Pour mettre fin à cette abstinence
 
[f.e.e.]
 
 
Night of slow
Titre : Pour mettre fin à cette abstinence
Je venais de prendre ses hanches dans mes mains et la ramena sur ma queue. Elle râlait d’une manière incontrôlée à chaque coup de verge qui la pénétrait. Ses jambes que je venais de lâcher n’arrêtaient pas de bouger dans tous les sens, me frottant les bras sans arrêt. Elle râlait, râlait sans cesse et d’un coup ses pieds venaient se poser sur ma poitrine et me repoussaient. Ma verge sortit de son vagin, comme si elle voulait s’échapper. Je lui pris les jambes qui ballottaient toujours incontrôlable et la tira vers moi. Avec empressement et excitation, je la lui "réenfilai" dans sa chatte que je trouvai de plus en plus bonne.
Elle râlait toujours et encore une autre fois, me repoussa de ses jambes. Cela m’excitait grave, ses pieds, ses jambes ballottaient sans cesse, ses râlements qui n’en finissaient plus, ses "fuck face" provoqués par toutes ses sensations me rendaient tellement sensible. J’étais bombardé d’informations visuelles. Je n’avais jamais rien entendu de tel, comme si elle était constamment en train de chercher son souffle. Je n’avais jamais vu des jambes bouger ainsi, comme si chacun de mes coups de reins était trop profond pour elle et qu’elle sentait le besoin de me repousser. Pourtant je n’allais pas vite et non plus avec force. Mais ce spectacle, car croyez-moi s’en était tout un pour mes sens, me faisait littéralement capoter. Tout ce dont j’adorais contempler lors d’une baise était amplifié sous mes yeux et mes oreilles. Ma queue frissonnait de trop d’excitation, mon gland me chatouillait continuellement. Je savais que je ne pourrais tenir, s’en était trop pour moi, même avec le contrôle que j’avais. Je n’en pouvais plus…

Il était toujours en moi et ce qu’il me faisait me rendait dingue. Il m’excitait, ma vulve était pétillante de sensations. Sa queue était longue et énorme en moi, je pouvais la sentir cogner à la porte de mon utérus. Les sensations étaient d’une puissance telle que mes jambes ballottaient de partout. Je râlais comme une folle, car mon intérieur rempli de cette grosse queue bien dure, bien longue frissonnait de sensations et ma chatte était avide de plaisir. Il me tenait par les reins et me ramenait sans cesse sur sa grosse queue. Ma chatte en était totalement pleine. Mes parois étaient bien relâchées pour l’accueillir, il glissait dans ma chatte qui en était folle de plaisir. Mes jambes ne cessaient toujours pas de ballotter dans tous les sens. Je ne pouvais m’empêcher de râler, cela faisait longtemps que je n’avais eu une queue en moi.

Les sensations étaient trop fortes. Mes jambes étaient hors contrôle et vint une fois de plus se positionner sur sa poitrine, ma chatte n’en pouvait plus, fallait que je l’expulse hors de moi pour avoir un moment de répit. Je le poussai et il sortit de ma chatte. Je sentis aussitôt les parois de mon vagin se contracter plusieurs fois. J’étais tellement excité. Il me prit les hanches de ses deux mains fermes et me ramena sur sa queue. J’ai râlé de plus belle, c’était bon, ma chatte subissait contraction sur contraction. Je voulais jouir de lui. Parmi les mouvements et les sensations que subissait ma chatte, je sentis sa queue frissonner et convulser en moi. Il se retira brusquement et descendit lentement embrasser mon corps et alla manger ma chatte. Je savais qu’il venait de jouir, jouir d'une jouissance silencieuse…
Night of slow
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