Titre
: Je l’ai agacée,
narguée et humiliée
devant mes copines |
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J’avais
toujours mes sandales aux
pieds, lorsqu’il prit
mes hanches dans ses mains
sous ma robe, me tira vers
sa queue, que je répète
était énorme,
énorme… sans
aucun préliminaire,
sans aucune embrassade,
il était prêt
à me l’enfiler.
Je relevai le bas de ma
robe pour voir sa main tenant
son sexe et je réalisai
l’ampleur de sa grosseur,
lorsque ses doigts ne pouvaient
pas se rejoindre. Il joua
avec son gland à
l’entrée de
ma vulve pour ainsi le mouiller
et lentement, je sentis
mes lèvres s’ouvrir
pour laisser son gros engin
traverser. Je me tenais
la tête et râlais
encore une fois de sensations
de plénitude. Cela
faisait tellement de bien
que je lui dis d’une
petite voix; "Baise-moi,
baise ma petite chatte comme
il faut!" Il me mit
sa main droite sur ma bouche
et me dit; "Ta gueule
petite Salope!"

Ses
vas et viens commencèrent,
il me donnait de gros coups
de rein, pas de douceur,
pas de chichi, il voulait
me faire payer toute l’humiliation
de cette dernière
semaine. Mes cris étouffés
passaient à travers
sa main. Sa main gauche,
qui tirait constamment mes
hanches vers sa queue, me
tenait fermement, je pouvais
sentir l’empreinte
qu’il laisserait sur
ma peau. Je criais, criais,
car ma chatte était
contente de sentir enfin
quelque chose de satisfaisant
en elle. J’écartai
complètement les
jambes pour l’accueillir,
j’ouvrai les valves
qui menaient vers la jouissance.
Je sentais tellement son
va-et-vient en moi qui frottait
mes parois vaginales. J’imaginai
cette pénétration
qui ne laissait aucune place
dans mon antre de plaisir,
même pas à
mon fluide corporel. Je
ne cessai de crier sous
les assauts de cette grosse
queue bien bandée
qui me punissait. Je sentis
l’orgasme qui allait
bientôt se déchaîner
en moi. Mes jambes se mirent
à trembler dans tous
les sens, mes cuisses étaient
prises de convulsions et
chaque coup de reins suivants
fit déchaîner
des vagues de plaisir dans
tout mon corps. Je jouissai,
jouissai et "rejouissai"
tout en continuant d’accueillir
cette grosse queue qui était
en mission.
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Cette
main toujours sur la bouche, je
ne cessai de crier à travers
elle. Je criais tellement fort
que je m’entendais, même
si les cris étaient étouffés.
Les sensations n’en finissaient
plus, ma jouissance ne voulait
s’estomper. Je ne cessai
de trembler. Il sortit sa verge
de ma chatte et me retourna, m'écarta
les jambes, releva ma jupe jusqu’au
milieu de mon dos et mit son sexe
dans mon couloir bien humide.
J’avais mes grosses fesses
bien relevées, comme offertes
en offrande au coéquipier
de mon mec. Il me prenait vraiment
comme une chienne, je me faisais
pilonner, ma tête "capotait"
de sensations. Maintenant que
ma bouche était libre,
je criai comme une cinglée;
"Ha oui, baise-moi, baise-moi
comme une chienne!" Et là,
je sentis un gros pincement qui
venait prendre ma fesse droite
et provoqua un effet de brûlures,
je lâchai un grand cri de
surprise. Il venait de me claquer
la fesse de ses grandes mains.
Il me prit la crinière
et la tira fort vers lui, ce qui
me fit relever mon corps. Il me
dit encore une fois; "Ta
gueule salope!" Et à
nouveau, il me mit ma muselière.
Il tira mes cheveux d’une
main et de l’autre, il me
ferma la gueule. J’avais
le corps relevé et il s’y
donnait à cœur joie.
Il me "pina" sans cesse
à gros coup de reins. La
force de ses coups résonnait
dans ma chatte et j’entendais
en même temps l’impact
qu’ils faisaient contre
mes fesses. Je criai dans sa main,
je bavai dans sa main. J’avais
envie de le mordre pour pouvoir
lui crier; « Continue, surtout
n’arrête pas... »
car je sentais à nouveau
l’orgasme qui montait dans
mon ventre.

Il
lâcha ma chevelure et changea
de main sur ma bouche, il ne voulait
absolument pas m’entendre.
Et là, j’entendis
encore une claque venir me mordre
la fesse. Il n'arrêtait
plus, il me donnait la fessée
tout en continuant ses vas et
viens dans ma chatte. Il ne m’épargna
pas, à chaque coup de reins
qu’il m’offrait, il
en lâchait une sur ma fesse.
Je criai de douleurs et en même
temps de plaisir. Je sentis une
larme couler de mes yeux. Mon
corps se débattait sous
cette torture, mes fesses se mirent
à faire de grands vas et
viens sur sa queue.
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