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[f.e.e.] |
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Au
petit
matin,
il
me
gâta
de
plus
belle
dans
la
douche
où
je
reçus
mon
tout
1er
cunnilingus
et
ma
toute
1re
jouissance
avec
une
langue.
Je
fus
totalement
surprise,
sous
le
choc.
«
Non!
Wow!
Moi
qui
avais
tellement
fantasmé
sur
un
homme
qui
met
sa
langue
sur
ma
chatte.
Une
langue
qui
me
fait
jouir???
»
J’étais
au
7e
ciel,
je
n’avais
tout
simplement
pas
envie
de
quitter
cette
maison.
Je
me
disais
que
je
ne
le
reverrais
plus,
que
je
ne
ressentirais
peut-être
plus
ces
incroyables
sensations.
Je
me
posais
plein
de
questions
et
d’appréhensions,
mais
il
me
laissa
un
numéro
où
le
joindre.
Cela
prit
quelques
semaines
après
notre
1re
soirée
pour
que
nous
nous
revirent.
Je
ne
savais
pas
du
tout
dans
quelle
histoire,
je
m’embarquais.
Il
devint
mon
amant
pendant
plusieurs
mois,
mais
surtout
mon
mentor
sexuel.
on
énergie,
un
gouffre
émotionnel
total,
c’était
parfois
lourd
à
gérer.
Oh!
Il
y
a
eu
des
soirées
qui
ont
été
très
agréables
ou
je
me
suis
amusée,
mais
une
fois
que
tout
était
terminé,
je
voulais
juste
quitter
la
pièce.

Les
semaines
qui
suivirent,
j’avais
hâte
de
le
revoir,
j’étais
impatiente
qu’il
me
touche
à
nouveau,
les
souvenirs
des
jouissances
de
cette
1re
fois
étaient
encore
gravée
dans
mon
ventre.
Quelquefois
lors
de
mes
séances
de
masturbations,
je
m’étais
amusée
à
me
masturber
en
repensant
à
cet
ébat.
Mon
corps
était
en
manque
de
cette
extase,
mon
vagin
voulait
ressentir
encore
ces
sensations
intenses
que
sa
queue
lui
avait
procurées.
Mes
séances
de
masturbations
ne
me
satisfaisaient
plus
comme
avant
d’avoir
subi
cet
orgasme.
Il
manquait
de
chaleur
humaine,
de
contact,
de
peau,
j’étais
très
excitée
sexuellement
à
chaque
fois
que
je
savais
que
j’allais
le
revoir.
C’est
la
première
fois
que
je
ressentais
ce
genre
d’excitation
pour
quelqu’un.
Je
mouillais
complètement
ma
culotte
pour
bien
vous
faire
comprendre
l’effet
physique
qu’il
avait
sur
moi.
J’étais
prise
entre
deux
sentiments,
celui
du
désir
et
celui
de
la
peur.
La
peur
de
me
faire
prendre,
car
mes
parents
ne
savaient
pas
du
tout
que
j’avais
des
relations
sexuelles
avec
lui.
Même
si
j’étais
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majeure,
les règles
chez moi
étaient
très
strictes
pas de relations
sexuelles
avant le
mariage…
Nos rendez-vous
étaient
donc secrets,
je partais
en ville
sous le
prétexte
d’être
avec une
amie ou
au cinéma
et je le
rejoignais
au centre-ville,
puis nous
partions
pour notre
petite cachette.
Nos rendez-vous
duraient
quelques
heures,
souvent
dans une
chambre
d’hôtel,
parfois
sur le bord
d’une
plage ou
dans sa
voiture.
Une fois
dans une
chambre
d’hôtel,
la leçon
commençait,
il me montrait
comment
faire plaisir
à
un homme,
comment
le toucher,
le caresser,
comment
le lécher
et comment
me placer
sur lui.
Il me racontait
ce que les
autres femmes
lui offraient
comme préliminaires,
il me disait
ses préférences
en matière
de caresses
et de positions,
puis il
s’occupait
de moi et
me faisait
jouir.

J’étais
comme récompensée
de m’être
montrée
obéissante
à
mon professeur.
Je me disais
lorsqu’il
avait sa
bouche sur
moi, que
c’est
tellement
bon. Je
revivais
les mêmes
sensations
que la 1re
fois, elles
n’avaient
pas disparu,
j’en
étais
rassurée,
qu’elles
soient encore
là
que tout
soit pareil.
Puis une
fois que
j’avais
joui, les
rôles
s’inversaient.
Il me montrait
comment
le faire
jouir, il
adorait
les mouvements
lents, sensuels
et adorait
regarder
et me voir
onduler
des hanches
sur sa queue.
Je m’appliquais,
je faisais
de mon mieux
assise sur
lui en cavalière,
j’y
mettais
tout mon
cœur.
Je me donnais
à
font, je
voulais
lui faire
plaisir
et c’est
ainsi que
je pris
goût
à
cela de
plus en
plus, je
me rendis
compte que
c’était
vraiment
très
excitant
de faire
tressaillir
mon mentor
de la sorte.
Il avait
une vulnérabilité
dans ces
moments-là,
le moment
ou au bord
de l’orgasme,
il se laissait
aller complètement.
Il n’était
plus maître
de son corps,
non, je
lui donnais
ce plaisir.
Mon corps
lui offrait
ses sensations
qui le mèneraient
à
l’extase.
Ah! Voilà
le grand
pouvoir
que je découvris
avec lui,
que je pouvais
faire tressaillir
un homme
sous moi.
J’adorais
cela! C’était
beau de
le voir
se tordre,
rugir et
me saisir
les bras
lorsqu’il
jouissait.
Rien à
voir avec
les orgasmes
de mon ex
qui était
rapide,
bref et
sans ressentis…
...»
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