Je l’ai agacée, narguée et humiliée devant mes copines
[f.e.e.]
 
 
Titre : Je l’ai agacée, narguée et humiliée devant mes copines

Je sentis que ma jouissance allait éclater. Il bougea vite en moi, je bougeai vite sur son sexe et les tapes continuaient de pleuvoir au même rythme. Toutes ces sensations en moi voulaient sortir. Je voulais gueuler pour qu’il sache que ma jouissance venait, pour lui dire que ma jouissance venait, mais tout était étouffé par cette main qui m’empêchait de crier. Mes fesses descendirent sur sa queue, ses coups de reins percutèrent constamment contre elles. Sa verge entra et ressorta facilement tellement j’étais mouillée. Tout à coup, il me prit, j’écartai les jambes de plus en plus larges et m’enfonça plus profond sur lui pour laisser les sensations m’envahir. J’éclatai comme une folle, j’accueillis sa queue en moi comme il faut, cette jouissance continua sous ses assauts... Je l’entendis gémir derrière moi, j’imaginai déjà sa semence se déverser aux portes de mon utérus. D’un geste brusque, il prit ma crinière et me força à me coucher sur son matelas. La queue dans sa main, il approcha et d’un gros râlement me gicla son sperme sur tout le visage. J’en avais partout, sur les yeux, la bouche, le nez et les joues.

Me tenant toujours la crinière, il me tira et me fit sortir de son lit. Il me tira tellement fort que je ne pu que le suivre. Au passage, il me dit; "Ramasse ton sac!" Je me dégageai les yeux couverts de sperme pour apercevoir mon sac à mes pieds, je le pris. Il me traîna comme une femme des cavernes vers la porte de sa demeure qu'il ouvrit et me jeta dehors en disant; "Sort de chez moi chienne!" Je restai là devant sa porte l’air ébahi de ce que ce chacal venait de me faire. L’air dépravé, je me dirigeai vers ma voiture. Je m’assis derrière le volant et récupérai de toutes mes émotions. Je n’arrêtais pas de me dire quel

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Night of slow

salaud c’était, il s’était bien vengé de mes affronts. Maintenant, il avait toute une histoire à raconter à ses petits copains. Je sentais toujours ma chatte en extase de toutes ces dernières sensations. Ma fesse surchauffait et picotait de douleur. Sa semence était toujours sur mon visage, elle venait de couler à mes lèvres, que je léchai de la langue. Les images de cette nuit me traversèrent l’esprit en une fraction de seconde.

J’étais à nouveau excité, je cambrai les fesses vers l’avant, retroussai ma robe et plaçai les pieds de chaque côté du volant. Où était passée ma petite culotte? Ha oui, je me souvins! J’introduisis mes doigts dans ma chatte, de l’autre main j’agressai mon clitoris avec force car je voulais jouir là maintenant, encore. Je frottai, frottai, la jouissance monta tellement vite, alimentée par les images de cet ébat féroce. Je retirai les deux doigts qui étaient à l’intérieur de ma vulve et les introduisis dans ma bouche et lès léchai goulûment. De cette même main, je parcourus mon visage pour récolter toute sa semence qui s’y gaspillait et je finis par laper mes doigts qui en étaient imbibés. Ça et cette scène de soumission que je venais de vivre m’excitaient. Mes doigts allèrent de plus en plus vite sur mon clitoris, mes jambes se mirent à trembler. Je me suis mise à crier de toutes mes entrailles, car là je pouvais. J’explosai à nouveau d’une jouissance qui faisait tellement de bien... Je repartai vers chez moi, ayant cette nuit en tête et me demandai comment ce sera la prochaine soirée à l’université dans une semaine. Va-t-il revenir m’honorer encore une fois avec l’envie de se venger à nouveau? Ou devrais-je plutôt tenter une autre grosse queue, d’un autre de ses coéquipiers?

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