|
[f.e.e.] |
 |
|
Je
dois
lui
résister,
mais...
8ème
fois,
alors
que
je
ne
voulais
pas
jouir
de
la
soirée,
il
m’énerve
vraiment!
Je
voulais
le
faire
jouir,
car
cela
n’est
pratiquement
jamais
arrivé
depuis
que
nous
nous
fréquentons.
Je
suis
habitué
à
réussir
à
faire
jouir
mes
amants,
même
que
j’y
suis
arrivé
toutes
les
fois.
Mais
avec
lui,
c’est
totalement
différent,
il
prend,
il
a,
il
garde
le
contrôle.
Encore
une
fois,
je
venais
de
lui
donner
raison
en
éclatant
complètement
de
façon
très
facile
avec
8
orgasmes
en
moins
d’une
heure.
Nous
sommes
en
position
"doggy
style",
il
me
pénètre
très
doucement,
peu
profondément,
ma
chatte
est
en
feu,
je
sens
sa
verge
frotter
l’entrée
de
mon
vagin,
ses
couilles
se
balancent
et
frappe
sur
les
lèvres
de
mon
sexe.
Je
suis
en
pleine
extase,
encore
sous
le
choc
de
l’intensité
des
derniers
orgasmes.
Il
me
tient
fermement
les
hanches,
passe
ses
mains
sur
mes
fesses,
empoigne
d’une
main
mon
sein
droit
puis
le
gauche,
me
faisant
me
redresser,
il
descend
sa
main
gauche
à
nouveau
vers
ma
hanche
et
de
la
droite
maintient
mon
épaule
droite.
Je
ne
peux
pas
bouger,
je
suis
prise,
prisonnière
de
son
jeu.
Il
accélère
le
rythme,
vient
chercher
la
zone
qui
me
fait
languir
depuis
déjà
quelques
bonnes
minutes.
Je
veux
qu’il
éclate
en
moi,
je
veux
qu’il
fasse
exploser
sa
verge
dans
ma
chatte.
Mais
non,
il
est
endurant
et
moi
complètement
faible
sous
ses
assauts.

Je
me
cambre
de
plus
belle
sous
la
force
de
son
bras
qui
m’entoure
à
présent,
je
sens
la
jouissance
grimper
telle
une
mauvaise
herbe
dans
mon
ventre.
On
dirait
un
virus
qui
se
répand
dans
chaque
parcelle
de
mon
bassin.
Je
le
sens
se
répandre,
à
une
vitesse
incroyable.
Il
me
dit
alors
:
"Maintenant,
c’est
à
moi
de
jouir!"
"Tu
as
l’interdiction
de
jouir!"
"Tu
m'as
bien
compris?"
"Tu
ne
dois
pas
jouir!"
"C’est
bien
compris?"
Je
fais
oui
de
la
tête,
sachant
que
cela
va
être
très
difficile
de
résister
à
ce
plaisir
grimpant
en
moi.
Mais
je
ne
peux
pas
le
décevoir
en
me
laissant
aller
de
la
sorte,
je
veux
qu’il
vienne
en
moi.
Alors
je
me
concentre
sur
mon
pied
droit
qui
résiste
à
une
crampe
depuis
plusieurs
minutes,
le
désir
dans
mon
ventre
disparaît
comme
par
enchantement,
plus
rien,
le
vide
total.
|
|
 |
|
|
|
Wow!
Je me dis
que je vais
pouvoir
tenir comme
cela jusqu'à
ce que mon
mec explose
enfin en
moi. Je
l’écoute
respirer,
son souffle
dans mes
oreilles,
j’adore
l'entendre.
Je ressens
de plus
belle sa
verge dure
caresser
le fond
de mon vagin,
il est très
bien placé.
Je me concentre
sur la contraction
de mes abdominaux,
je resserre
les parois
de mon sexe
pour lui
offrir une
meilleure
pénétration,
je veux
le satisfaire.
Mon cerveau
pense à
des milliers
de choses,
est ce que
je presse
assez fort?
Ressent-il
mes contractions?
Je vais
devoir bouger
ma jambe,
elle me
fait mal…
Mon dieu,
ma crampe
revient,
je ne dois
pas lui
montrer
que j’ai
mal en continu
et si je
bouge, il
va perdre
son angle,
je ne veux
pas cela.

Voilà
un exemple
de phrases
qui traverse
mon esprit
pendant
que mon
mec me laboure
à
présent
par-derrière.
Je me retourne,
le regarde,
il a les
deux mains
bien placer
sur le haut
de mes fesses.
Ses larges
mains les
empoignes
presque
aux complets.
J’adore
voir cette
image, j’ai
l’impression
de lui offrir
une des
plus belles
visions
érotiques
de mon corps.
Tout son
corps est
en action,
il est concentré
sur mes
réactions,
mes mouvements,
il bouge
tel un reptile,
ses hanches
oscille
me donnant
de grands
coups de
queue bien
cibler.
À
présent,
cette vision
a fait complètement
évaporer
les questionnements
qui envahissaient
mon esprit.
Mon corps
ressent
à
encore tous
les "stimuli"
de la pénétration,
ma respiration
s’accélère,
mon vagin
se contracte
à
nouveau,
je penche
ma tête
vers l’arrière
comme pour
chercher
à
combattre
le désir
montant.
Mais les
racines
de l’orgasme
ont repris
de plus
belle, elles
poussent
et courent
à
nouveau
de plus
belle laissant
sur leurs
passages
des milliers
de chocs
électriques
exploser
sur les
parois de
mon vagin.
Ma bouche
s’ouvre
d’elles-mêmes,
mes mains
poussent
la tête
du lit,
je cherche
à
pousser
plus profond
mon bassin
sur sa queue
bien enfoncée
en moi.
Ma jambe
droite me
fait toujours
mal, elle
est en mauvaise
posture,
mon mec
s’en
aperçoit,
il arrête,
me replace
plus confortablement.
Il positionne
mes fesses
bien en
face de
lui, à
présent
à
quatre pattes
sur le matelas,
je le laisse
à
nouveau
me prendre.
...»
Suite
|
|
 |
|