Ces vices charnels #5

 

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J’ai des vices cachés inavouables, si je vous les dévoilais la vision que vous avez de moi changerait à coup sûr…. Ses petits secrets la, je les garde enfouis profondément ancrés dans ma tête et jamais, je n’oserai en parler… Pourquoi! Peur du ridicule, du rejet de la société, de son jugement hypocrite, d’avoirs l’air salace ou vicieuse [vicieux], un peu tout cela à la fois. Le monde dans lequel nous vivons aujourd’hui nous oblige à garder un jardin très secret sur nos penchants un peu plus pervers. Du temps des Romains, des Grecs et même des Égyptiens, la sexualité n’avait pratiquement aucun tabou. Le sexe libre était partagé entre tous, la recherche du plaisir était le but de chaque expérience vécue, peu importais le sexe du partenaire, le nombre, la façon, l’objet utiliser pour procurer du plaisir, l’aboutissement était l’échange, l’orgasme, le jeu, la jouissance. Tout était permis et offert aux plus consentants. Ce besoin encore présent de nos jours est brimé par la conscience religieuse, l’interdit d’une éducation puritaine et les lois. Ici, nous désirons briser les tabous et ouvrir la boîte de Pandore. Sous le couvert de l’anonymat plusieurs personnes osent en dirent plus sur leurs propres désirs de perversion. Vous êtes curieux d’en savoir plus n’est-ce pas alors entrer dans la zone des vices cachés, vous ne serez pas déçu du voyage et qui sait si vous ne vous reconnaissiez pas dans ses témoignages. Petits pervers que vous êtes!

P.S. Avant de mettre votre récit sur papier, apposé votre surnom, âge, sexe, ville, pays.

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41) La sensation que cette chatte me procurait
Il y avait cette fille, grande, blonde et mince. Je me souviens encore aujourd’hui de l’effet que sa paroi vaginale procurait sur mon gland. Je sentais lors de la pénétration le contact de son antre qui enveloppait entièrement ma verge. On aurait dit que son vagin enveloppait à la perfection ma verge, ce qui faisait en sorte que mon gland était constamment stimulé par sa paroi vaginale. Le picotement continuel sur mon gland me procurait des orgasmes comme jamais ressentis. Lorsque j'éculais à l’extérieur d'elle, le jet était constamment puissant. Ils pouvaient se rendre jusqu’à son cou que ce soit la première ou la deuxième fois que je venais. Ben pour d'autres ce n’est rien, mais pour moi c’est un exploit, c’est ce que les sensations dans sa chatte provoquaient sur ma queue.
42) Me faire lécher l'entre-fesses
Je suis le genre de femme hypersensible sexuellement, j’adore ressentir tout genre de sensations. L’une d’elles qui me fait voir des étoiles, c’est lorsqu’on me lèche l’anus lors d’un préliminaire. J’adore qu’on s’y attarde longuement, avec délicatesse et sensualité. La douceur de cette caresse me procure des sensations de relâchement et d’abandon total. Cet attouchement me prend dans mes émotions et me fait sentir sereine. J’aime qu'on me le fasse en position de levrette ou encore mieux en cuillère. Je me relâche complètement, cette langue posée là, me réconforte, me rend complètement soumise. Il m’est déjà arrivé de revendiquer cette caresse et on me l’a offerte jusqu’à ce que je ressente une envie de jouir intense et comme de fait, j’ai éclaté de jouissance en me faisant lécher ainsi. Comme je vous l’ai déjà dit, je suis hyper sensible du corps.
43) Penser à sa mère pour éviter l'orgasme
C'était un de ces jours où mon copain et moi nous adonnions à nos jeux préférés. Nous étions dans son salon et il me prenait allègrement à quatre pattes sur son divan. Je me rappelle me voir dans son miroir qui est accroché au mur. Il voulait me faire jouir, encore et encore, c'est son jeu préféré. Oui vraiment, il ne veut que ça, chanceuse que je suis. Mais, vous savez quoi? Moi, lorsqu'il est dans cet état de compétences sexuelles, il me donne le goût intense de le remettre parfois à sa place, lui prouver que je suis capable de contrer ses assauts, qui je l'avoue, me rend complètement folle de plaisir. Donc, me voilà sur le bord d'avoir un orgasme, cela fait à peine quelques minutes que sa queue me pilonne et déjà je sens la jouissance montée en moi, la chaleur de son membre dans mes entrailles me rend faible. On dirait que dès qu'il me pénètre, je perds le contrôle de tous mes moyens. Je suis "Samson qui perd sa force lorsque Dalíla lui coupe les cheveux". Il me regardait et senti que j'étais sur le bord de jouir ... » Suite
44) Il réussi à me baiser les mains attachées
45) Je lui fait des enregistrement audio
Lorsque l'on vit une relation à distance on trouve plusieurs moyens pour attiser le désir de notre couple et excité son homme. Donc un soir après une longue conversation, je lui dis au téléphone que j'allais jouer avec mon corps, tous de suite il me demanda d'enregistrer la séance, je suis parti à rire, car jamais je n'avais fait cela auparavant. Alors une fois avoir raccroché avec lui j'ai pris mon cellulaire et j'ai lancé l'enregistrement de ma voix pendant ma SÉANCE de masturbation… j'ai gardé mon micro et j'ai enregistré mes gémissements et mes orgasmes. Au fil des mois, mes enregistrements sont devenus de plus en plus provocateurs puisse que j'y rajoutais quelques phrases et histoires cochonnes. Le matin à son réveil, il trouvait dans ses e-mails mes enregistrements de la veille, qu'il écoutait avec beaucoup de plaisir…
46) Il voulait me défoncer la gorge
Je sortais avec ce gars depuis peu de temps et lors d'un de nos séjours dans sa famille. Il me fit quelque chose qui me mit complètement hors de moi. Un soir pendant que je lui fessai une pipe et dieu sait que j'aime cela. Il commença à me prendre la tête avec ses deux mains et à m'enfoncer sa queue dans ma gorge. Surprise, je l'ai repoussé légèrement et j'ai commencé à contrôler les gestes qu'il me fessait faire, mais il reprit de plus belle. Tenant ma tête et forçant l’entrée de ma gorge, j’avais envie de vomir et des larmes coulais de mes yeux, je le repoussais pour me retirer, mais il me tenait la prisonnière de son membre. J'avais le coeur au bord des lèvres et je voulais crier. Dans un dernier espoir de bouger et voyant qu'il ne me lâcherait pas, je le mordis. Il cria " Puta" il était latino et me cria dessus en espagnol. Je vous épargne les commentaires de toute façon, ce fut un turn off total et je ne le revis plus du tout après cette expérience traumatisante...
47) Quatre stimulations
je me souviens encore de cette après-midi-là. Mon copain avait encore une fois décidé de me faire vivre une expérience qui serait à jamais gravée dans mes mémoires. Il me faisait vivre un préliminaire sensuel, langoureux dont mon corps une fois de plus lui appartenait. Mon laissé allez était total dans ses mains rassurantes. Il m’avait installé à genou au milieu de notre lit et me donnait de ses caresses à faire jalouser toutes les femmes de cette terre. J’étais donc là, agenouillé les mains sur les cuisses et lui parcourait mon corps de sa bouche, de ses mains et de son corps. Et vint le moment où enfin, selon mes souhaits, mes désirs, où toutes ces sensations m’ont donné envie de me faire prendre la chatte de toutes les manières. Il décide de faire ce qu’il faut pour m’exciter encore plus, pour qu’enfin je sois libéré de l’orgasme fatidique. Il se place à genoux comme moi, fesses le plus bas possible. Et le moment tant attendu où il me touche la chatte toute excitée et humide vint. De sa main gauche, il entame un attouchement léger de mon clitoris qui me fait frémir de partout. Sa bouche vint embraser mon corps, mon coup, mon épaule et mes oreilles de baisers et de lèches qui n’en finissent plus. Je suis déjà dans tous mes états, mon corps, ma tête, mon âme sont soumis à mon homme qui sait comment m’enflammer. Sa main libre joue partout sur le reste de mon corps qui frémit de sensations... » Suite
48) Quelques minutes pour jouir avant qu'il ne sorte de la douche
Souvent, même très souvent après une baise avec mon mari je restais insatisfaite de n’avoir pas eu de jouissance. Alors dès qu’il se levait pour aller se laver à la douche je me dépêchais de me masturber pour avoir mon orgasme. Je me rappelle encore le stress d’être découverte par lui, ne sachant quoi lui répondre s’il me voyait ainsi. Je lui cachais depuis longtemps que je feignais l'orgasme pratiquement 90% des fois qu'on baisait. Je savais que je n’avais que 10 min au plus. Alors, un œil vers la porte de notre chambre, le drap bien replier sur moi pour dissimuler mes doigts sur ma chatte, je me dépêchais à me donner du plaisir. Imaginer le stress mélangé au besoin vital de jouissance inassouvie. Je me rappelle encore, me voir me concentrer sur la sensation encore fraîche de la queue de mon mari dans ma chatte, cette sensation me permettait de faire monter le plaisir, et de provoquer mon orgasme. Parfois, à quelques secondes de jouir, il ouvrait la porte et la brusquement, je figeais, arrêtant tout mouvement et essayant de reprendre mes esprits pour éviter d’être découverte. Vous vous rendez compte un peu de la concentration qu’il me fallait pour parvenir à mon orgasme dans une situation comme celle-là. My god! Que c’était fou! Il ne m'a jamais surprise.
49) Pendant mes règles
C’était vendredi soir et j'avais hâte de retrouver mon homme, j'avais envie de lui de ses bras de son corps de ses baisers et tout ce qui venait avec. Mais, il y avait un gros bémol, mes règles avaient décidé de débarquer comme par hasard et moi qui ne suis pas très à l’aise avec le fait de faire du sexe à ce moment-là. Je dois vous avouer par contre que durant cette période ma libido est complètement décupler et mon vagin ultra sensible. Donc nous voici en route pour chez lui, petite soirée relax comme d'habitude, puis l'envie de passer à plus croustillant nous pris. Nous voici dans son lit, tout encore habillé en train de nous embrasser et de nous caresser. Sachant ou les choses vont mener, je lui annonce, que j’ai mes règles et lui sans plus de stress me dit qu'il va aller chercher une serviette pour mettre sur le lit... wow, c'est si simple alors pourquoi ne pas essayer. Les dés sont lancés et les jeux sont joués. Nous voilà en pleine partie de fesses... Ce soir-là, il me donna plusieurs orgasmes. J'ai tellement joui que j'avais l'impression que mon vagin voulait avaler sa queue. Mais une chose c'est produit le lendemain et c'est là ou je voulais en venir, dans l’après-midi sortant de la douche une serviette nouée à ma poitrine, je le rejoignis sur son lit j'adore faire cela et l'agacer un peu. Mais, qui croyait pris qui fut prise? Il me retourna directement à plat ventre sur le matelas m’écarta les cuisses et commença à vouloir me retirer mon tampon que je venais de mettre. Moi, essayant de me débattre en vain. Il fini par y arriver et doucement tira sur la corde. Je n'arrivais pas à y croire, il était en train de me retirer mon tampon. J’avais honte, terriblement honte d’être dans cette position de complète soumission. Personne n'avait fait cela de ma vie, c’était beaucoup trop intime pour moi. J’étais humilié, mais ce sentiment de prise de contrôle fit en sorte de me rendre très docile. Ses caresses et baisers par la suite m'ont fait complètement oublier cette humiliation. Pour la cause, les orgasmes pleuvaient comme la veille.
50) Courrir à ma voiture
Il m’est déjà arrivé à plusieurs reprises d’aller me soulager dans les toilettes au bureau ou à l’école. Prise d’une rage soudaine où ma chatte est prise de convulsions intenses telle une [chatte en chaleur]. Lors d’un examen important, durant une conférence, derrière mon bureau ou directement dans un cours, elle peut se déclencher. Lorsque ma chatte se met à me parler, il faut absolument que je cours aux toilettes, car cela devient insupportable. Il faut que je me libère, sinon impossible de me concentrer, de penser et même d’agir. C’est d’une intensité telle que ma tête se retrouve dans un état où elle ne peut qu’encaisser les humeurs de ma chatte. Cela me prend dans tout mon corps. Ma chatte me brûle, il faut que j’aille m’enfermé aux toilettes pour me jouer après et me donner un orgasme. Un jour lors d’une conférence, j’ai dû sortir de la pièce et me suis dirigé à pas pressé vers la salle de bain du bureau, mais c’était fermé. Je me suis mise à paniquer, je n’avais aucun autre choix. Je marchais vite vers ma voiture, l’air suspect. Je m’y enfermais, déboutonna mon pantalon et me passais le doigt sur mon clitoris pour ainsi le frotter avec force et rapidité. La plupart du temps, je jouissais d’un orgasme puissant qui me forçait à prendre quelques minutes de répit avant de vague à mes occupations. Cela n’a rien d’agréable d'être prise de ces sensations, c’est même une malédiction. Dire qu’il y en a qui n’arrive pas à atteindre l’orgasme. Moi je leur donnerai bien ce présent pour m’en débarrasser.
   
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