Mes premiers orgasmes

Je venais d’avoir 18 ans, ma relation avec mon tout premier petit copain était terminée depuis quelques mois. J’étais allée me changer les idées avec mes amies, car les dernières semaines avaient été difficiles. Ma meilleure amie, Éva qui avait 6 ans de plus que moi adorait me traîner dans les boîtes de nuit. Nous voilà donc dans ce petit club, dansant sur la piste aux lumières tamisées, sur des rythmes langoureux de zouk. Je dansais au milieu de la piste, je me laissais tellement emporter par la musique.

Comme à mon habitude plus rien n’avait d’importance dès que je mettais les pieds sur la piste de dance. J’en oubliais instantanément mes soucis et mes peines. La musique agissait sur mon esprit et mon corps comme un analgésique. Les yeux fermés, je bougeais doucement, sensuellement, captivant chaque note de musique. Ce soir-là, je portais cette petite robe à fleurs, qui se terminait par un petit short court à volant. Jamais je n’ai senti cet homme arriver prés de moi, non, la seule chose dont je me rappelle, c’est d’avoir senti ses doigts frôler doucement mon épaule pour replacer la petite bretelle de mon vêtement à sa place. Surprise, je m’étais retournée et j’avais été captivée instantanément par ce regard bleu azur qui contrastait sur la peau caramel de son visage. Il était grand, des traits fins, bien battis, métis et une peau dorée par le soleil. Il était là devant moi, un grand sourire aux lèvres. Début de la trentaine, je trouvais qu’il dégageait une maturité presque paternelle. À cette époque, sûrement comme toutes les adolescentes en manque de père, j’étais attirée par les hommes plus vieux, ceux qui imposaient le respect et la sécurité. À cette époque, je dois vous avouer que je manquais cruellement de la présence d’un père. Tous mes repères masculins me venaient des pères de mes amis, des connaissances. Je troquais l'affection physique par le sexe avec mon ex petit copain. Maintenant que j'y repense aujourd'hui, je me fais pitié moi-même. Mais c'était la réalité, je pensais que le sexe comblerait ce manque cruel de contact affectif. J'avais tellement tort, c'était le contraire, je me vidais au fur et à mesure.

Nous avons commencé une danse, inutile de vous dire qu’il m'a gardée pour lui toute la soirée. À la fin de la soirée, il nous avait

invité mon amie et moi à rester chez lui. Il nous a héberger, car nous avions raté notre dernier autobus. Une fois chez lui, il montra les commodités à mon amie et elle ne se fit pas priée pour aller se coucher. Mon charmant hôte et moi-même étions restés discuter sur la grande terrasse, après quelques minutes de discussion, l’attraction prit place et il m’embrassa d’un long et doux baiser. Un regard suffit pour que je comprenne la suite des évènements, une hésitation parue sur mon visage, il s’en aperçut et me dit un petit sourire aux lèvres, « je ne te force pas, mais… tu risques de le regretter. ». Mes yeux dirent oui, il se leva me tendit la main et je le suivi dans sa chambre.

Debout face à lui, avec de douces caresses il avait fait glisser la fermeture éclair de mon vêtement qui tomba à mes chevilles. J’étais figée dans l’attente, comme si c’était la 1ère fois qu’un homme me touchait ou me voyait nue. Mes mamelons pointaient, je n’avais pas de soutien-gorge, j’en portais rarement. Il glissa ses mains sur mon corps, elles descendirent sur mes hanches, prirent possession des rebords de ma culotte et la glissa jusqu'à mi-cuisses. Un léger frisson parcourut mon échine, ses doigts remontèrent au-dessus de ma croupe. Il y avait trop de sensations qui se produisaient dans mon corps et sur ma peau. J’étais un peu étourdie par tout cela, mais je me laissais faire. Puis je m’allongeais sur le grand matelas.

Timide, je le fixais dans l’attente de chacun de ses mouvements. Il se déshabilla, "Wow!" Il était vraiment beau. Il me rejoint sur le lit et commença à m’offrir caresse sur caresse. Il prit son temps, explorant mon corps au grand complet. Il avait l’air en extase, je me sentais comme un objet de grande valeur entre ses mains. Ce soir-là, je n’ai rien compris de ce qui arriva à mon corps, j’eus droit à des préliminaires incroyables. Mon corps réagissait à chacune de ses caresses, je me tortillais comme une couleuvre prise au piège. Mon dos se cambrait lorsque sa bouche embrassait mon ventre. Allonger sur le grand lit, ses mains serraient mes hanches, totalement offerte à lui le temps s’était arrêté.

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