Devoir lui resister
[f.e.e.]

Mon visage est tourné vers lui, je le regarde dans les yeux, la prunelle de ceux-ci est complètement brune. Ses yeux brillent d’excitation, du moins c’est ce que j’en déduis. Je suis mal à l'aise de ce contact intime. Pour moi, regarder quelqu’un dans les yeux pendant qu’on a un rapport sexuel c’est une connexion directe avec notre âme. Je suis un livre ouvert en général, mais dans ces moments-là, je me sens extrêmement à découvert. J’esquive à quelques reprises cette tension, je referme les yeux, bascule le visage sur le côté. Mais à chaque fois, il me ramène à l’ordre.

« Je t’ai dit de me regarder! » Dit-il d'un ton très sec.
« Quoi! Tu n’en es pas capable, hein? Quoi! Tu n’y arrives pas? »

Je me dis juste qu’il ne peut pas comprendre, je le regarde à nouveau, je tente en vain de résister à l’envie de me détourner de son regard profond qui pénètre le mien. La petite manigance a fait son effet sur mon cerveau, ce petit jeu de domination crée une excitation qui se développe en moi. Dans la position qu’il m'a mise à présent (sur le côté, en cuillère) je peux très bien sentir son gland jouer sur mon point g et venir chatouiller plus profondément mon "deep spot". Il stimule les deux zones à la fois. C’est juste complètement fou. Au moment où il m'a prise dans cette position, je savais que cela en était fini de moi.

« Non! Non! » Je pleurnichais ses mots, sentant ma défaillance approcher.

Je râlais à présent entre mes bras croisés au-dessus de ma tête. Mon corps se cambrait à chaque coup de reins qu’il me donnait. Je me disais; va-t-il enfin jouir? Je lui dis;

« Jouis! Jouis! Je te jure que je jouis juste après toi. » Comme une supplication ma bouche avait prononcé ses paroles.

Mais non, il n’en prit aucunement compte. Bien au contraire, il me guida encore plus sur sa grosse queue bien bandée. Celle-ci remplissait ma chatte, elle jouait à la rendre folle d’excitation. À nouveau, ce qui dû arriver, arriva, mon ventre se contracta sous l’effet répétitif des assauts de cette queue démentielle. Mon point g commença à frémir, de petits chatouillements se concentrèrent dans cette zone. Ils se mirent à grossir de plus belle, leur intensité s’amplifia, les chatouillements devint plus prononcer, ils remplirent ma cavité vaginale et se propulsèrent vers le fond. Mon mec tenait la cadence, il ne s’arrêtait plus, il avait un rythme de croisière constant, bien ancrer dans ma chatte, il me ramonait.

Il continuait à me dire de le regarder encore et encore. Je n’y arrivais tout simplement pas, je détournais le regard, je sentais mon ventre qui voulait exploser, l’envie de me laisser totalement aller

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prenait le dessus. Je ne me sentais plus la force de me soumettre à ses directives. Je poussais plus loin les limites de mes propres forces. Je combattais la volonté de jouir contre celle de ne pas flancher.
Je tourne la tête dans un terrible effort, je le fixe du regard, mais je n’arrive pas à garder le focus. Le regarder dans les yeux me fait perdre la tête, il pénètre mon esprit, je me sens encore plus vulnérable à ce moment-là. Alors je tourne la tête à nouveau, me concentrant pour ne pas jouir. À nouveau, il m’ordonne

« Je t’ai dit de me regarder! »
« Regarde-moi dans les yeux! Tu as compris! »

J’étais là, la tête ballottant essayant de fixer son regard pendant que toute la symphonie de Mozart jouait dans mon vagin. Je l’entends dire clairement;

« N’oublie pas, tu ne jouis pas tout de suite! »

J’avais totalement oublié cette consigne. Je ne pouvais pas, c’était trop pour moi, je voulais jouir, je le sentais, l’orgasme montait en moi. Je détourne la tête sous l’effet d’un coup de queue bien placé, il m’ordonne de reprendre ma position.

« Regarde-moi! Regarde-moi! »

Je tourne à nouveau le visage vers dans un effort surhumain. Il ne me ménage pas. Son gland frotte savamment à présent ma profondeur "deep spot" qui allait recevoir dans les quelques secondes des milliers de petits chatouillements qui couraient vers elle. Encore un coup de sa verge sur elle et celle-ci explosa d’une jouissance phénoménale. Comment vous décrire cette sensation de totale implosion orgasmique? Mon ventre ne répond plus, mes cuisses se contractent, mon clitoris palpite, ça me tire dans les entrailles, de chaque côté mes ovaires deviennent lancinants. J’ai des brûlures dans les seins, mon corps se raidit sous la jouissance. Je reste sous le choc, complètement hors contrôle. Mon cerveau fait "Off… Black-out total encore…" Mon mec satisfait de son petit jeu se retire, il me donne un bec sur la joue, me dit bonne nuit. Mon cerveau ne pense plus à rien. Je reste là en position fœtus, replier sur moi-même, comme un animal abandonné, encore éprise de soubresauts.

Je perds encore une fois la carte, je ferme les yeux quelques secondes, je lès reouvrent me rendant compte que les minutes se sont écoulé sans que je ne lès ais vu passer. J’essaye de bouger mes membres, ils sont lourds, comme déconnecter de mes fonctions neurales. Un sentiment de paix m’envahit, plus rien n’a d’importance que ce moment, la maintenant. Je réussis à tendre le bras pour attraper la couverture, je me couvre et tombe dans le plus profond des sommeils totalement repus et encore une fois comblée sexuellement.

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