Titre
: Je l’ai agacée,
narguée et humiliée
devant mes copines |
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Cette
phrase résonnait
en moi, mon cœur s’était
mis à accélérer
dans ma poitrine. J’entendis
alors notre invité
dire; "Non, non, non!!!
Vous me débarquez
avant." Le petit coquin,
avait pris mon manège
comme un jeu... donc, il
s’était amusé
de moi. Là, j’entendis
les hommes se battre pour
savoir qui serait débarqué
le premier. Moi, dans ma
tête, je trouvais
cette situation très
amusante. Je prenais littéralement
pour mon mec, j’espérais
qu’il remporte cette
bataille. D’un ton
autoritaire, mon mec venait
de clore la discussion,
il avait gagné...
j’étais fier
de lui. Je le débarquai
devant chez lui, il me dit
des petits mots doux avant
de descendre que je n’entendis
pas, parce que ma tête
était complètement
ailleurs. Son coéquipier
passa sur la banquette avant
et on décolla vers
son appartement. Durant
le trajet, nous parlions
très peu, je sentais
le malaise qui se dessinait
en lui. Moi, je conduisais
d’une manière
hâtive, car je savais
comment cette soirée
finirait. Je pouvais sentir
ma chatte humide réclamer
sa grosse queue.

Nous
arrivâmes devant chez
lui, j’arrêtai
la voiture, enlevai ma ceinture
et le regardai. Sans hésiter,
je me lançai, l’agrippai
par le collet, l’attirai
vers moi et lui dévorai
le visage. Après
quelques minutes, je lui
dis; "On rentre chez
toi." Je l’entendis
me dire; "Je ne peux
pas, car ma copine est chez
moi." Sur ces mots,
déception et frustration
s’accaparèrent
de moi. Je pouvais toujours
sentir ma chatte qui réclamait
cette queue et me forçai
à agir. Je me disais;
« Il pense toujours
que c’était
un jeu, je vais lui montrer
comment j’étais
sérieuse ».
Je m’agenouillai sur
mon siège, dégageai
mes jambes de sous ma jupe,
passai mes jambes du côté
passager et m’installai
sur ma proie. Car proie
il était, proie il
serait. Bien installée
sur lui, les cuisses dégagées,
les mains sur ses épaules,
je le regardai droit dans
les yeux et lui dis; "Tu
croyais vraiment que c’était
juste un petit jeu!"
Lui, le petit sourire de
chacal aux lèvres
ne disant rien posa les
mains de chaque côté
de mes grosses fesses pour
les caresser encore.
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Avec
avidité, je me mis à
manger ses lèvres, ses
oreilles, son cou, son visage
telle une affamée qui n’avait
rien eu à se mettre sous
les dents depuis des jours. C’était
le cas, car mon mec ne pouvait
pas satisfaire cet appétit
sexuel en moi. J’avais besoin
qu’on me prenne comme une
chienne. Ma chatte réclamait
jouissance. Elle voulait sentir
quelque chose de vrai en elle.
Toujours avec avidité et
empressement, je déboutonnai
son jean et le descendis à
ses genoux. Je me sentais comme
sous l’effet d’une
drogue, mes gestes étaient
pressants, je n’en pouvais
plus, il fallait que je la sente.

Je
regardais sa queue dure, bandée
et surtout très énorme.
C’était tellement
loin de mes espérances,
elle était encore mieux
que dans mon imagination. Sans
hésiter, je dégageai
encore plus ma robe de mes cuisses,
approchai ma chatte de sa queue
et la pris de ma main gauche puis
de l’autre, je dégageai
ma petite culotte toute mouillée,
pour ainsi permettre l’entrée.
Dans ma main, elle était
vraiment, mais vraiment énorme.
Je la plaçai devant mon
petit trou et descendis dessus,
ma chatte l’avalai sans
aucune difficulté tellement
j'étais mouillée
d'envie ce soir. Je râlais
de sensations. Les yeux fermés,
la gueule grande ouverte pointait
vers le plafond, tellement les
sensations étaient bonnes
en moi. Ma chatte enfin avait
une queue à sa hauteur,
en elle. J’étais
pleine et cela me faisait un bien
énorme, je sentais enfin
quelque chose. J’étais
ivre de sensations, j’étais
enragée sur sa queue. Mes
deux mains étaient sur
son visage que je mangeais à
pleine bouche. Mon corps tout
entier était enragé
et vorace. Je le dévorais
de partout [sa queue et son visage].
Tout à coup à mon
grand désarroi, je l’entendis
gémir et se raidir de tout
son être. Je me reculai
le corps et l’aperçu
qui était pris de jouissance
incontrôlée. Sa queue
se contractait dans ma vulve à
chaque giclée qu’il
déversait dans mes profondeurs.
Je suis restée là,
sur lui à le regarder,
dégoûtée et
frustrée de m’avoir
coupé toutes ces envies
et sensations que je venais à
peine de goûter. Lui, apercevant
mon visage, était gêné
de la situation. Je soulevai ma
jupe et retraversai sur le siège
du conducteur.
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