J’ai
des vices cachés inavouables, si je
vous les dévoilais la vision que vous
avez de moi changerait à coup sûr….
Ses petits secrets la, je les garde
enfouis profondément ancrés dans ma
tête et jamais, je n’oserai en parler…
Pourquoi! Peur du ridicule, du rejet
de la société, de son jugement hypocrite,
d’avoirs l’air salace ou vicieuse [vicieux],
un peu tout cela à la fois. Le monde
dans lequel nous vivons aujourd’hui
nous oblige à garder un jardin très
secret sur nos penchants un peu plus
pervers. Du temps des Romains, des Grecs
et même des Égyptiens, la sexualité
n’avait pratiquement aucun tabou. Le
sexe libre était partagé entre tous,
la recherche du plaisir était le but
de chaque expérience vécue, peu importais
le sexe du partenaire, le nombre, la
façon, l’objet utiliser pour procurer
du plaisir, l’aboutissement était l’échange,
l’orgasme, le jeu, la jouissance. Tout
était permis et offert aux plus consentants.
Ce besoin encore présent de nos jours
est brimé par la conscience religieuse,
l’interdit d’une éducation puritaine
et les lois. Ici, nous désirons briser
les tabous et ouvrir la boîte de Pandore.
Sous le couvert de l’anonymat plusieurs
personnes osent en dirent plus sur leurs
propres désirs de perversion. Vous êtes
curieux d’en savoir plus n’est-ce pas
alors entrer dans la zone des vices
cachés, vous ne serez pas déçu du voyage
et qui sait si vous ne vous reconnaissiez
pas dans ses témoignages. Petits pervers
que vous êtes!
P.S.
Avant de mettre votre récit sur papier,
apposé votre surnom, âge, sexe, ville,
pays.
Écrivez
à : infokouples@gmail.com

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31)
Se
faire
prendre
pendant
qu’une
troisième
personne
dort
dans
le
même
lit.
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Nous
nous étions
tous les trois
endormis dans
le grand lit
queen du sous-sol
de la maison
de notre amie
chez qui nous
avions fait
la fête. Je
me rappelle
du massage
à quatre mains
que mon fuck
friend de
l’époque avait
reçu ce soir
la après plusieurs
verres de
rhum nos mains
avaient caressé
son corps
entièrement.
Nous l’avions
laissé sur
sa faim… Nous
nous sommes
tous les trois
endormis dans
le lit. Lili
dort à point
fermé. Elle
tourne le
dos à Fred,
moi à demi
consciente,
en presque
cuillère avec
Frederik que
je pense complètement
knock-out.
Mais non!
Une queue
bien bandée
se glisse
sur le tissu
de mon pyjama
en coton.
Je peux très
bien sentir
son membre
bien dur frotter
mes fesses
avec beaucoup
d’insistance.
Je ne bouge
pas, je laisse
croire que
je dors. Il
continu, ne
lâche pas
son rythme,
moi de sentir
sa bite me
masser littéralement
les fesses
me rend chaude.
Je commence
à bouger et
à lui montrer
que j’apprécie
ce qu’il fait.
Au bout de
quelques minutes
de dance lascive,
nos mains
finissent
par se rejoindre
sur nos corps
et toujours
en position
de cuillère,
il baisse
mon pyjama,
m’écarte les
fesses et
me pénètre
doucement.
Une main sur
mon clito
pour me faire
jouir, l’autre
sur ma bouche
pour étouffer
mes gémissements,
il me prit
de cette façon
jusqu'à ce
que nous jouissions
tous les deux.
Lili ne sait
jamais réveiller
et ne nous
en a jamais
parlé après.
Par la suite,
qu'elle dorme
dans le même
lit que nous
rendait la
chose encore
plus excitante.
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32)
Mes
copines
racontent
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Lors
de nos rencontres
entre amies
après
quelques verres
de vin, les
discussions
pouvaient
aller bon
train sur
des sujets
très
épicées.
Comment avaient-elles
aimé
se faire prendre,
comment leur
homme les
fait jouir,
leurs positions
préférées,
etc. Oui,
vous seriez
très
étonné
ou peut-être
pas du tout
d'entendre
toutes les
informations
que l'on peut
recueillies
lors de ses
réunions
de filles,
comme on aime
les appeler.
Soirée
parfois exutoire,
on sort nos
frustrations,
nos petits
secrets. Ces
soirées
permettent
de voir à
quel point
nous sommes
parfois très
semblables
ou carrément
différentes
dans notre
intimité,
elles peuvent
aussi nous
rendre mal
à l'aise
...
»
Suite |
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33)
J'écoute
mes
voisins
baiser
et
je
réveille
mon
mec
pour
leurs
faire
compétition |
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Ce
n'était
pas la première
fois que mes
voisins s'en
donnaient
à cœur
joie dans
leur salon.
Ils avaient
une très
forte libido.
Ha! ça,
j'en avais
souvent fait
les frais.
Leur mur de
salon était
collé
à celui
de notre chambre,
il n'était
vraiment pas
insonorisé
et parfois,
j'avais l'impression
de faire partie
du duo. Une
nuit, il devait
être
proche de
2h du matin,
mon conjoint
et moi-même
dormions paisiblement
jusqu'à
ce que mon
sommeil soit
perturbé
par des bruits
lointains.
Plus je me
réveillais
plus les bruits
devenaient
distinct.
Gémissements,
râlements,
soupire bref
la totale,
une symphonie
digne du Marquis
de Sade lui-même.
J'attendais
quelques minutes,
qui me semblèrent
des heures.
Mon conjoint
lui, dormais
à point
fermer à
côté
de moi, je
l'enviai.
Pour ma part
impossible
de me rendormir
et en plus,
leur petit
manège
commençait
à m'exciter.
Les minutes
s'écoulèrent,
j'avais l'impression
qu'il ne finirait
jamais de
jouir. Ah!!!
J'en avais
ras le bol.
Je commençais
à bouger
mon conjoint
pour le réveiller,
mais rien
à faire
il ronflait.
Plan B, je
passe sous
les draps
et je commence
à le
sucer, cela
n'a pas été
long, qu'il
s'est réveillé
bandé.
Ni une ni
deux, je lui
grimpe dessus
et je commence
à bouger
sur sa queue.
Il est surpris,
mais
... »
Suite |
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La
soirée
avait été
très
agréable
chez notre
couple d'amis.
Et après
le souper,
nous nous
étions
laissé
aller à
fumer un joint
de pote ensemble.
Alcool, marijuana
et fou rire
avaient rendu
notre soirée
très
euphorique.
De retour
chez nous,
cela ne fut
pas très
long pour
que mon conjoint
et moi-même
nous nous
sautèrent
carrément
dessus. Pas
le temps de
retirer nos
vêtements,
ni préliminaires.
Il me baissa
les jeans
d'un seul
coup, ma culotte
rose suivit
le mouvement.
On s'embrassait
à pleine
bouche et
les caresses
ne tarissaient
pas. Cela
faisait très
longtemps
que nous ne
nous étions
pas retrouvés
dans un état
d'excitation
pareille.
On
voulait se
baiser, se
bouffer tout
cru. L'effet
du pote sur
moi m'enlevait
complètement
mes inhibitions,
mes complexes,
j'étais
à nouveau
belle, sexy,
désirable
et, peu importe
les positions
qu'il prenait
pour me baiser,
je me laissais
complètement
aller à
ressentir
le plaisir.
Cela remplissait
mon corps
et ma chatte
humide. Nous
étions
sur le grand
divan de notre
salon,-moi
position doggy
style..
»
Suite |
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Elle
était chez
moi cette
fille asiatique
que je commençais
à fréquenter
depuis peu.
Nous avions
commencé à
nous exciter
sur mon divan
quand tout
à coup me
vint cette
idée. Je mis
une cassette
vidéo dans
mon magnétoscope
et commença
un film 3X.
Je lui dis
d’enlever
son pantalon
et de se masturber,
ce qu’elle
s'empressa
de faire.
Moi je me
plaçai pour
apercevoir
les deux scènes,
c’était beau
à regarder.
J’enlevais
à mon tour
mon pantalon
et me mis
à me caresser.
Elle regardait
ma verge,
elle voulait
ma verge.
La question
qui se pose
c’est; comment
vais je lui
offrir? Eurêka,
j’ai trouvé!
Je lui dis,
viens sur
ma queue.
D’une envie
pressante,
elle vint
s’empaler
sur ma queue
et se mit
aussitôt à
bouger. Je
lui dis; relax,
je veux juste
que tu te
masturbes
devant le
film. Elle
redressa ses
jambes et
vint placer
ses pieds
sur le bord
de divan,
une main sur
mon genou
et l'autre
travaillait
son clitoris.
Nous sommes
tout deux
face à la
télévision,
elle positionnée
sur ma queue
entament une
masturbation
intensive.
Une scène
de lesbienne
vient de débuter,
c’était tout
calculé. Cela
l’excitait
de voir cette
blonde et
cette brune
ensemble dans
cette scène
d’une sensualité
rare. Sa masturbation
s’accéléra
d’un coup.
Elle se tenait
droite sur
ma verge,
le corps incliné
vers l’avant.
Et là, surprise.
Pendant que
son excitation
s’accentuait,
je sentais
sa vulve qui
se resserrait
sur ma queue.
Son entrée
vaginale compressait
ma verge.
Plus son excitation
tendait vers
l’orgasme
plus ma queue
ressentait
cet étau qui
l’écrasait.
J’avais l’impression
que ma queue
allait ceindre
en deux, tellement
la force était
terrible.
Prenez vos
deux mains
ensemble et
serrer le
bras de quelqu’un
de toute votre
force et croyez-moi,
vous serez
toujours loin
de l’expérience
que subissait
ma queue.
J’avais juste
hâte qu’elle
vienne pour
que ma torture
cesse. Halleluyah!
Son corps
se raidit,
elle criait,
je l’entendais
jouir fort
et intensément.
L’étreinte
que sa vulve
avait sur
ma queue cessa
aussitôt.
Wow toute
une expérience.
Je ne lui
en ai jamais
parlé. |
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36)
Sa
main
dans
mon
jeans
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J’étais
chez cet homme
qui me plaît
bien un après-midi
d’automne.
Je me souviens
juste m’être
levé de son
sofa en plein
milieu de
son salon.
Il fit de
même et nous
commençâmes
à nous embrasser
quand sans
mégarde sa
main gauche
se retrouve
dans mon jeans
sous ma petite
culotte. Pendant
qu’il m’embrassait,
il faufila
un de ses
doigts à l’intérieur
de ma cavité
vaginale et
entrepris
un manège
qui me mit
dans tous
mes états.
Son doigt
était à peine
à l’embouchure
de ma vulve
et déjà je
pouvais sentir
une envie
d’orgasmer
monté en moi.
Sa main droite
placée dans
ma chevelure
recourbait
mon cou vers
l’arrière.
De sa bouche,
il m’embrassait
le cou, le
menton, les
joues, les
lèvres intensément.
Tout à coup
ses lèvres
vinrent se
placer sur
mon oreille,
les mordillèrent
tout en lâchant
de longs soupirs,
ce qui faisait
en sorte d’accroître
mon excitation.
Je sentais
mes jambes
tremblés et
me lâcher.
Je me suis
agrippé à
lui en sentant
que son doigt
en moi aussi
avait fait
en guise de
me soutenir.
Ce doigt qui
est tellement
bien placé
me procure
de telles
sensations
que je ne
pus retenir
cette jouissance
qui ne demandait
qu’à sortir.
Haaaaaaaaaaa!
Je sentis
à nouveau
mes jambes
fléchir, mais
plus que la
dernière fois
je ressentais
la puissance
de son doigt
qui m’empêchait
de chuter.
Il continua
comme ça pendent
15 autres
minutes et
j’ai orgasmé
encore 3 autres
fois, toujours
debout accroché
a lui. |
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37)
Comment
j'ai
tué
mon
sextoy
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Je
m'étais acheté
un vibrateur
style réaliste.
Un beau petit
jouet de huit
pouces couleur
chair avec
une belle
ventouse à
sa base et
un œuf vibrant
à l'intérieur,
trois vitesses
la Cadillac
des Cadillac
des Sex Toy.
Je lui avais
même donné
un joli petit
prénom, mon
jouet s'appelait
"Roberto".
Il avait été
moulé sur
la verge d'un
acteur porno.
Je me suis
beaucoup amusé
avec lui seul
ou en duo
avec mon conjoint
de l'époque.
Je l'ai gardé
plusieurs
années et
je peux vous
dire que je
l'ai très
souvent utilisé,
à un point
tel que petit
à petit la
base de la
ventouse en
latex commença
à fendre en
deux mais,
il était toujours
utilisable.
Je ne voulais
pas le changer
pour rien
au monde,
c'était lui
à la vie à
la mort! Et
effectivement,
il mourut...
un soir de
fin de semaine
lors d'un
de mes jeux
préférés dans
la douche,
je lavais
coller au
fond de mon
bain comme
à mon habitude
et me donnant
de grands
coups de bassin
bien planté
dessus, j'assassinai
Roberto. La
base en latex
qui retenait
mon Roberto
s’est complètement
ouvert jusqu'à
la partie
où se trouvait
l'oeuf vibrant,
il était en
piteux état.
Plus de base,
fendue jusqu'à
la moitié
du corps,
je devais
faire le triste
deuil de mon
jouet amant
qui m'avait
soutenu dans
le comblement
de mon plaisir
solitaire.
Jusqu'à ce
jour, il n'a
pas été remplacé. |
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38)
Dans
ma
petite
culotte
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Je
me rendis
chez cet homme
sur mon heure
de pause travail.
Je le fréquentais
depuis peu
et me demandais
ce qu’il me
réservait
cette fois-ci,
car avec lui
ce n’était
jamais pareil.
Il adorait
me voir en
jupe ou robe
assorti de
talons hauts,
alors j’exécutais
ses caprices
sans hésiter.
N’ayant moins
d’une heure
à notre disposition
croyez-moi
qu’à peine
arrivée qu’on
sautait dans
son grand
lit. Ce que
je donnerai,
c’est sa manière
de prendre
soin de moi
et de mon
corps. Pour
moi c’était,
Monsieur préliminaire,
Monsieur cunnilingus.
Pour une fois,
je me sentais
gâté de ce
côté. Je portais
une robe légère
des talons
hauts et une
culotte que
je lui permis
de choisir
avec plein
d’autres accessoires
dans une boutique
de lingeries.
Après avoir
aguiché les
parties restées
libres de
mon corps,
de sa bouche,
de sa langue,
car oui, lui,
il adorait
me baiser
dans mes vêtements
et moi qui
trouvais que
les mecs se
pressaient
trop souvent
de me mettre
à nu sans
trop profiter
du panorama.
Mais pas lui.
Lui, il désirait
me mordiller
sur mes vêtements
et lorsqu’il
s’attaquait
à mes fesses
de ses dents,
haaaaaa! Sublimes
moments, il
savait m’exciter!
Il souleva
ma robe ...
»
Suite
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Cela
faisait six
mois que mon
mari et moi
vivions une
très mauvaise
période et
nous avions
réussi à nous
réconcilier.
Ce soir-là,
nous avons
fait l'amour
comme jamais,
comme des
retrouvailles
après une
longue absence.
La passion
était présente,
les caresses,
la fougue,
nous étions
en parfaite
symbiose émotionnelle
et sexuelle.
Je me rappelle
avoir vraiment
pris mon pied.
J’ai obtenu
mon orgasme
assise sur
lui, position
qu'il affectionnait.
Je me rappelle
l'intensité
à laquelle
je m'enfonçais
sur sa queue,
frottant ma
vulve complètement
écartée sur
son pubis,
les mains
dans mes cheveux,
la tête arquée
par en arrière,
j'avais le
corps presque
plié en deux.
Il me tenait
par les cuisses,
un moment
donné des
chocs électriques
traversèrent
mon ventre
explosèrent
dans mon vagin.
Je ne sais
pas si c'est
l'émotion
du moment,
la puissance
de l'orgasme
ou toutes
les dernières
épreuves que
notre couple
venait de
subir. La
victoire d'avoir
sauvé mon
couple, la
peine, la
souffrance
de l’infidélité,
bref toutes
ces émotions
m'ont fait
pleurer durant
mon orgasme.
J’ai pleuré
comme si je
me vidais
de mon eau.
J’ai pleuré
de joie, de
peine, de
plaisir c'était
complètement
fou, mais
libérateur. |
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Je
ne suis pas
d’ici, je
suis d’origine
magrébine.
Donc comme
vous pouvez
vous imaginer,
la sexualité
de là-bas
diffère totalement
de celle en
Amérique du
Nord. Les
tabous sont
partout et
pour rien.
Je fréquente
ce montréalais
depuis peu,
je peux vous
dire que des
surprises
j’en ai et
c’est très
agréable.
Un soir lors
d’un de nos
rapports sexuels,
je m’étais
installé sur
mon partenaire
pour lui prodiguer
du plaisir.
Tout à coup,
j’entendis
un gros clac,
au même moment
je sentis
ma fesse gauche
chauffer,
accompagné
d’une légère
douleur. Dans
ma tête je
me dis; il
vient de m’en
coller une!
Oubliant cet
épisode, je
me remis au
travail, lui
du même coup
se mit à bouger
les reins,
ce qui me
déconcentra,
mais me procura
une panoplie
de sensations.
Je gémissais,
mon plaisir
grandissait.
Et clac! Une
tape retentit,
mais là, pas
avec le même
effet. Elle
me surprit,
pinça, mais
elle fut agréable.
Pendant ce
va-et-vient
qui semble
m’amener vers
l’orgasme,
il continua
son manège.
Je recevais
ses gros coups
de reins et
la fessée
en même temps.
Pour la première
fois de ma
vie je recevais
la fessé et
cela m’excitait
à un point
tel que l’orgasme
me fût à porté
... »
Suite |
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