’en
venais
même
parfois
à
en
perdre
le
fil
dans
ma
tête.
Je
me
ressaisissais,
car
j’avais
également
l’envie
de
lui
prouver
à
quel
point
il
aurait
tort.
«
Nous
les
femmes
ne
sommes
pas
toutes
faciles,
nous
ne
sommes
pas
toutes
faites
pareil.
Toutes
les
femmes
ne
peuvent
pas
toutes
jouir
grâce
à
lui???
Moi
entre
autres,
non
mais???
Quel
vantard!
»
Je
fis
taire
ma
tête
quelques
instants
pour
apprécier
sa
langue
qui
était
venue
se
poser
sur
le
côté
de
mon
sein
gauche.
«
Oh!
Que
cette
sensation
était
agréable!
»
Mon
corps
se
tordait
de
lui-même,
malgré
moi.
C’est
comme
si
mon
corps
parlait
à
sa
langue,
à
sa
bouche.
Il
lui
disait;
«
Vas-y
embrasse-moi!
Mange-moi!
Encore!
Oh
oui!
Là,
juste
là!
Aaaah!!!
Un
son
de
satisfaction
sorti
de
ma
propre
bouche,
j’en
fus
moi-même
étonnée.
Ma
tête
s’était
légèrement
penchée
vers
l’arrière,
j’appréciais
le
moment.
Il
n’y
avait
rien
à
redire
«
le
fendant
»
n’avait
pas
menti
sur
le
fait
qu’il
savait
s’y
prendre
question
caresses
et
préliminaires.
La
seule
personne
que
je
connaissais
qui
pouvait
prodiguer
de
tels
caresses
et
bien,
c’était
moi!
Oui,
oui,
oui,
juste
moi!

Il
m’avait
laissé
toute
habiller,
comme
pour
le
premier
soir,
il
me
mangeait
le
corps
par-dessus
mes
vêtements
depuis
maintenant
plusieurs
minutes.
Le
voilà
à
présent
qui
me
retire
ma
petite
culotte…
Hum!
Va-t-il
oser?
Me
demandais-je?
Rares
étaient
les
hommes
que
j’avais
laissé
aller
manger
mon
intimité.
J’eus
un
réflexe
de
croiser
les
jambes
en
signe
de
désapprobation.
Je
fis
signe
que
non
de
la
tête,
mais
il
n’en
tient
pas
compte.
Il
me
décroise
les
cuisses
pour
mieux
y
enfouir
sa
tête
entre
celles-ci.
Il
ne
me
mange
pas
la
vulve,
non
bien
au
contraire
il
en
découvre
les
contours,
sa
langue
passe
sur
la
chair
fine
de
mon
entre
cuisses
complètement
dénudées.
J’ai
la
chatte
qui
commence
à
me
tirailler
de
l’intérieur,
je
suis
surprise
d’ailleurs
de
la
sentir
en
vie.
Cet
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homme
a le don
de faire
monter l’excitation.
Toujours
allongée
sur le dos
la tête
penchée
vers l’arrière,
je laisse
cet amant
s’occuper
de moi.
Mais mon
cerveau
revient
à
la charge.
«
Alors comme
cela, tu
aimes ce
qu’il
te fait
hein? Hum!
Peut-être
qu’il
sera bon
après
aussi! Ouais!
Je ne pense
pas, ce
serait un
vrai miracle!
Attendons
voir, de
toute façon,
il a l’air
à
vouloir
prendre
son temps…
»

«
Ahhhhhh!
Mon Dieu
que c'est
bon! J’adore
ce qu’il
me fait!
»
Soudain,
il se relève,
il défait
les boutons
de son jean,
je ne pouvais
pas décrocher
mes yeux
de sa hampe,
j’avais
hâte
de voir
cette queue
qu’il
disait si
incroyable.
J’étais
en attente,
il avait
un petit
air dans
les yeux
qui voulait
dire; «
Tu n’es
pas prête?»
Il sortit
lentement
sa belle
grosse queue,
elle semblait
lourde,
il la fit
retomber
à
l’extérieur
de son jean,
puis descendit
celui-ci
sur ses
larges cuisses
musclées.
Wow! J’étais
en totale
admiration.
J’adore
les hommes
aux cuisses
larges,
musclées,
j’aime
aussi les
fesses fermes
et dodues.
Wow! Quel
spectacle!
Ce que je
voyais devant
moi était
parfaitement
ce que j’aimais.
Je me disais
que j’étais
chanceuse
d’être
dans le
lit de cet
homme. Que
dis-je?
De ce mâle!
Une bouffée
de chaleur
traversa
mon corps
et vint
exciter
mon clitoris.
La vue de
ce corps
de mâle
m’avait
totalement
allumée.
J’avais
hâte
à
présent
de pouvoir
le toucher,
le manger,
le sucer.
Oh oui!
Le sucer!!!
À
voir cette
grosse et
large queue
qui pendait
entre ses
cuisses,
je me disais
que j’allais
vraiment
me régaler.
Je fis un
mouvement
pour m’approcher
de lui afin
de pouvoir
moi aussi
lui montrer
de quoi
j’étais
capable.
Mais mes
avances
furent rapidement
stoppées
par notre
mâle
Alpha. Il
avait décidé
qu’il
garderait
le contrôle.
Il avait
déjà
tout prévu,
tout calculé
dans sa
tête
et aussi
la façon
dont la
soirée
se déroulerait.
Il me replaça
rapidement
sur le lit,
tourna mon
corps sur
le côté,
j’étais
en position
du fœtus.
J’étais
là,
à
attendre
qu’il
daigne me
pénétrer
enfin de
sa belle
verge. Il
s’approcha
de mes fesses,
lès
écartèrent
légèrement
et fit glisser
son gland
sur ma chatte.
Je sentis
la peau
douce de
sa queue
frotter
les lèvres
humides
de mon sexe.
Cette proximité
intime m’excita
sur le champ.
...»
Suite
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