Titre
: Pour mettre fin à
cette abstinence |
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Ma
queue, dans cette
chatte humide, était
prise de plein de
sensations, elle allait
exploser beaucoup
trop vite. La dame
venait à peine
de se réveiller,
ce n’était
tellement pas le moment.
Toutes ces sensations
visuelles qui s’offraient
à moi me rendaient
de plus en plus excité
et de plus en plus
faible. Mon gland
épris de toutes
ces sensations dues
à ce corps
qui se trémoussait
sans cesse devant
moi, me trahissait
et me menait tout
droit vers l’agonie.
Croyant pouvoir me
permettre de lui offrir
encore deux coups
de queue, mon gland
se mit à frémir,
à s’exciter,
à convulser.
Je sortis de sa chatte
avant d’éjaculer,
mais il était
trop tard. J’étais
rendu la bouche sur
la vulve de la petite
dame et entamais un
cunnilingus. Au même
moment, je sentis
ma queue convulser
de plaisir. J’éjaculai
à grand jet
ne pouvant me retenir,
dû au fait de
voir ce petit corps
qui n’arrêtait
pas de se trémousser
dans toutes les directions;
ce qui me fit perdre
totalement le contrôle. |
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J’avais
senti sa queue en moi
qui était sous
le point d’exploser
de sa semence. Je me
disais « déjà
fini! » Il s’était
retiré pour ne
pas montrer sa perte
de contrôle. Je
lui dis de ma petite
voix "Je sais que
tu es venu!" |
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J’étais
entre ses jambes et
mon pénis venait
de me trahir, envahi
par trop d’excitation.
Il subissait encore
des secousses dues
à l’éjaculation
que je ne pus retenir.
Je n’étais
jamais venu aussi
rapidement, s’en
était gênant,
embarrassant, surtout
qu’elle ne soit
pas encore venue lors
de cette pénétration.
Et pour ajouter à
la honte, je l’entendis
dire; "Je sais
que tu es venu!"
Moment embarrassant,
mais me relevant tel
un coq, je lui répliquai
"Oui et puis!"
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J’étais
resté bandé,
son petit cirque m’avait
tellement fait de l’effet
que je n’ai jamais débandé.
J’étirai mon
corps, mon bras et saisi mon
pantalon et y pris un second
condom. Je retirai l’autre
et le balançai quelque
part. Je l’enfilai comme
si cela était normal
pour moi. Je pris encore la
petite par les jambes et la
tirai vers moi…
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Wow!
Il restait bandé, la
verge bien pointée vers
ma direction. Pour la première
fois, je la vis, elle était
énorme et longue. Il
se tira le corps et sortit un
autre condom de son pantalon,
se débarrassa du premier
et enfila le nouveau. Je me
disais; s’il est resté
bandé, c’est que
quelque part je l’excitais
vraiment. Une vague d’excitation
parcourut mon corps sur cette
pensée. J’avais
hâte qu’il replonge
en moi. Il me prit par les jambes
et me tira à nouveau
vers lui, plaça son sexe
sur ma vulve et d'un coup de
reins y pénétra.
Je fis le saut, ma chatte l’engloutit
au complet jusqu’à
la garde. Il me donna quelques
coups de queue et à nouveau
l’excitation monta en
moi. Je râlais comme cherchant
à trouver de l’air
pour respirer, mes jambes balançaient
dans le vide. Il déplaça
ses bras et me prit les cuisses
avec force pour les immobiliser
contre son torse. La cadence
de la pénétration
venait de changer, il venait
d’accélérer.
Il me prenait avec force, il
me labourait la chatte. Je me
mis à crier de sensations,
mes jambes tremblaient, mes
mollets balançaient dans
le vide. Il ravageait ma chatte
de ce rythme rapide qui me donnait
l’envie d’éclater
sur sa grosse queue. Le temps
me semblait long, j’avais
l’impression que cela
faisait un bon dix minutes sans
arrêt que ma chatte prenait
sa queue. Je n’arrêtais
plus de crier, je la sentais
monter, l’orgasme que
j’attendais tant était
là, au bout de sa queue. |
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