J’ai
des vices cachés inavouables, si je
vous les dévoilais la vision que vous
avez de moi changerait à coup sûr….
Ses petits secrets la, je les garde
enfouis profondément ancrés dans ma
tête et jamais, je n’oserai en parler…
Pourquoi! Peur du ridicule, du rejet
de la société, de son jugement hypocrite,
d’avoirs l’air salace ou vicieuse [vicieux],
un peu tout cela à la fois. Le monde
dans lequel nous vivons aujourd’hui
nous oblige à garder un jardin très
secret sur nos penchants un peu plus
pervers. Du temps des Romains, des Grecs
et même des Égyptiens, la sexualité
n’avait pratiquement aucun tabou. Le
sexe libre était partagé entre tous,
la recherche du plaisir était le but
de chaque expérience vécue, peu importais
le sexe du partenaire, le nombre, la
façon, l’objet utiliser pour procurer
du plaisir, l’aboutissement était l’échange,
l’orgasme, le jeu, la jouissance. Tout
était permis et offert aux plus consentants.
Ce besoin encore présent de nos jours
est brimé par la conscience religieuse,
l’interdit d’une éducation puritaine
et les lois. Ici, nous désirons briser
les tabous et ouvrir la boîte de Pandore.
Sous le couvert de l’anonymat plusieurs
personnes osent en dirent plus sur leurs
propres désirs de perversion. Vous êtes
curieux d’en savoir plus n’est-ce pas
alors entrer dans la zone des vices
cachés, vous ne serez pas déçu du voyage
et qui sait si vous ne vous reconnaissiez
pas dans ses témoignages. Petits pervers
que vous êtes!
P.S.
Avant de mettre votre récit sur papier,
apposé votre surnom, âge, sexe, ville,
pays.
Écrivez
à : infokouples@gmail.com

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61)
Regarder
un
film
3x
pendant
que
mon
marie
dort |
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Il
dormait à
côté de moi
et nous venions
de baiser,
il s’était
endormi très
vite comme
à son habitude
et comme à
l’habitude
je n’avais
pas reçu satisfaction,
ni jouissance.
Je restais
le ventre
vide de sensation
comme affamé
de plaisir,
ma chatte
battait la
chamade se
contractais
encore sous
le souvenir
de la pénétration.
J’attendais
alors de l’entendre
ronfler et
je me tournais
dos à lui
doucement
dans notre
lit. Je prenais
mon iPhone
et je fouillais
sur le net
une petite
vidéo pour
m’exciter
rapidement.
Je me masturbais
vite très
vite de peur
d’être découverte,
j’essayais
de faire le
moindre bruit
et geste.
Le souvenir
de sa queue
encore imprégner
dans mon vagin
me permettait
de faire monter
l’orgasme.
Je restais
aux aguets
de ses moindres
réactions
pendant que
mes doigts
brutalisaient
mon clitoris
et que je
regardais
mon film x…
La jouissance
montait rapidement
grâce à ce
stratagème.
Lorsque l’orgasme
arrivait,
je retenais
mes cris les
faisant éclater
de l’intérieur.
Mon corps
se contractait
pour éviter
toutes secousses
de jouissance.
Une fois fini,
je replaçais
mon iPhone
à sa place
et je m’endormais
le cœur encore
palpitant
dans ma poitrine… |
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62)
Ma
chatte
réclame
d'être
soulagée
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Pendant
que je travail
il m’arrive
parfois de
sentir mon
clitoris se
contracter
de désir,
comme ça,
sans aucune
raison valable
il décide
de m’agacer
alors que
je suis hyper
concentrer
à vendre mon
produit avec
mon client.
Je redouble
d’effort afin
de ne pas
me laisser
envahir par
cette sensation
montante.
Je le discipline
pour qu’il
arrête de
me chatouiller
les sens.
Une fois sur
deux cela
fonctionne,
mais lorsque
l’envie de
jouir prend
le dessus
plus rien
n’arrête ça.
Cela devient
presque une
obsession,
la seule chose
que mon clitoris
réclame c’est;
frotte-moi,
agresse-moi,
je vais te
délivrer de
ce supplice.
Souvent, je
place une
main sous
mes fesses
pour presser
ma paume sur
ma chatte,
je là ramène
vers le haut
de mon pubis
appuyant mon
clitoris sur
le passage.
La pression
donne alors
une excitation
plus forte
comme une
envie pressante
de faire pipi.
Vous savez
lorsque cette
envie vous
prend, mais
qu’il n’y
a aucune toilette
aux horizons
alors votre
main se place
directement
sur votre
entre-jambes
et vous pressez
celui-ci pour
faire partir
cette envie
pressante.
Et bien, c’est
exactement
la même sensation
qu’il me vient
au moment
ou mon clitoris
décide de
vouloir se
donner du
plaisir. La
seule solution
pour moi est
de me lever
et de trouver
un endroit
pour lui obéir.
Où? Dans les
toilettes
au bureau,
dans le back-store
de l’arrière-boutique…
Une fois satisfaite
mon clitoris
me laisse
en paix, continuer
ma journée
de travail
jusqu’au prochain
orgasme réclamer.
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63)
La
regarder
travailler |
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Je
fréquentais
cette fille
qui reste
à 260 km de
chez moi,
nous nous
voyons une
fin de semaine
sur deux.
Elle me raconte
souvent comme
sa chatte
lui fait mal,
lorsqu’elle
est en manque
de sexe. À
son arrivée
chez moi,
je la tire
dans ma chambre,
la projette
sur le lit
face contre
le matelas.
Je déboutonne
son jean et
le retire
tout en faisant
de même avec
sa petite
culotte. Ses
fesses bombées
accompagnées
de son tatouage
tribal juste
au-dessus
sont magnifiques
et très excitantes.
Elle est là,
allongée attendant
soigneusement
que je daigne
la pénétrer,
car elle adore
cette première
intrusion
qui la délivrera
de cette longue
attente qu’à
durée ces
deux semaines.
Je retire
à mon tour
mon pantalon
et grimpe
sur elle en
position [push-up].
Je mouille
le bout de
mon gland
de ma salive
et me faufile
entre ses
cuisses pour
trouver l’antre
de son vagin.
J’y fais pénétrer
le bout de
mon sexe qui
n’y trouve
aucune résistance,
car la petite
dame est belle
et bien chaude
et très humide.
Un long râlement
de bien-être
fendit l’air
comme accompagnant
le trajet
de mon pénis
qui se faufile
lentement
dans son gouffre
humide. Ses
mains qui
avaient agrippé
les draps
se sont ouvertes
et restent
en suspend
dans les airs
comme pour
être en harmonie
avec ce long
râlement provenant
de sa bouche
et cette longue
pénétration.
Je m’enfonce
jusqu’au fond
et y reste
quelques secondes,
juste assez
pour qu’elle
le sente en
appui contre
son utérus.
Sa tête s’est
relevée, elle
continue de
râler. Je
soulève les
fesses et
du même coup
fait ressortir
mon pénis...
»
Suite
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64)
Penser
à
un
autre
pendant
que
mon
marie
me
saute
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J’avais
ce gars dans
la tête qui
me hantait
parfois. Un
ancien amant
que je ne
voyais plus
depuis quelques
années déjà.
Mais le souvenir
de nos ébats
restait encore
ancré dans
mon esprit.
Vous dire
qu’il avait
été la baise
de ma vie
serait mentir,
loin de là.
Mais il avait
un petit quelque
chose dans
son attitude
qui me plaisait
et j’aimais
m’occuper
de lui et
le faire jouir
très souvent.
Je vous livre
mon vice à
présent, il
m’est arrivé
à quelques
reprises de
repenser à
lui et de
fantasmer
sur son body
lorsque je
faisais l’amour
à mon mari.
Je fermais
les yeux et
je revoyais
une scène
bien précise…
Lui flambant
nu, debout
bien bander,
je me rappelais
très bien
de sa belle
et longue
queue qui
restait dresser,
tendu, le
gland saluant
majestueusement
le plafond.
Je le vois
se servir
un verre de
whisky et
me regarder
l’admirer.
Il me fait
un clin d’œil
et s’approche
armée de son
membre droit
et dure vers
moi pour que
je le déguste
à nouveau…
Voilà l’image
que je me
repassais
en boucle
lorsque je
voulais m’exciter
pendant que
mon mari me
prenait. Il
m’est arrivé
également
de fantasmer
sur cette
scène aussi
lors de certaines
séances de
masturbation… |
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J’entamais
une relation
avec cette
fille dont
j’allais casser
la glace ce
soir. Nous
étions dans
son lit et
les choses
se sont enflammées.
Moi tout excité,
je là tire
vers moi et
suis prêt
à la pénétrer
quand tout
à coup elle
me dit; Stop!
Qu’est-ce
que tu penses
que tu fais?
Tu es prêt
à me pénétrer
là comme ça,
sans me préparer.
Tu penses
que je suis
prêt à ça,
tu crois que
mon vagin
est prêt à
te recevoir.
Moi je suis
figé, c’est
la première
fois qu’on
me là fait.
Et elle rajoute
d’une voix
plus douce
et plus calme;
tu sais, tu
es un homme
magnifique,
mais les choses
ne se font
pas ainsi.
Moi offusqué,
je ne pense
qu’à une chose,
quitter la
place. Elle
continue de
sa voix apaisante
et douce;
laisse-moi
te montrer!
Alors elle
se mit à la
tâche. Elle
me dit de
prendre ma
main et de
le passer
partout sur
son corps,
de même que
ma bouche
et de prendre
tout mon temps.
J’ai commencé
tranquillement
aimer ça et
même à prendre
du plaisir
à parcourir
son corps
de mes mains,
de ma bouche
et de mon
corps. J’avais
très hâte
de passer
aux choses
sérieuses.
La cerise
sur le sunday,
fûts le moment
où cette fille
plus jeune
que moi parcouru
mon corps
avec les mêmes
outils qu’elle
m’avait appris
à utiliser.
Elle s’attardait
sur mes pectoraux,
mon cou, mes
oreilles.
C’est alors
que j’appréciais
encore plus
son enseignement.
Grâce à elle
qui a osé
revendiquer
de longs préliminaires,
j’ai pu par
la suite mettre
ses méthodes
en pratique
et faire que
les femmes
futures que
je croisais
appréciaient
mon savoir-faire,
ma délicatesse,
etc. |
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Il
m’arrive parfois
de me surprendre
de la facilité
que j’ai à
me donner
un orgasme
clitoridien
en me simulant
devant une
scène de cul.
Dire que plus
jeune je n’y
arrivais pas,
avant de rencontrer
cet homme
qui me libéra
de cette incapacité.
Maintenant
avec l’expérience
que j’ai,
de même que
toute la pratique,
j’arrive à
battre des
records lorsque
je me stimule.
Idéal avant
de faire dodo
croyez-moi.
Je remercie
cet homme
de ce plaisir
inespéré étant
jeune. |
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67)
Cette
objet
qui
n'existait
pas
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Un
après-midi
où j’avais
une partie
de jambes
en l’air avec
mon fuck friend
de l’époque,
il m’est arrivé
quelque chose
de bizarre.
Je me souviens
encore de
cette pénétration
qui prit possession
de mon corps
et de ma tête.
Chaque coup
de reins que
je recevais
de lui me
faisait un
bien incroyable.
Mon corps
épris de sensations
de tous genres
réagissait
en m’envoyant
des vagues
de bien-être
partout. Bientôt,
ma tête fut
envahie par
tous ces vagues.
J’ouvris les
yeux et remarquais
ce miroir
sur son mur.
J’avais beau
me dire qu’il
n'y en avait
pas sur ce
mur, mais
rien à faire,
il restait
là. J’hallucinais
complètement
sous l’effet
que sa que
produisait
en moi. Ce
fut incroyable
comme sensation.
J’étais ivre
de plaisir.
Le sourire
aux lèvres,
je continuais
de me saouler
de cette verge
qui alimentait
ma soif. Non,
je ne prends
aucune drogue.
Mais ayant
déjà vu des
reportages
de gens qui
hallucinaient
sous l’effet
de certaines
substances,
alors je me
suis dit que
les sensations
que je recevais
de cet homme
et de son
instrument
de plaisir
devaient être
similaires.
L’extase que
je ressentais
à ce moment
précis était
incroyable.
Imaginer ce
que peut faire
une queue
qui pénètre
nos entrailles
intimes et
provoque des
vagues de
bien-être
total qui
ce répercute
dans notre
cerveau et
stimule ainsi
tous nos sens. |
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68)
Jouir
sans
me
toucher
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Il
m’arrive à
l’occasion
de pouvoir
atteindre
l’orgasme
sans me toucher
la chatte.
Lorsque je
lis un livre,
lorsque je
regarde de
la pornographie
je peux en
me croisant
les jambes
arrivées à
provoquer
une stimulation
de mon clitoris.
Je bouge lentement
les cuisses
qui coincent
mes lèvres
et mon clitoris.
Une grande
envie d’atteindre
l’orgasme
me prend.
Les scènes
imaginées
où regarder
simulent mon
imagination,
les sensations
me prennent
directement
sur ma vulve.
L’envie de
jouir grandit
très vite
à moi. Je
jouis de manière
silencieuse,
mais très
intense qui
fait que mon
corps tremble
de partout
et cela me
demande quelques
minutes pour
récupérer.
J’adore et
me trouve
chanceuse
d’avoir plusieurs
façons d’atteindre
l’orgasme. |
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j’ai
rencontré
cette fille
à une soirée,
elle était
belle, blonde
et hyper sexy.
Elle me ramena
chez elle,
où elle restait
avec son mec
qui était
absent pour
la fin de
semaine. Dans
le couloir
de son appartement,
je constatais
un cadre dans
lequel elle
posait en
compagnie
de son mec
qui était
balèze. Beaucoup
plus balèze
que je ne
l’étais. Je
me souviens
encore de
cette nuit
de sexe ou
je l'ai pris
dans toutes
les positions,
sur tous les
meubles de
l’appart,
dans toutes
les pièces
de même que
sur la cuisinière.
Après nous
nous sommes
couchés d’épuisement.
À notre réveil
au petit matin,
on constatait
l’état dans
lequel nous
avions mis
l’appartement.
J’étais encore
en boxeur
quand je l’entendis
dire la voix
en panique;
mon mec est
là! Je reconnais
le bruit de
sa voiture...
Elle se pointe
à la fenêtre
et me confirma
que c’était
bel et bien
lui. Toujours
sur la panique
elle me dit
qu’il fallait
que je parte.
À mon tour,
je sentis
une vague
de stress
m'envahir.
Par où pouvais-je
sortir autre
que la porte
d’en avant?
Elle me dit;
Non pas par
là et que
j’allais le
croiser. Me
pointant le
balcon, j’allais
tout de suite
voir si c’est
possible,
toujours en
panique que
son mec balèze
me trouve
sur place.
Je vérifiais
donc la hauteur
du balcon
et lui dit;
ça va pas,
c’est trop
haut! Je me
résigne donc
et lui dis;
tant pis je
reste! J’étais
prêt à me
battre s’il
le fallait.
Elle encore
plus sur la
panique, me
cria; NON!
Tu sautes...
Elle prenait
mes vêtements
et les balançait
hors de l’appartement.
Je n’ai pas
le choix,
je passais
de l’autre
côté de la
barrière,
me laissa
glisser le
plus bas possible
et me laissa
tomber en
bas. J’atterris
sur les pieds,
sans aucune
égratignure.
Toujours en
boxeur les
bottes aux
pieds, je
ramassais
tous mes vêtements
et me mis
à courir toute
en m’habillant.
La honte!
Expérience
traumatisante
pour moi,
croyez-moi.
P.S. Dernièrement
une autre
fille avec
qui j’avais
déjà eu une
aventure m’évitait
chez elle
tout en me
racontant
que ça ne
va plus avec
son mec. Arrivé
chez elle,
je m’installais
sur son lit
et remarquait
une photo
d’elle et
du mec en
question.
Je lui demandais
s’il habitait
ici. Elle
répondit;
oui! Mais
il est parti
la fin de
semaine. Et
bien, instantanément
une bouffée
de chaleur
suivie d'un
stress incommensurable
vint m'envahir.
Je me levais
et lui dis
que je ne
faisais pas
ce genre de
choses. Elle
voulut me
retenir en
me prenant
le bras, m'en
dégageant,
j’ai réussi
à quitter
l’appartement
pris d’une
panique incontrôlable. |
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70)
Une
exquise
gourmandise |
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Je
suis du genre
hyper-sensible,
j'obtiens
l’orgasme
facilement
et de plusieurs
manières différentes,
mais je ne
viens qu’une
seule fois,
sauf avec
ce mec avec
qui je baise
depuis quelque
temps. Avec
lui, je suis
déjà parvenu
à atteindre
six orgasmes
en très peu
de temps.
Un jour au
téléphone,
je lui demande
un petit péché
charnel que
je sais me
fera grimper
aux rideaux.
Je désire
qu’il me lèche
l’anus jusqu’à
me faire atteindre
l’orgasme.
Comme de fait,
il exécuta
mes désirs.
Après un long
préliminaire
qui me mit
dans tous
mes états,
il me place
à quatre pattes,
le torse dans
le matelas,
les fesses
complètement
relevées et
les jambes
largement
écartées.
Il se met
enfin au travail…
Il me mange
l’intérieur
des fesses
à gros coups
de dents et
coups de lèches.
Sa langue
vint enfin
se poser sur
mon petit
anus délicatement,
mon corps
qui frémissait
déjà fut propulsé
au septième
ciel. Je sentais
sa langue,
sa bouche
fouiller constamment
mon entre
fesses. Mon
petit trou
était bien
mouillé de
toute la bave
qui s’échappait
de sa bouche.
Je gémissais,
tremblais
de partout,
mon vagin
se contractait
sous l’excitation
de cette caresse,
mon clitoris
réagissait
aussi. Comme
je vous disais,
je suis hyper-sensible…
tellement
que j’arrive
à me faire
jouir sans
me toucher
ou en frottant
mes cuisses
l’une contre
l’autre pour
stimuler mon
clitoris.
Sa langue
je la sentis
qui forçait
l’entrée de
mon anus,
elle n’y trouva
aucune résistance
et me pénétra
à mainte reprise.
Je capotais,
je râlais,
mon vagin
était pris
de contraction,
mon clitoris
devint fou.
Il continuait
de pénétrer
mon anus de
sa langue
experte, je
la sentais
de plus en
plus loin.
Mes fesses,
mes jambes
se mirent
à trembler.
Mes mains
s’agrippèrent
au matelas,
mes reins
allaient à
la rencontre
de sa langue
qui était
littéralement
plongée en
moi. J’avais
sa bouche
au complet
entre mes
fesses, je
tremblais
de partout
et je sentais
l’orgasme
se déchaîné
en moi d’une
manière inexplicable.
Je jouissais,
jouissais
encore sur
cette langue
qui ne cessait
de fouiller
mon intimité.
Haaaaaaaaaaaaaa!!!
Il déposa
son visage
entre mes
cuisses et
se mit à déguster
ma vulve à
grand coup
de langue,
tandis que
mon corps
finissait
de se remettre
de cette jouissance
intense. Je
tremblais
sous chaque
coup de lèches
reçu, je sentais
toute sa mouille
couler entre
mon entre-jambes.
Et soudain,
je m’écrasais
dans ses draps,
jambes et
bras écartés,
la chatte
totalement
mouillée qui
continue de
palpiter.
J'ai joui
de partout
en même temps,
la chatte,
le clitoris
et de l’anus.
Que ce fut
bon! |
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