Et pourtant il était si adorable
[f.e.e.]

Ses jambes eurent raison des miennes et finirent par écarter mes cuisses lui donnant accès à mon entre-jambes et à ma micro culotte en dentelle noire. J’étais affolé, je faisais tout pour qu’il arrête, il me dit; plus tu vas te débattre, plus je vais forcer. Des larmes coulaient le long de mon visage, je marmonnais des mots inaudibles, il dégagea sa main pour mieux me comprendre. Je lui répétai s’il te plaît lâche moi, je veux rentrer, je ne veux pas coucher avec toi. Mais, il n’en fit qu’à sa tête et avec la main qui retenais mon bras gauche il déchira d’un seul coup mon micro slip, je sentis la corde de coton rentrer dans mes hanches comme une brûlure, le tissu glissait sous mes fesses en un éclair. Mes deux mains étaient à présent à essayer de le repousser de toutes mes forces, mais rien n’y faisait, il était vraiment trop fort pour moi.

Pendant qu’il cherchait un moyen de faire sortir sa queue de son pantalon, moi je tirais sur sa main qui serrait ma bouche. Tout mon corps cherchait la fuite, mais rien n’y faisait, j’étais totalement emprisonné à ce lit. Il y a des moments que j’ai oublié, mais je me souviens d’une douleur fulgurante traverser mon ventre, je compris bien vite qu’il venait de me pénétrer, tout son corps compressait le mien. Sa main droite tenait toujours ma bouche fermée, il avait repris ma main gauche et là maintenait toujours fermement sur le long de son corps. Ma main droite frappait à répétition sur le haut de sa tête, il se relevait pour l’éviter. Il était là, relevé me regardant droit dans les yeux, je pouvais voir ses yeux noirs comme l’enfer. Le doux regard angélique qui m’avait séduite avait disparu, il se délectait de la vision de mon visage crispé par la peur, de mes cris, de mes larmes.

Je hurlais; Non, arrête! Arrête! J’ai mal ARRÊTE !!!! Les mots résonnaient dans ma tête, mais ils ne sortaient pas de ma bouche bloquer par sa main moite et puante. Je sentais son pénis ravager mon vagin à grand coup de bassin. Une brûlure à vif, comme si on m’avait rentré un tison ardent dans le vagin et que l’on me le rentrait et sortais à répétition.

Je sentais la peau fine de mon sexe se déchirer sous les assauts de mon tortionnaire. À un moment donné, je me souviens avoir lâché prise, mon esprit a tout simplement fermé les valves. Je ne me rappelle plus combien de temps cela a duré, mais cela m'a semblé interminable. Mon esprit est parti, ailleurs, je ne sais où, mais je regardais le plafond et je fixais les détails. Une mouche était coller sur le verre de la lampe au-dessus de nous, une tache jaune sur le plafond, sûrement une fuite d’eau me dis-je et je me souviens les rideaux de paréo fleuri orange et vert qui cachait de tout témoin cette scène d’horreur.

Il continuait à me pénétrer à grand coup, ses cuisses retenaient toujours ouverte mes jambes et il me parlait à l’oreille, mais je ne saisissais pas le sens des mots tellement j’étais déconnecté. Soudain, il cria « Écoute-moi bien! Si tu t’avises de répéter ce qui s’est passé ce soir je te préviens que tu vas le regretter et personne ne te croira, car tu as accepté de venir de ton plein gré. Tu étais consentante, tu m’entends, alors, réponds-moi! » Je ne disais rien, que des murmures, alors il m’ordonna de lui répondre « Dit moi oui! dit oui ou je te rosse » je fis oui de la tête. Il se mit à me défoncer la chatte de plus en plus vite, c’était insupportable comme sensation, il y avait la peur, la douleur et la colère, j’étais en furie contre moi-même. Je pensais à ma mère, à mon père, je voulais qu’un miracle arrive et que tout s’arrête. Je fermais les yeux et je me suis mise à invoquer Dieu qu’il me protège. Je ne sentais plus rien que les va et viens déchirant de la verge de ce salaud. Ma main gauche me fessait mal, tellement il là maintenait serrer. Ma bouche et mes lèvres rentraient dans mes dents sous la force de la pression de son autre main. Ma main droite avait capitulé et j’attendais figée que tout s’arrête.

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