Titre
: Je l’ai agacée,
narguée et humiliée
devant mes copines |
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Les
deux mains sur le volant,
la face complètement
frustrée pointant
vers l’avant. Je le
sentis qui remontait son
jean avec empressement.
Sans dire un mot, il ouvrit
la portière et sortit
de ma voiture. Je le vis
passer devant moi en courant,
se retenant le pantalon
qui n’était
pas encore boutonné,
comme un voleur fuyant les
lieux. Oui, un voleur qui
avait tué mon plaisir.
Encore toute déboussolée
par cette mésaventure,
je repris la route vers
chez moi. Ma petite culotte
était toute mouillée
de mes fluides et de son
sperme. Ma chatte totalement
insatisfaite, réclamait
encore plus tellement elle
avait faim de chair. Je
sortis de ma voiture, allai
vers la porte de chez moi
et sentis toute la semence
de ce mec qui traversait
ma culotte pour glisser
sur mon entre-cuisses.

Quelques
jours passèrent,
j’étais à
l’université
entourée de mes copines
et je le vis qui passait
à côté
de nous. Il me regarda et
me fit un sourire gêné.
Moi, j’avais un sourire
mesquin sur le visage et
ce fut plus fort que moi
et sorti instantanément
de ma bouche; "Na,
na, na, na, na!!!!!"
Mes copines connaissaient
ma mésaventure et
se mirent toutes à
rire. Nous le regardions
détalé de
la place, la queue entre
les jambes, tel un chacal
se tapant la honte. C’est
tout ce dont il méritait,
pour m’avoir fait
perdre mon temps et pété
de surcroît ma balloune.
En tout cas, mon couple
était sauf, car jamais
il n’irait raconter
ça à ses coéquipiers.
De toute façon, je
n’en avais rien à
cirer.
Le
jour du party suivant, de
l’université,
je m’y "repointai"
accompagnée de mes
copines. Mon copain et ses
boys y étaient déjà.
Cette fois-ci, je restai
éloignée de
toutes ces queues. Plus
tard, le chacal vint me
parler. Il me dit que la
dernière fois c’était
une erreur et que ça
l’a tellement excité
qu’il n’a pu
se retenir. Il m’invita
chez lui et me garantissa
que cela n’allait
pas se passer comme la dernière
fois. Il avait un air arrogant
et semblait sûr de
lui. Je le regardai, avec
un petit sourire arrogant
qui le narguait de sa piètre
performance.
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Je
lui dis ne pas être intéressée
par son offre. Il insistait sans
cesse, je voyais sa détresse,
cela me plaisait. Il désirait
ardemment se reprendre et effacer
sa dernière mésaventure.
Je pouvais lire dans cette insistance
comment il voulait me faire ravaler
l’affront que je lui avais
fait. Vengeance se lisait sur
son visage. L’imaginer me
prenant avec force et me corrigeant
royalement m’excita et la
réaction de ma chatte fut
immédiate et violente.
Si j’avais pu là,
maintenant partir dans les toilettes
pour la calmer, je l’aurais
fait. D’une petite grimace
de la langue, je lui répondis
à nouveau; "Non!"
Vilaine que je suis, j’en
avais tellement envie, mais je
décidai de le faire poireauter.
Je savais que le laisser ainsi,
accentuerait son désir
de vengeance et de punition qu’il
me réservait. Cela faisait
complètement mouiller ma
petite culotte. Que je sois avec
mes copines ou mon mec, je le
voyais de loin qui me regardait
d’un air arrogant et prêt
à bondir sur sa proie,
tel un chacal, car proie j’étais
devenue… je le sentais,
je le savais. Vers la fin de cette
soirée, il revint à
la charge me donnant le numéro
de son appartement, où
il m’y attendrait. Je raccompagnai
mon mec chez lui et tout le long
du trajet, je pensais à
la sentence qui m’attendait
chez son coéquipier. Je
déposai mon mec à
son appartement, il insista pour
que je monte, mais je lui dis
devoir me réveiller de
bonheur pour me rendre à
l’école. Je m’en
débarrassé et je
filai à vive allure vers
ce prédateur qui m’attendait.

Je
cognai à sa porte, il ouvrit,
son sourire de fendant aux lèvres.
Il me prit la main, refermai derrière
lui et sans dire un mot me tira
vers sa chambre. Je sentis à
ce moment que j’allais passer
un sale quart d’heure, qu’il
allait me punir et en même
temps calmer ma chatte. J’étais
déjà mouillée
avant d’arriver chez lui,
j’étais prête
à tout. Il me balança
sur son matelas qui était
posé par terre. Il retira
son pantalon, son t-shirt et vint
s’installer directement
entre mes jambes. Il souleva ma
robe, empoigna ma petite culotte
la retira violemment et s’en
débarrassa.
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