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[f.e.e.] |
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Sa
queue
rentre
telle
une
épée
dans
son
fourreau,
je
la
sens
avancer
tout
le
long
des
parois
de
mon
sexe,
qui
frétille
au
passage
chaleureux.
La
peau
fine
de
mon
vagin
chante
les
louanges
de
cette
intrusion
charnelle.
Je
suis
en
alerte
de
chaque
effet
que
sa
verge
prodigue
à
mon
ventre.
Je
me
sens
à
nouveau
défaillir.
Je
suis
au
bord
de
l’orgasme,
pourtant
il
ne
faut
pas
que
je
jouisse,
je
lui
ai
dit
que
je
ne
jouirais
pas.
Lui
ne
fait
pas
grand-chose
juste
quelque
va-et-vient
discret.
Aucune
profondeur
il
glisse
savamment
son
membre
doucement,
le
ressort,
puis
le
réinsère
entre
mes
lèvres
qui
l’avalent
sans
aucune
résistance.
Ma
tête
prend
le
large
vers
les
incroyables
sensations
que
cette
pénétration
me
procure.
Je
résiste,
je
pense
à
sa
jouissance,
car
il
me
l'a
dit,
me
l'a
ordonné;
"ne
jouis
pas".
Je
ne
dois
pas
le
décevoir…

Mais
les
chatouillements
dans
mon
ventre
se
font
de
plus
en
plus
présent,
il
le
sait,
il
me
scrute,
étudie
tous
mes
mouvements,
mes
expressions
faciales.
Je
tente
le
tout
pour
le
tout,
je
repense
à
ma
soirée
de
la
veille,
à
mon
show,
au
travail,
bref
j’essaye
de
reprendre
le
contrôle
sur
mon
esprit,
mais
surtout
de
mon
corps
qui
va
flancher
sous
les
appels
de
cette
verge
savante
qui
connaît
les
secrets
de
mon
vagin.
Il
a
compris
que
je
vais
éclater
sur
sa
verge,
il
me
redonne
l’ordre
de
ne
pas
jouir.
Son
ton
est
sévère,
sec,
il
ne
rigole
pas.
Soumise
j’exécute
les
ordres,
je
tourne
ma
tête
pour
le
regarder
avec
un
air
de
supplication
dans
les
yeux.
Il
est
là
derrière
moi,
la
tête
dans
ma
nuque.
Sa
bouche
vient
goûter
à
mon
épaule
gauche,
sa
langue
parcoure
ma
peau
salée
par
l’effort.
Puis
il
se
replace,
le
torse
bien
droit
les
deux
mains
tenant
toujours
fermement
mes
hanches.
Il
dirige
la
cadence,
il
soigne
la
pénétration,
il
définit
les
angles.
Un
à
un
ses
coups
de
reins
prennent
possession
de
mon
corps.
Je
n’en
peux
plus
mon
dos
arqué
me
fait
mal,
mes
bras
agrippés
sur
la
tête
de
son
lit
n’ont
plus
la
force
de
me
soutenir,
j’ai
envie
de
me
laisser
choir
sur
le
lit.
Mais
non,
je
ne
peux
pas,
je
dois
rester
dans
cette
position
même
si
elle
est
physiquement
difficile.
Je
dois
oublie
l’inconfort
et
me
concentrer
sur
la
position.
Je
n’oublie
pas,
il
doit
jouir
c’est
mon
but…
mais
est-ce
vraiment
le
sien
je
commence
à
en
douter.
Ma
tête
est
en
plein
combat,
puis
soudain
il
me
tape
sur
les
fesses,
continuant
ses
va-et-vient,
puis
une
autre
vint
suivre,
et
une
autre,
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j’en
reçois
quelques-unes
encore à
répétition
sur les
fesses.
Gauche,
droite,
gauche et
droite,
il me redonne
l’ordre
de ne pas
jouir comme
pour me
rappeler
un pacte.
Mais
là,
s'en est
trop, l’ambiance
est trop
électrisante,
je suis
fatiguée
de résister
à
sa queue.
Sa verge
fend ma
chatte de
plus belle,
je ne vois
rien d’autre
que son
bassin qui
bouge dangereusement
vers mes
fesses rondes.
L’image
de mon tatouage
tribal sur
mes reins
entourer
des ses
mains est
un vrai
aphrodisiaque.
Il appuie,
serre de
plus belle,
m’interdit
de bouger
lorsque
je ressens
l’orgasme
prendre
vie dans
mon ventre.
"Tu
ne jouis
pas!"
M’ordonne-t-il
à
nouveau.

Il
m’énerve,
je suis
à
deux doigts
d’exploser.
Je reste
là,
immobile
le cul relever,
la chatte
offerte
à
ses caprices,
les deux
bras impuissants
accrocher
comme une
épave
à
la tête
de son lit.
Mes cheveux
collent
à
mon visage,
je souffle,
je cherche
mon air
entre les
frissons
grandissant
qui ensorcelle
mes entrailles.
Je veux
les arrêter,
je contracte
mes abdos,
dans l’espoir
de lès
faires diminuer.
Mes jambes
se contractent,
mes fesses
se referment,
mes mains
se referment
sur le haut
de la tête
du lit.
Mon mec
découvre
mon stratagème,
il accélère
la cadence,
il fouille
le fond
de mon vagin.
Il presse,
presse encore,
guide sa
queue pour
la maintenir
à
la bonne
place. Il
ne me lâche
pas, mes
mains se
crispent,
mes ongles
griffent
le cuir
qui recouvre
la tête
de lit.
Je vais
jouir, je
le sens,
je ne vais
pas tenir
encore longtemps
sur cette
cadence
lancinante
qui brûle
mes entrailles.
Malgré
l’effort,
le vouloir
de ne pas
flancher,
mon vagin
décide
de reprendre
le dessus
sur ma volonté.
Des milliers
de petits
chocs électriques
se forment
autour de
mon point
g, celui-ci
les récupère
aussitôt,
ils sont
comme décuplé
une fois
concentrer
sur la petite
zone boursouflée.
J’explose,
je jouiiiiiiiiiii,
je sursaute,
mon corps
est incontrôlable,
il vibre
presque
sous l’effet
de la puissance
de l’orgasme.
Le souffle
encore suspendu,
la bouche
ouverte,
la tête
basculée
en arrière,
j’offre
une vision
de total
abandon
à
mon mec.
Je ne vois
même
pas son
sourire
de satisfaction
sur son
visage,
mais je
l’imagine
très
bien. Dans
ma tête
je me sens
coupable
de n’avoir
pas su résister,
je suis
déçu
de ne pas
avoir pu
contrôler
cette jouissance,
ce 9ème
orgasme
de la soirée
en moins
d’une
heure.
...»
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