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[f.e.e.] |
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Mais,
mais
c’est
quoi….
Ahhhhhahhh!
C’est
quoi
ça???"
Mon
vagin
se
contractait,
mon
corps
voulait
crier.
Les
chatouillements
s’étaient
amplifiés.
Ils
grandissaient
telle
une
toile
d’araignée
sur
mes
parois
vaginales.
Le
plaisir
montait
à
une
allure
incroyable.
"Celui-là,
je
ne
pourrais
pas
le
stopper!"
Me
disais-je.
C’était
vraiment
trop
bon.
"Ohhhhh!
Ahhhhhh!
Ohhhh!"
Ma
voix
résonnait
dans
ma
tête,
je
n’en
revenais
pas
de
m’entendre
gémir
de
la
sorte.
Lui,
il
était
toujours
bien
placé
à
genoux,
le
pubis
qui
tapait
sur
mes
fesses.
Ses
larges
mains
pressaient
mes
hanches,
elles
appuyaient
mon
bassin
dans
le
matelas.
Mon
dos
s’était
cambré
par
le
plaisir
que
mon
corps
éprouvait.
Il
caressait
lentement,
mais
très
profondément
son
gland
sur
le
fond
de
mon
vagin.
Ma
chatte
voulait
exploser,
elle
voulait
jouir.
C’était
incroyable...
Waaaaa!
Il
allait
réussir
et
je
ne
pouvais
rien
y
faire.
"Oh
mon
Dieu!"
"Mais
voyons
pourquoi
vouloir
tant
faire
que
cette
merveilleuse
sensation
s'arrête!
Tu
es
folle
ma
belle,
tu
es
complètement
folle
de
ne
pas
vouloir
cette
jouissance.
Allez,
laisse-toi
aller!
Regarde,
tu
n’as
même
pas
besoin
de
faire
semblant
cette
fois-ci,
ton
corps
frémit
de
plaisir,
ta
bouche
crie
d’elle-même
la
jouissance."
"Wow!
J’allais
enfin
jouir,
jouir
sans
avoir
besoin
de
me
toucher
ou
d’user
de
stratagème
quelconque."

Il
continuait
son
petit
manège,
me
pénétrant
de
plus
en
plus
fort,
de
plus
en
plus
profond
et
de
plus
en
plus
appuyez.
Oh
oui!
J’aimais
cela!
Je
commençais
à
divaguer,
mon
cerveau
ne
répondait
plus,
il
partait
en
vrille,
il
délirait.
J’étais
comme
sous
l’effet
d’une
drogue,
je
ne
comprenais
pas
ce
qui
m’arrivait.
Soudain
dans
une
explosion
de
sensations,
des
milliers
de
petits
chocs
électriques
se
rependirent
dans
tout
l’intérieur
de
mon
vagin.
Ma
bouche
s’ouvrit,
ma
tête
se
cambra
vers
l’arrière,
je
venais
de
perdre
le
total
contrôle
de
la
soirée,
j’avais
perdu
le
total
contrôle
de
mon
corps.
"Tu
m’as
eue!
Tu
m’as
eue!"
Lui
soupirais-je
dans
un
dernier
souffle.
L’orgasme
fut
violent,
il
fit
tordre
mon
corps
tout
entier,
les
chocs
électriques
se
changèrent
en
engourdissements
qui
parcoururent
tout
mon
corps,
de
l’intérieur
de
mon
vagin,
jusqu'à
mon
visage
et
venaient
mourir
sur
les
pointes
de
mes
orteils.
Je
n’en
revenais
tout
simplement
pas.
Mais
chose
encore
plus
bizarre,
c’est
que
je
restais
là,
inerte,
dans
les
vapes,
comme
morte.
"Qu’est-ce
que
tu
m’as
fait?"
"Qu’est-ce
que
tu
m’as
fait?"
Lui
disais-je,
toujours
droguée
de
l'effet
que
m'a
procuré
cet
orgasme.
Impossible
de
me
lever,
impossible
de
bouger
un
seul
de
mes
petits
doigts
ou
même
un
bras,
c’était
comme
s’il
m’avait
administré
une
dose
de
venin.
La
panique
me
prit.
Je
gardais
les
yeux
fermés
pour
ne
pas
montrer
ma
surprise,
j’attendais
patiemment
que
cet
effet
de
paralysie
s’estompe.
Je
me
trouvais
tellement
ridicule.
"Que
va-t-il
penser
de
moi?
Je
viens
trop
facilement,
moi
qui
suis
tellement
difficile
à
faire
jouir.
Il
ne
me
croira
plus
jamais,
j’en
suis
certaine.
Il
va
vite
se
lasser
de
moi.
Je
ne
suis
plus
un
défi…
Il
m'a
eu,
s’est
fini
next."quelque
chose
de
magnétisant,
je
ne
sais
pas
pour
lui
et
s’il
lit
ceci
il
dirait
"Ah!
vous
les
filles
c'est
dans
votre
tête
tout
ça."
Mais
moi,
ce
n’était
pas
dans
ma
tête,
c'était
dans
mes
pores.
Je
sentais
un
champ
magnétique,
comme
une
énergie
flotter
autour
de
moi...
"Là,
il
est
en
train
de
dire
c’est
normal
c’est
l’effet
que
je
provoque."
Encore
aujourd’hui
je
peux
là
sentir
lorsque
je
suis
avec
lui.
Ce
soir-là
toujours
assise
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sagement
sur le coin
de son lit,
il s'approcha
soudain
vers moi
et m'embrassa.
Timide tout
d'abord,
mes lèvres
se collèrent
aux siennes,
puis plus
nos bouches
se mélangeaient
plus je
devenais
gourmande
de sa langue
et de ses
lèvres.

"Oh
mon Dieu!
Vais-je
enfin redevenir
normal,
c’est
quoi cette
paralysie,
j’ai
l’air
tellement
stupide
inerte comme
cela."
Il me regardait,
un petit
sourire
de triomphe
au coin
des lèvres.
Il avait
réussi
ce dont
presque
personne
n’avait
réussi
depuis longtemps.
Une grande
frustration
monta en
moi, je
me sentais
ridicule
à
ses yeux,
morte dans
son lit,
moi la grande
parleuse,
c’était
moi qui
lui donnais
raison,
c’était
mon ego
qui mangeait
la claque.
En plus,
le comble,
c’est
qu’il
se retira,
se leva,
me poussa
légèrement
pour me
faire tourner
sur moi-même,
mon corps
roula sur
le dos,
toujours
inerte,
juste mon
cerveau
était
semi-conscient.
Je remarquais
sa queue
à
peine bandée,
il n’avait
même
pas joui
et il ne
jouirait
pas non
plus ce
soir-là.
Il
me laissa
là,
seule dans
son grand
lit et parti
prendre
une douche.
J’aurais
voulu me
cacher à
dix mille
lieux sous
terre que
de rester
dans cette
position.
Ne rien
pouvoir
faire, ne
pas pouvoir
lui montrer
de quoi
moi aussi
j’étais
capable,
prouver
mes dires.
Puis petit
à
petit, le
souvenir
de la miraculeuse
jouissance
me revint
en mémoire,
ma chatte
palpitait
à
nouveau.
"Wow!
J’ai
joui, j’ai
joui"
Me répétais-je.
Ce soir-là,
je me suis
endormie
profondément
dans son
grand lit.
Je n’étais
pas au bout
de mes surprises
avec cet
homme, car
cette nuit-là
n’était
que le début
de la découverte
de mon corps.
Je me rendis
compte à
quel point
je ne connaissais
pas du tout
ce corps
qui est
le mien
et toutes
ses capacités
orgasmiques
comme je
le pensais,
comme je
lui disais
d’ailleurs.
Après
cette première
fois, je
me demandais
si cet orgasme
était
le fruit
d’une
fâcheuse
coïncidence
pour moi
ou une chance
unique que
le petit
monsieur
avait eu.
Je me demandais
si ce serait
encore comme
cela la
prochaine
fois. Et
bien les
réponses
à
toutes ces
questions,
j’allais
les découvrir
dans un
futur très
rapproché
qui allait
me faire
découvrir
toutes les
facettes
de ce fendant.

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