Ces vices charnels #4

 

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J’ai des vices cachés inavouables, si je vous les dévoilais la vision que vous avez de moi changerait à coup sûr…. Ses petits secrets la, je les garde enfouis profondément ancrés dans ma tête et jamais, je n’oserai en parler… Pourquoi! Peur du ridicule, du rejet de la société, de son jugement hypocrite, d’avoirs l’air salace ou vicieuse [vicieux], un peu tout cela à la fois. Le monde dans lequel nous vivons aujourd’hui nous oblige à garder un jardin très secret sur nos penchants un peu plus pervers. Du temps des Romains, des Grecs et même des Égyptiens, la sexualité n’avait pratiquement aucun tabou. Le sexe libre était partagé entre tous, la recherche du plaisir était le but de chaque expérience vécue, peu importais le sexe du partenaire, le nombre, la façon, l’objet utiliser pour procurer du plaisir, l’aboutissement était l’échange, l’orgasme, le jeu, la jouissance. Tout était permis et offert aux plus consentants. Ce besoin encore présent de nos jours est brimé par la conscience religieuse, l’interdit d’une éducation puritaine et les lois. Ici, nous désirons briser les tabous et ouvrir la boîte de Pandore. Sous le couvert de l’anonymat plusieurs personnes osent en dirent plus sur leurs propres désirs de perversion. Vous êtes curieux d’en savoir plus n’est-ce pas alors entrer dans la zone des vices cachés, vous ne serez pas déçu du voyage et qui sait si vous ne vous reconnaissiez pas dans ses témoignages. Petits pervers que vous êtes!

P.S. Avant de mettre votre récit sur papier, apposé votre surnom, âge, sexe, ville, pays.

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31) Se faire prendre pendant qu’une troisième personne dort dans le même lit.
Nous nous étions tous les trois endormis dans le grand lit queen du sous-sol de la maison de notre amie chez qui nous avions fait la fête. Je me rappelle du massage à quatre mains que mon fuck friend de l’époque avait reçu ce soir la après plusieurs verres de rhum nos mains avaient caressé son corps entièrement. Nous l’avions laissé sur sa faim… Nous nous sommes tous les trois endormis dans le lit. Lili dort à point fermé. Elle tourne le dos à Fred, moi à demi consciente, en presque cuillère avec Frederik que je pense complètement knock-out. Mais non! Une queue bien bandée se glisse sur le tissu de mon pyjama en coton. Je peux très bien sentir son membre bien dur frotter mes fesses avec beaucoup d’insistance. Je ne bouge pas, je laisse croire que je dors. Il continu, ne lâche pas son rythme, moi de sentir sa bite me masser littéralement les fesses me rend chaude. Je commence à bouger et à lui montrer que j’apprécie ce qu’il fait. Au bout de quelques minutes de dance lascive, nos mains finissent par se rejoindre sur nos corps et toujours en position de cuillère, il baisse mon pyjama, m’écarte les fesses et me pénètre doucement. Une main sur mon clito pour me faire jouir, l’autre sur ma bouche pour étouffer mes gémissements, il me prit de cette façon jusqu'à ce que nous jouissions tous les deux. Lili ne sait jamais réveiller et ne nous en a jamais parlé après. Par la suite, qu'elle dorme dans le même lit que nous rendait la chose encore plus excitante.
32) Mes copines racontent
Lors de nos rencontres entre amies après quelques verres de vin, les discussions pouvaient aller bon train sur des sujets très épicées. Comment avaient-elles aimé se faire prendre, comment leur homme les fait jouir, leurs positions préférées, etc. Oui, vous seriez très étonné ou peut-être pas du tout d'entendre toutes les informations que l'on peut recueillies lors de ses réunions de filles, comme on aime les appeler. Soirée parfois exutoire, on sort nos frustrations, nos petits secrets. Ces soirées permettent de voir à quel point nous sommes parfois très semblables ou carrément différentes dans notre intimité, elles peuvent aussi nous rendre mal à l'aise ... » Suite
33) J'écoute mes voisins baiser et je réveille mon mec pour leurs faire compétition
Ce n'était pas la première fois que mes voisins s'en donnaient à cœur joie dans leur salon. Ils avaient une très forte libido. Ha! ça, j'en avais souvent fait les frais. Leur mur de salon était collé à celui de notre chambre, il n'était vraiment pas insonorisé et parfois, j'avais l'impression de faire partie du duo. Une nuit, il devait être proche de 2h du matin, mon conjoint et moi-même dormions paisiblement jusqu'à ce que mon sommeil soit perturbé par des bruits lointains. Plus je me réveillais plus les bruits devenaient distinct. Gémissements, râlements, soupire bref la totale, une symphonie digne du Marquis de Sade lui-même. J'attendais quelques minutes, qui me semblèrent des heures. Mon conjoint lui, dormais à point fermer à côté de moi, je l'enviai. Pour ma part impossible de me rendormir et en plus, leur petit manège commençait à m'exciter. Les minutes s'écoulèrent, j'avais l'impression qu'il ne finirait jamais de jouir. Ah!!! J'en avais ras le bol. Je commençais à bouger mon conjoint pour le réveiller, mais rien à faire il ronflait. Plan B, je passe sous les draps et je commence à le sucer, cela n'a pas été long, qu'il s'est réveillé bandé. Ni une ni deux, je lui grimpe dessus et je commence à bouger sur sa queue. Il est surpris, mais ... » Suite
34) Sous l'effet du pote
La soirée avait été très agréable chez notre couple d'amis. Et après le souper, nous nous étions laissé aller à fumer un joint de pote ensemble. Alcool, marijuana et fou rire avaient rendu notre soirée très euphorique. De retour chez nous, cela ne fut pas très long pour que mon conjoint et moi-même nous nous sautèrent carrément dessus. Pas le temps de retirer nos vêtements, ni préliminaires. Il me baissa les jeans d'un seul coup, ma culotte rose suivit le mouvement. On s'embrassait à pleine bouche et les caresses ne tarissaient pas. Cela faisait très longtemps que nous ne nous étions pas retrouvés dans un état d'excitation pareille. On voulait se baiser, se bouffer tout cru. L'effet du pote sur moi m'enlevait complètement mes inhibitions, mes complexes, j'étais à nouveau belle, sexy, désirable et, peu importe les positions qu'il prenait pour me baiser, je me laissais complètement aller à ressentir le plaisir. Cela remplissait mon corps et ma chatte humide. Nous étions sur le grand divan de notre salon,-moi position doggy style.. » Suite
35) Devant un film 3X
Elle était chez moi cette fille asiatique que je commençais à fréquenter depuis peu. Nous avions commencé à nous exciter sur mon divan quand tout à coup me vint cette idée. Je mis une cassette vidéo dans mon magnétoscope et commença un film 3X. Je lui dis d’enlever son pantalon et de se masturber, ce qu’elle s'empressa de faire. Moi je me plaçai pour apercevoir les deux scènes, c’était beau à regarder. J’enlevais à mon tour mon pantalon et me mis à me caresser. Elle regardait ma verge, elle voulait ma verge. La question qui se pose c’est; comment vais je lui offrir? Eurêka, j’ai trouvé! Je lui dis, viens sur ma queue. D’une envie pressante, elle vint s’empaler sur ma queue et se mit aussitôt à bouger. Je lui dis; relax, je veux juste que tu te masturbes devant le film. Elle redressa ses jambes et vint placer ses pieds sur le bord de divan, une main sur mon genou et l'autre travaillait son clitoris. Nous sommes tout deux face à la télévision, elle positionnée sur ma queue entament une masturbation intensive. Une scène de lesbienne vient de débuter, c’était tout calculé. Cela l’excitait de voir cette blonde et cette brune ensemble dans cette scène d’une sensualité rare. Sa masturbation s’accéléra d’un coup. Elle se tenait droite sur ma verge, le corps incliné vers l’avant. Et là, surprise. Pendant que son excitation s’accentuait, je sentais sa vulve qui se resserrait sur ma queue. Son entrée vaginale compressait ma verge. Plus son excitation tendait vers l’orgasme plus ma queue ressentait cet étau qui l’écrasait. J’avais l’impression que ma queue allait ceindre en deux, tellement la force était terrible. Prenez vos deux mains ensemble et serrer le bras de quelqu’un de toute votre force et croyez-moi, vous serez toujours loin de l’expérience que subissait ma queue. J’avais juste hâte qu’elle vienne pour que ma torture cesse. Halleluyah! Son corps se raidit, elle criait, je l’entendais jouir fort et intensément. L’étreinte que sa vulve avait sur ma queue cessa aussitôt. Wow toute une expérience. Je ne lui en ai jamais parlé.
36) Sa main dans mon jeans
J’étais chez cet homme qui me plaît bien un après-midi d’automne. Je me souviens juste m’être levé de son sofa en plein milieu de son salon. Il fit de même et nous commençâmes à nous embrasser quand sans mégarde sa main gauche se retrouve dans mon jeans sous ma petite culotte. Pendant qu’il m’embrassait, il faufila un de ses doigts à l’intérieur de ma cavité vaginale et entrepris un manège qui me mit dans tous mes états. Son doigt était à peine à l’embouchure de ma vulve et déjà je pouvais sentir une envie d’orgasmer monté en moi. Sa main droite placée dans ma chevelure recourbait mon cou vers l’arrière. De sa bouche, il m’embrassait le cou, le menton, les joues, les lèvres intensément. Tout à coup ses lèvres vinrent se placer sur mon oreille, les mordillèrent tout en lâchant de longs soupirs, ce qui faisait en sorte d’accroître mon excitation. Je sentais mes jambes tremblés et me lâcher. Je me suis agrippé à lui en sentant que son doigt en moi aussi avait fait en guise de me soutenir. Ce doigt qui est tellement bien placé me procure de telles sensations que je ne pus retenir cette jouissance qui ne demandait qu’à sortir. Haaaaaaaaaaa! Je sentis à nouveau mes jambes fléchir, mais plus que la dernière fois je ressentais la puissance de son doigt qui m’empêchait de chuter. Il continua comme ça pendent 15 autres minutes et j’ai orgasmé encore 3 autres fois, toujours debout accroché a lui.
37) Comment j'ai tué mon sextoy
Je m'étais acheté un vibrateur style réaliste. Un beau petit jouet de huit pouces couleur chair avec une belle ventouse à sa base et un œuf vibrant à l'intérieur, trois vitesses la Cadillac des Cadillac des Sex Toy. Je lui avais même donné un joli petit prénom, mon jouet s'appelait "Roberto". Il avait été moulé sur la verge d'un acteur porno. Je me suis beaucoup amusé avec lui seul ou en duo avec mon conjoint de l'époque. Je l'ai gardé plusieurs années et je peux vous dire que je l'ai très souvent utilisé, à un point tel que petit à petit la base de la ventouse en latex commença à fendre en deux mais, il était toujours utilisable. Je ne voulais pas le changer pour rien au monde, c'était lui à la vie à la mort! Et effectivement, il mourut... un soir de fin de semaine lors d'un de mes jeux préférés dans la douche, je lavais coller au fond de mon bain comme à mon habitude et me donnant de grands coups de bassin bien planté dessus, j'assassinai Roberto. La base en latex qui retenait mon Roberto s’est complètement ouvert jusqu'à la partie où se trouvait l'oeuf vibrant, il était en piteux état. Plus de base, fendue jusqu'à la moitié du corps, je devais faire le triste deuil de mon jouet amant qui m'avait soutenu dans le comblement de mon plaisir solitaire. Jusqu'à ce jour, il n'a pas été remplacé.
38) Dans ma petite culotte
Je me rendis chez cet homme sur mon heure de pause travail. Je le fréquentais depuis peu et me demandais ce qu’il me réservait cette fois-ci, car avec lui ce n’était jamais pareil. Il adorait me voir en jupe ou robe assorti de talons hauts, alors j’exécutais ses caprices sans hésiter. N’ayant moins d’une heure à notre disposition croyez-moi qu’à peine arrivée qu’on sautait dans son grand lit. Ce que je donnerai, c’est sa manière de prendre soin de moi et de mon corps. Pour moi c’était, Monsieur préliminaire, Monsieur cunnilingus. Pour une fois, je me sentais gâté de ce côté. Je portais une robe légère des talons hauts et une culotte que je lui permis de choisir avec plein d’autres accessoires dans une boutique de lingeries. Après avoir aguiché les parties restées libres de mon corps, de sa bouche, de sa langue, car oui, lui, il adorait me baiser dans mes vêtements et moi qui trouvais que les mecs se pressaient trop souvent de me mettre à nu sans trop profiter du panorama. Mais pas lui. Lui, il désirait me mordiller sur mes vêtements et lorsqu’il s’attaquait à mes fesses de ses dents, haaaaaa! Sublimes moments, il savait m’exciter! Il souleva ma robe ... » Suite
39) J'ai pleuré après
Cela faisait six mois que mon mari et moi vivions une très mauvaise période et nous avions réussi à nous réconcilier. Ce soir-là, nous avons fait l'amour comme jamais, comme des retrouvailles après une longue absence. La passion était présente, les caresses, la fougue, nous étions en parfaite symbiose émotionnelle et sexuelle. Je me rappelle avoir vraiment pris mon pied. J’ai obtenu mon orgasme assise sur lui, position qu'il affectionnait. Je me rappelle l'intensité à laquelle je m'enfonçais sur sa queue, frottant ma vulve complètement écartée sur son pubis, les mains dans mes cheveux, la tête arquée par en arrière, j'avais le corps presque plié en deux. Il me tenait par les cuisses, un moment donné des chocs électriques traversèrent mon ventre explosèrent dans mon vagin. Je ne sais pas si c'est l'émotion du moment, la puissance de l'orgasme ou toutes les dernières épreuves que notre couple venait de subir. La victoire d'avoir sauvé mon couple, la peine, la souffrance de l’infidélité, bref toutes ces émotions m'ont fait pleurer durant mon orgasme. J’ai pleuré comme si je me vidais de mon eau. J’ai pleuré de joie, de peine, de plaisir c'était complètement fou, mais libérateur.
40) Ma première fessée
Je ne suis pas d’ici, je suis d’origine magrébine. Donc comme vous pouvez vous imaginer, la sexualité de là-bas diffère totalement de celle en Amérique du Nord. Les tabous sont partout et pour rien. Je fréquente ce montréalais depuis peu, je peux vous dire que des surprises j’en ai et c’est très agréable. Un soir lors d’un de nos rapports sexuels, je m’étais installé sur mon partenaire pour lui prodiguer du plaisir. Tout à coup, j’entendis un gros clac, au même moment je sentis ma fesse gauche chauffer, accompagné d’une légère douleur. Dans ma tête je me dis; il vient de m’en coller une! Oubliant cet épisode, je me remis au travail, lui du même coup se mit à bouger les reins, ce qui me déconcentra, mais me procura une panoplie de sensations. Je gémissais, mon plaisir grandissait. Et clac! Une tape retentit, mais là, pas avec le même effet. Elle me surprit, pinça, mais elle fut agréable. Pendant ce va-et-vient qui semble m’amener vers l’orgasme, il continua son manège. Je recevais ses gros coups de reins et la fessée en même temps. Pour la première fois de ma vie je recevais la fessé et cela m’excitait à un point tel que l’orgasme me fût à porté ... » Suite
   
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