Titre
: Pour mettre fin à
cette abstinence |
 |
|
Arrivée
dans sa demeure, je
m'installai dans le
salon et regardai une
photo dans laquelle
on distinguait son mec
tenant leurs fils dans
ses bras. Un malaise
me prit et la pensée
que son mec rentre plus
tôt que prévu
me vint à l'esprit
même s’il
était plus de
3h du matin. |
 |
|
|
Je
suis avec cet homme
à la maison
et je me surprends
de la facilité
que j'ai à
commettre l'adultère
cette nuit-là.
En réalité
je m'en fous éperdument.
J'ai des besoins,
des sensations à
combler et cela faisait
longtemps que j'attendais
le bon moment, puis
surtout une personne
qui me plaise vraiment.
Ces derniers mois,
je les ai passés
avec des envies intenses
et presque incontrôlables,
car ma chatte en chaleur
voulait être
apaisée. J'ai
passé des nuits
seule à désirer
me faire prendre,
sentir une queue en
moi, mais mon mec
ne me désirait
plus. Je me réveillais
souvent des nuits
entières en
sueur, à cause
des rêves mouillés
qui me laissaient
dans tous mes états.
Je passais des jours
éprise de désir
incontrôlable
de me satisfaire que
j'ai dû faire
taire à maintes
reprises, mais cela
ne pouvait me satisfaire.
J'avais le goût
d'être touché,
le goût de la
chair, le goût
de me sentir désirable,
le goût de vivre.
|
 |
|
|
|
Elle
vint me chercher au
salon, me prit la main
et m'entraîna
dans sa chambre. Elle
avait revêtu une
belle longue robe de
chambre à demi
transparente, j'adorais.
J'étais là
pour elle, j'avais succombé
pour lui faire plaisir,
moi je ne m'attendais
à rien, c'était
à elle de me
surprendre, si surprise
il y avait. |
 |
|
 |
|
|
|
|
|
Nous
étions debout sur le
côté de mon lit,
le même lit où
j'avais eu tant de plaisir à
explorer avec mon mec dans le
passé et là, j'étais
prête à le souiller
avec cet inconnu pour apaiser
ma soif. Il était très
grand et cela m'excitait. Il
dû se pencher pour que
je puisse passer mes bras autour
de son cou en me mettant sur
la pointe des pieds. Je l'embrassais
avec avidité, comme voulant
boire de sa bouche. Cela m'avait
tellement manqué et il
embrassait très bien,
ses lèvres étaient
douces, sa langue était
en harmonie avec la mienne. |
 |
|
|
|
Je
la soulevai dans mes bras et
l'installa dans le lit. Nous
continuons nos embrassades.
Je me mis à caresser
son corps à travers cette
longue robe de chambre. J'embrassais
sa nuque, ses bras qui étaient
à découvert, mordillais
sa chair sur sa robe. Ma bouche
passait partout, sur ses flancs,
son ventre, son pubis, ses cuisses
et ses seins où je m'attardais
un peu plus. Je la retournais
lentement pour avoir ses fesses
à ma portée, je
plaçais mes deux mains
sur chacune de ses fesses pour
les mordiller tout en les écartant
pour avoir accès à
son entre fesses. |
 |
|
|
Toutes
ces petites morsures m'excitaient,
ma chatte et mon clitoris s'étaient
réveillés et me
torturais de douleurs. Une douleur
qui demande d'être apaisée
par n'importe quels touchers.
J'aimerais tant qu'il lès
fasse taire une fois pour toutes!
Il s'éternisait sur mes
fesses et descendait vers mes
jambes qu'il goûtait jusqu'à
mes mollets. |
 |
|
 |
|