|
[f.e.e.] |
 |
|
Je
lui
montre
qu’il
a
le
contrôle
sur
moi,
je
lui
montre
que
lorsque
sa
queue
me
dirige,
je
suis
faible.
Je
déteste
cela,
je
n’aime
pas
me
sentir
vulnérable.
J’ai
à
chaque
fois
le
sentiment
de
ne
pas
être
à
sa
hauteur,
de
ne
pas
lui
donner
entière
satisfaction.
J’ai
envie
de
lui
demander
pardon
l’espace
d’un
moment,
pardon
de
n’avoir
pas
su
tenir
assez
longtemps
pour
qu’il
puisse
jouir
à
son
tour.
Je
me
sens
inutile,
j’ai
l’impression
de
n’être
qu’un
corps,
un
objet
d’amusement
dans
ses
mains.
Les
conséquences
de
l’orgasme
sont
si
délicieuses
que
le
sentiment
de
culpabilité
fait
place
petit
à
petit
à
une
invasion
de
plénitudes
complète.
Il
décide
de
me
positionner
autrement,
il
me
couche
sur
le
dos
les
jambes
bien
écartées,
il
vient
se
dresser
entre
mes
cuisses
ouvertes.
Je
suis
totalement
en
attente
de
ses
gestes.
Je
replace
mes
cheveux
qui
me
collent
encore
au
visage,
je
le
laisse
prendre
mes
poignets
qu’ils
placent
de
chaque
côté
de
mon
visage,
comme
prise
en
otage
de
ses
volontés.
Il
me
regarde,
encore
tremblante
de
mon
orgasme,
il
pose
ses
lèvres
sur
les
miennes,
vient
embrasser
mon
menton,
mon
cou,
il
maintient
toujours
mes
poignets
d’une
main,
de
l’autre
il
place
sa
verge
en
moi,
elle
trouve
facilement
le
chemin
qu’elle
vient
à
peine
de
quitter.
Encore
chaude,
ruisselante
de
mouille,
elle
palpite
encore
à
espérer
une
autre
jouissance.
À
nouveau,
il
m’ordonne
d’un
ton
sec
:
"Regarde-moi
dans
les
yeux!"
"Surtout
tu
ne
jouis
pas."
"Tu
m’as
bien
entendu!"

Je
le
regarde,
hésitante,
je
ne
veux
pas
croiser
son
regard
dominateur.
Il
me
force
à
tourner
la
tête
vers
lui…
"Regarde-moi,
je
te
dis!
Allez,
regarde-moi!"
Je
tourne
la
tête,
je
lève
les
yeux
vers
lui,
il
est
là,
entre
mes
cuisses
qui
serrent
ses
hanches.
Il
a
ses
mains
sur
ma
taille
fine
qui
se
soulève
à
chaque
coup
de
ses
reins.
Il
est
beau,
désirable,
les
épaules
larges,
musclées
par
les
années
de
sport,
un
torse
bombé,
son
cou
où
je
distingue
la
jugulaire
frémissante.
J’aperçois
la
courbure
de
ses
fesses
dans
le
reflet
du
miroir
qui
se
trouve
sur
le
mur,
il
a
de
magnifiques
fesses
rondes
et
fermes.
Je
m’imagine
les
|
|
 |
|
|
|
mordre à
pleines
dents, tous
ses "stimuli"
visuels
sont vraiment
excitants.
La position
est confortable,
mon corps
et mon esprit
se laissent
aller à
nouveau
vers l’extase
qui envahit
mon ventre.
Je penche
la tête
en arrière,
ma bouche
s’entrouvre
doucement
sous l’effet
que me donne
sa queue
qui bouge
en moi.
Je ferme
les yeux
instinctivement,
je viens
d’oublier
le commandement
qu’il
m’avait
donné.
Je cambre
un peu plus
la tête,
je la tourne
à
gauche puis
à
droite,
toujours
allonge
offerte
à
ses désirs
sadiques,
je suis,
du moins
j’essaye,
de ne pas
jouir à
nouveau,
pour l’instant
je peux
contrôler
ces sensations
qui polluent
ma chatte.
Ils sont
agréables,
mais pas
encore assez
forts pour
me faire
perdre la
carte. Il
commence
alors à
me dire
des choses
plus cochonnes;
"Alors
tu la sens
ma queue
qui te prend,
hein!"
"Tu
vois comment
je contrôle
ta chatte,
demoiselle!"
"Surtout,
retiens-toi
de jouir!"

Il
n’arrête
pas ce petit
jeu de "Dirty
Talk"…
"Alors,
dis-moi
comment
tu la sens
là!"
"Elle
est bien
dure, juste
pour ta
chatte!"
"Oh
oui! Je
sais que
tu vas exploser!
Je le sais!
Je le vois!"
Je
n’ose
même
pas le regarder,
les mots
résonnent
dans mes
oreilles
comme des
défis.
Il a le
sourire
du fendant,
celui que
je n’arrive
pas à
faire démentir
ses prouesses.
Sa queue
glisse tout
le long
de mon antre,
elle connaît
les moindres
parcelles,
les zones
de plaisirs.
Il soulève
alors mes
jambes,
lès
fait passer
sur le côté
gauche de
son corps.
Mes cuisses
se replient
sur elles
même.
Il passe
sa main
sur ma chatte
pour vérifier
la moiteur
de celle-ci.
Je suis
couché
sur le côté
droit en
cuillère,
les fesses
surélevées
sur sa cuisse
gauche,
il place
ses mains
en dessous
de mes hanches
pour lès
maintenir
surélevées.
Je guide
mon bassin
vers lui.
"Regarde-moi,
tu as compris!
À
présent,
je veux
que tout
le long
tu me regarde!"
M’ordonne-t-il.
"Oui,
d’accord!"
Je lui réponds
comme une
petite fille.
...»
Suite
|
|
 |
|