Feindre l'orgasme tu ne fera point
[f.e.e.]

Vous pensez que je suis la seule dans cette situation-là? Messieurs, détrompez-vous ce phénomène est international. Les femmes feignent l’orgasme depuis le début des temps, souvent pour se débarrasser de la job comme certaine le disent ou encore parce qu’elles n’osent pas vous dirent que vous êtes mauvais. Non, vraiment MAUVAIS!!! D’autre pour éviter que leur homme n’aille voir ailleurs, car suite à certaines circonstances de la vie où après une grossesse leur libido a foutu le camp. Vous voyez?

Certaines femmes ont bien voulu me partager leurs anecdotes.

« Un soir j’ai fait venir un homme chez moi, il a commencé par un cunnilingus, personne ne m’avait bouffé de la sorte. C’est jusqu'à aujourd’hui le meilleur cuni de ma vie. Sa langue était vraiment bonne, les minutes passaient et s’écoulaient, malgré le fait que c’était super agréable je trouvais cela très long. Je le laissais continuer, jusqu'à ce que cette caresse devienne agressentante et désagréable. Après un certain temps, j’avais envie de me sentir rempli par son membre, alors je lui ai demandé qu’il me pénètre pour que je puisse en profiter. Je l'ai regretté aussitôt, car sa queue était tellement petite. Je ne sentais rien du tout, de plus il me donnait de grands coups de rein pensant que c’était ce dont j’avais besoin. Il me labourait comme un vrai marteau piqueur, mais son petit zizi se perdait dans mon vagin et rien ne se passait. Donc basta, j’ai décidé de feindre le plaisir. J’ai commencé à gémir à n’en plus finir, puis je me suis dit; « Peut-être que si je me place en doggy j’ai plus de chance de le sentir, on va lui donner une chance! » Alors je me suis mise à quatre pattes lui offrant mes fesses bombées. Le Monsieur était tellement excité qu’il s’exécutait derrière moi encore plus vite, une vraie mitraillette « traaaaaaaatraaaaaatraaaaaa » il pensait que pour moi c’était bon. Mais non! Au contraire, les os de son bassin me claquaient sur les fesses, son ventre frappait tellement fort sur mon derrière que c’était loin d’être agréable. Je ne sentais toujours pas sa queue en moi, j’étais déçue. Je voulais que cela en finisse le plus rapidement

possible, alors je criais, criais, mais pas de plaisir, plutôt parce quecela était désagréable. Je feins l’orgasme encore une fois ce soir-là pour m’en débarrasser. J’aurais dû le laisser continuer son cuni au moins j’aurais peut être pris mon pied… À bien y penser, sa langue me remplissait plus que sa queue et m’offrait plus de sensations, au moins elle, je la sentais. » Annie 33 ans (prénom fictif).

« Alors que mes grossesses et que la maternité me rattrapait, mon rôle de mère prenait beaucoup le dessus sur mon rôle de femme et d’amante. La fatigue, le stress, la routine ont eu raison de ma libido. Je n’étais plus la femme, mais la mère. Je n’avais pas perdu mon amour ni même mon attirance pour mon homme, je continuai de le trouver beau, mais je n’avais pas envie de sexe, mais alors pas du tout! Pendant plusieurs années lorsque nous faisions l’amour, je n’avais ni envie, ni désir et malgré tous les efforts que mon homme pouvait donner pour me permettre d’y arriver… l’orgasme ne venait pas! Ce fut une longue période de stress pour moi, de remise en question et de doutes. Mon homme était frustré et déçu de la situation, le voir ainsi me brisait le cœur, alors je lui ai offert « sa femme », celle qui avait du plaisir. J’ai fait semblant, j'ai joué la comédie, j'ai feint le plaisir et l'orgasme. Au fond de moi, le feu de la passion s’était éteint, mais le voir malheureux me rendait encore plus malheureuse. Cette période où je devais jouer la comédie pour donner à mon homme une certaine satisfaction n’était pas évidente pour moi. Jongler entre le rôle de mère, de femme et de maîtresse, ouffff! Et moi, où en étais-je? Aujourd’hui avec beaucoup de travail sur moi-même, j’ai réussi à retrouver un réel plaisir dans le sexe avec mon homme. Je ne fais plus semblant, j’apprécie ces merveilleux moments. Je ne passerais pas une semaine sans jouir, alors qu’avant je pouvais clamer tout haut que si on pouvait arrêter de me le demander, j’en serais heureuse ». Patricia 35 ans (prénom fictif).

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