Pour mettre fin à cette abstinence
 
[f.e.e.]
 
 
Night of slow
Titre : Pour mettre fin à cette abstinence
Elle soupirait, râlait, tous les sons possibles sortaient de sa bouche. L'entendre sous cet effet me faisait tellement bander. Je la léchais de plus en plus vite, mon doigt dans sa chatte suivait la cadence. Elle était là, sous ma bouche les jambes bien écartées, toute une vue! J'apercevais ses "fuck face", que c'était joli! Sa bouche était grande ouverte, ses bras de chaque côté de son corps étaient placés telle une croix et ses mains agrippaient les draps. Sa hanche se mit de la partie et un long soupir sortit de son fin fond. Elle râlait longuement de manière saccadée. La bouche toujours sur son clitoris, je regardais ce visage d'ange jouir sous ma langue.
Je râlais encore et encore, mes jambes et mon ventre étaient pris de convulsions. J'avais joui dans sa bouche. Cela faisait longtemps qu'un homme ne m'avait fait jouir. Je me sentais bien, tellement bien…
Je lâchai sa jambe sur le lit, l’autre était tombé tout seul. Elle était là, morte de plaisir devant moi, belle à regarder. J’enlevai mon pantalon et y sortit un condom. J’avais hâte que ma queue nage dans cette chatte mouillée. J’enfilai le condom. Elle était là, à demi consciente dû aux bienfaits de l’orgasme tant attendu.

Ma queue pénétra doucement sa cavité vaginale sans aucune résistance. Douce, humide et chaude elle était. Tranquillement, j’entamai mon va-et-vient, elle était toujours dans les vapes, moi lui tenant les jambes au niveau des chevilles, elle était bien écartée. Je continuais de la pénétrer toujours très lentement et doucement pour ne pas la sortir de son état. Je me disais; "Faudrait bien qu’elle se réveille." Alors, je laissai glisser ma queue dans sa chatte tranquillement jusqu’au fond, jusqu’à la garde. Et là, on entendit un long râlement, comme une personne qu’on venait de réanimer après une noyade.

Je venais de me réveiller, j’étais complètement ailleurs et du coup surprise d’avoir les jambes bien écartées et ce bel inconnu qui déflorait mon intimité. Ma vulve était pleine, je le sentais. Je me soulevai sur mes coudes pour regarder cette queue qui me permettrait. Ha oui! Elle était large, énorme et longue. Un long soupir sortit de mon intérieur, j’étais comblé, agréablement comblé, chaque coup de sa queue me faisait râler. Je la sentais profonde. Il déposa mes jambes et me prit par la taille, me tira vers lui. Sa queue venait me chatouiller mon utérus. Je n’arrêtais pas de râler. J’avais une queue en moi, une très grosse queue à l’intérieur de mes entrailles.
Night of slow
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