Titre
: Je l’ai agacée,
narguée et humiliée
devant mes copines |
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J’étais
dans à cette soirée
de l’université
avec mon mec sur la piste
de danse quand tous ses coéquipiers
firent leur entrée.
Ils étaient presque
tous là. Les voyants,
je me suis tout de suite mise
à penser à la
queue de certains d’entre
eux, car mon copain m’en
avait fait leur pédigrée.
Moi, les regardant je ne voyais
que la description de leur
queue, dont un en particulier
paraît-il état
beaucoup plus emmanché
que les autres en terme de
grosseur. Je le regardais
bien, il avait la tête
du parfait « Bad boy
», un chacal prêt
à toute éventualité,
il serait facile à
corrompre me disais-je. J’étais
toujours sur la piste accompagné
de mon mec… quel mec?
Je n’en avais plus,
depuis que ses coéquipiers
avaient envahi la place. Moi,
tout ce dont je désirais,
c’était la grosse
queue de son coéquipier,
de celui qui avait la plus
grosse.

Nous
quittâmes la piste de
danse pour rejoindre ses potes.
Il entama les présentations,
je serrai la main à
chacun d'eux, cela m’excitait
d’être parmi tous
ces pénis. Arrivée
à ma future proie,
je lui serrai la main bien
comme il faut, tout en lui
la écrasant le plus
fort possible pour m’assurer
qu’il me remarque. Comme
de fait, le message fut passé.
Il me regarda tel un chacal,
le sourire au coin des lèvres
et le regard perçant.
Mon message était passé,
je n’avais qu’à
attendre, les dés étaient
jetés.
Un
peu plus tard dans la soirée,
j’aperçus toute
sa gang sur la piste de danse.
Flairant l’opportunité,
je quittai mes copines, pris
la main
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de mon mec au passage et tel un
animal à la poursuite de
sa proie, je nous installai le plus
près possible des "boys".
Je donnai dos à mon futur
jouet sexuel. La piste était
pleine de monde. Je me frottai légèrement
à lui toujours dos à
dos sous les yeux de mon mec qui
n’y voyait que du feu, mais
son coéquipier n’était
pas dupe. Une main ferme vint me
prendre une fesse, la caressant
longuement sur ma robe, c’était
lui enfin... Je continuai de frotter
mes fesses contre les siennes, me
les laissant me prendre constamment.
De temps en temps, je lui jetai
un coup d’œil pour apercevoir
son petit sourire mesquin démontrant
qu’il adorait ce petit jeu.
Pour moi, ce n’était
toutefois pas un jeu; je désirais
cette queue et je l’aurais.
Dans ma petite culotte, ma chatte
était dans tous ses états,
elle était prête et
en attente qu’il daigne l’honorer.
La soirée touchait à
sa fin à mon grand désarroi.
Tout le monde partait de leur côté.
Tout à coup, mon mec vint
me voir et me dit "J’ai
un pote qu’il faut ramener
à la maison, c’est
sur ton chemin." Voyant arriver
mon objet de fantasme, un grand
sourire me fendit le visage ne pouvant
le contrôler, mes yeux devinrent
tout d’un coup plein d’espoir...

Je
conduisis les mecs vers leur appartement,
ils jasèrent ensemble, moi
j’étais dans mon monde
imaginaire avec cet homme assis
sur ma banquette arrière.
Je le fixai à travers mon
rétroviseur, il fit de même.
Ma petite culotte était mouillée
depuis belle lurette. J’entends
mon mec dire; "Tu me déposes
en premier, car lui, il reste plus
près de chez toi."
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