J’ai
des vices cachés inavouables, si je
vous les dévoilais la vision que vous
avez de moi changerait à coup sûr….
Ses petits secrets la, je les garde
enfouis profondément ancrés dans ma
tête et jamais, je n’oserai en parler…
Pourquoi! Peur du ridicule, du rejet
de la société, de son jugement hypocrite,
d’avoirs l’air salace ou vicieuse [vicieux],
un peu tout cela à la fois. Le monde
dans lequel nous vivons aujourd’hui
nous oblige à garder un jardin très
secret sur nos penchants un peu plus
pervers. Du temps des Romains, des Grecs
et même des Égyptiens, la sexualité
n’avait pratiquement aucun tabou. Le
sexe libre était partagé entre tous,
la recherche du plaisir était le but
de chaque expérience vécue, peu importais
le sexe du partenaire, le nombre, la
façon, l’objet utiliser pour procurer
du plaisir, l’aboutissement était l’échange,
l’orgasme, le jeu, la jouissance. Tout
était permis et offert aux plus consentants.
Ce besoin encore présent de nos jours
est brimé par la conscience religieuse,
l’interdit d’une éducation puritaine
et les lois. Ici, nous désirons briser
les tabous et ouvrir la boîte de Pandore.
Sous le couvert de l’anonymat plusieurs
personnes osent en dirent plus sur leurs
propres désirs de perversion. Vous êtes
curieux d’en savoir plus n’est-ce pas
alors entrer dans la zone des vices
cachés, vous ne serez pas déçu du voyage
et qui sait si vous ne vous reconnaissiez
pas dans ses témoignages. Petits pervers
que vous êtes!
P.S.
Avant de mettre votre récit sur papier,
apposé votre surnom, âge, sexe, ville,
pays.
Écrivez
à : infokouples@gmail.com

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41)
La
sensation
que
cette
chatte
me
procurait |
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Il
y avait cette
fille, grande,
blonde et
mince. Je
me souviens
encore aujourd’hui
de l’effet
que sa paroi
vaginale procurait
sur mon gland.
Je sentais
lors de la
pénétration
le contact
de son antre
qui enveloppait
entièrement
ma verge.
On aurait
dit que son
vagin enveloppait
à la perfection
ma verge,
ce qui faisait
en sorte que
mon gland
était constamment
stimulé par
sa paroi vaginale.
Le picotement
continuel
sur mon gland
me procurait
des orgasmes
comme jamais
ressentis.
Lorsque j'éculais
à l’extérieur
d'elle, le
jet était
constamment
puissant.
Ils pouvaient
se rendre
jusqu’à son
cou que ce
soit la première
ou la deuxième
fois que je
venais. Ben
pour d'autres
ce n’est rien,
mais pour
moi c’est
un exploit,
c’est ce que
les sensations
dans sa chatte
provoquaient
sur ma queue. |
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42)
Me
faire
lécher
l'entre-fesses
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Je
suis le genre
de femme hypersensible
sexuellement,
j’adore ressentir
tout genre
de sensations.
L’une d’elles
qui me fait
voir des étoiles,
c’est lorsqu’on
me lèche l’anus
lors d’un
préliminaire.
J’adore qu’on
s’y attarde
longuement,
avec délicatesse
et sensualité.
La douceur
de cette caresse
me procure
des sensations
de relâchement
et d’abandon
total. Cet
attouchement
me prend dans
mes émotions
et me fait
sentir sereine.
J’aime qu'on
me le fasse
en position
de levrette
ou encore
mieux en cuillère.
Je me relâche
complètement,
cette langue
posée là,
me réconforte,
me rend complètement
soumise. Il
m’est déjà
arrivé de
revendiquer
cette caresse
et on me l’a
offerte jusqu’à
ce que je
ressente une
envie de jouir
intense et
comme de fait,
j’ai éclaté
de jouissance
en me faisant
lécher ainsi.
Comme je vous
l’ai déjà
dit, je suis
hyper sensible
du corps. |
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43)
Penser
à
sa
mère
pour
éviter
l'orgasme |
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C'était
un de ces
jours où mon
copain et
moi nous adonnions
à nos jeux
préférés.
Nous étions
dans son salon
et il me prenait
allègrement
à quatre pattes
sur son divan.
Je me rappelle
me voir dans
son miroir
qui est accroché
au mur. Il
voulait me
faire jouir,
encore et
encore, c'est
son jeu préféré.
Oui vraiment,
il ne veut
que ça, chanceuse
que je suis.
Mais, vous
savez quoi?
Moi, lorsqu'il
est dans cet
état de compétences
sexuelles,
il me donne
le goût intense
de le remettre
parfois à
sa place,
lui prouver
que je suis
capable de
contrer ses
assauts, qui
je l'avoue,
me rend complètement
folle de plaisir.
Donc, me voilà
sur le bord
d'avoir un
orgasme, cela
fait à peine
quelques minutes
que sa queue
me pilonne
et déjà je
sens la jouissance
montée en
moi, la chaleur
de son membre
dans mes entrailles
me rend faible.
On dirait
que dès qu'il
me pénètre,
je perds le
contrôle de
tous mes moyens.
Je suis "Samson
qui perd sa
force lorsque
Dalíla lui
coupe les
cheveux".
Il me regardait
et senti que
j'étais sur
le bord de
jouir ...
»
Suite
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44)
Il
réussi
à
me
baiser
les
mains
attachées |
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45)
Je
lui
fait
des
enregistrement
audio
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Lorsque l'on
vit une relation
à distance
on trouve
plusieurs
moyens pour
attiser le
désir de notre
couple et
excité son
homme. Donc
un soir après
une longue
conversation,
je lui dis
au téléphone
que j'allais
jouer avec
mon corps,
tous de suite
il me demanda
d'enregistrer
la séance,
je suis parti
à rire, car
jamais je
n'avais fait
cela auparavant.
Alors une
fois avoir
raccroché
avec lui j'ai
pris mon cellulaire
et j'ai lancé
l'enregistrement
de ma voix
pendant ma
SÉANCE de
masturbation…
j'ai gardé
mon micro
et j'ai enregistré
mes gémissements
et mes orgasmes.
Au fil des
mois, mes
enregistrements
sont devenus
de plus en
plus provocateurs
puisse que
j'y rajoutais
quelques phrases
et histoires
cochonnes.
Le matin à
son réveil,
il trouvait
dans ses e-mails
mes enregistrements
de la veille,
qu'il écoutait
avec beaucoup
de plaisir… |
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46)
Il
voulait
me
défoncer
la
gorge |
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Je
sortais avec
ce gars depuis
peu de temps
et lors d'un
de nos séjours
dans sa famille.
Il me fit
quelque chose
qui me mit
complètement
hors de moi.
Un soir pendant
que je lui
fessai une
pipe et dieu
sait que j'aime
cela. Il commença
à me prendre
la tête avec
ses deux mains
et à m'enfoncer
sa queue dans
ma gorge.
Surprise,
je l'ai repoussé
légèrement
et j'ai commencé
à contrôler
les gestes
qu'il me fessait
faire, mais
il reprit
de plus belle.
Tenant ma
tête et forçant
l’entrée de
ma gorge,
j’avais envie
de vomir et
des larmes
coulais de
mes yeux,
je le repoussais
pour me retirer,
mais il me
tenait la
prisonnière
de son membre.
J'avais le
coeur au bord
des lèvres
et je voulais
crier. Dans
un dernier
espoir de
bouger et
voyant qu'il
ne me lâcherait
pas, je le
mordis. Il
cria "
Puta"
il était latino
et me cria
dessus en
espagnol.
Je vous épargne
les commentaires
de toute façon,
ce fut un
turn off total
et je ne le
revis plus
du tout après
cette expérience
traumatisante... |
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je
me souviens
encore de
cette après-midi-là.
Mon copain
avait encore
une fois décidé
de me faire
vivre une
expérience
qui serait
à jamais
gravée
dans mes mémoires.
Il me faisait
vivre un préliminaire
sensuel, langoureux
dont mon corps
une fois de
plus lui appartenait.
Mon laissé
allez était
total dans
ses mains
rassurantes.
Il m’avait
installé
à genou
au milieu
de notre lit
et me donnait
de ses caresses
à faire
jalouser toutes
les femmes
de cette terre.
J’étais
donc là,
agenouillé
les mains
sur les cuisses
et lui parcourait
mon corps
de sa bouche,
de ses mains
et de son
corps. Et
vint le moment
où
enfin, selon
mes souhaits,
mes désirs,
où
toutes ces
sensations
m’ont
donné
envie de me
faire prendre
la chatte
de toutes
les manières.
Il décide
de faire ce
qu’il
faut pour
m’exciter
encore plus,
pour qu’enfin
je sois libéré
de l’orgasme
fatidique.
Il se place
à genoux
comme moi,
fesses le
plus bas possible.
Et le moment
tant attendu
où
il me touche
la chatte
toute excitée
et humide
vint. De sa
main gauche,
il entame
un attouchement
léger
de mon clitoris
qui me fait
frémir
de partout.
Sa bouche
vint embraser
mon corps,
mon coup,
mon épaule
et mes oreilles
de baisers
et de lèches
qui n’en
finissent
plus. Je suis
déjà
dans tous
mes états,
mon corps,
ma tête,
mon âme
sont soumis
à mon
homme qui
sait comment
m’enflammer.
Sa main libre
joue partout
sur le reste
de mon corps
qui frémit
de sensations...
»
Suite
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48)
Quelques
minutes
pour
jouir
avant
qu'il
ne
sorte
de
la
douche |
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Souvent,
même très
souvent après
une baise
avec mon mari
je restais
insatisfaite
de n’avoir
pas eu de
jouissance.
Alors dès
qu’il se levait
pour aller
se laver à
la douche
je me dépêchais
de me masturber
pour avoir
mon orgasme.
Je me rappelle
encore le
stress d’être
découverte
par lui, ne
sachant quoi
lui répondre
s’il me voyait
ainsi. Je
lui cachais
depuis longtemps
que je feignais
l'orgasme
pratiquement
90% des fois
qu'on baisait.
Je savais
que je n’avais
que 10 min
au plus. Alors,
un œil vers
la porte de
notre chambre,
le drap bien
replier sur
moi pour dissimuler
mes doigts
sur ma chatte,
je me dépêchais
à me donner
du plaisir.
Imaginer le
stress mélangé
au besoin
vital de jouissance
inassouvie.
Je me rappelle
encore, me
voir me concentrer
sur la sensation
encore fraîche
de la queue
de mon mari
dans ma chatte,
cette sensation
me permettait
de faire monter
le plaisir,
et de provoquer
mon orgasme.
Parfois, à
quelques secondes
de jouir,
il ouvrait
la porte et
la brusquement,
je figeais,
arrêtant tout
mouvement
et essayant
de reprendre
mes esprits
pour éviter
d’être découverte.
Vous vous
rendez compte
un peu de
la concentration
qu’il me fallait
pour parvenir
à mon orgasme
dans une situation
comme celle-là.
My god! Que
c’était fou!
Il ne m'a
jamais surprise.
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C’était
vendredi soir
et j'avais
hâte de retrouver
mon homme,
j'avais envie
de lui de
ses bras de
son corps
de ses baisers
et tout ce
qui venait
avec. Mais,
il y avait
un gros bémol,
mes règles
avaient décidé
de débarquer
comme par
hasard et
moi qui ne
suis pas très
à l’aise avec
le fait de
faire du sexe
à ce moment-là.
Je dois vous
avouer par
contre que
durant cette
période ma
libido est
complètement
décupler et
mon vagin
ultra sensible.
Donc nous
voici en route
pour chez
lui, petite
soirée relax
comme d'habitude,
puis l'envie
de passer
à plus croustillant
nous pris.
Nous voici
dans son lit,
tout encore
habillé en
train de nous
embrasser
et de nous
caresser.
Sachant ou
les choses
vont mener,
je lui annonce,
que j’ai mes
règles et
lui sans plus
de stress
me dit qu'il
va aller chercher
une serviette
pour mettre
sur le lit...
wow, c'est
si simple
alors pourquoi
ne pas essayer.
Les dés sont
lancés et
les jeux sont
joués. Nous
voilà en pleine
partie de
fesses...
Ce soir-là,
il me donna
plusieurs
orgasmes.
J'ai tellement
joui que j'avais
l'impression
que mon vagin
voulait avaler
sa queue.
Mais une chose
c'est produit
le lendemain
et c'est là
ou je voulais
en venir,
dans l’après-midi
sortant de
la douche
une serviette
nouée à ma
poitrine,
je le rejoignis
sur son lit
j'adore faire
cela et l'agacer
un peu. Mais,
qui croyait
pris qui fut
prise? Il
me retourna
directement
à plat ventre
sur le matelas
m’écarta les
cuisses et
commença à
vouloir me
retirer mon
tampon que
je venais
de mettre.
Moi, essayant
de me débattre
en vain. Il
fini par y
arriver et
doucement
tira sur la
corde. Je
n'arrivais
pas à y croire,
il était en
train de me
retirer mon
tampon. J’avais
honte, terriblement
honte d’être
dans cette
position de
complète soumission.
Personne n'avait
fait cela
de ma vie,
c’était beaucoup
trop intime
pour moi.
J’étais humilié,
mais ce sentiment
de prise de
contrôle fit
en sorte de
me rendre
très docile.
Ses caresses
et baisers
par la suite
m'ont fait
complètement
oublier cette
humiliation.
Pour la cause,
les orgasmes
pleuvaient
comme la veille. |
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Il
m’est déjà
arrivé à plusieurs
reprises d’aller
me soulager
dans les toilettes
au bureau
ou à l’école.
Prise d’une
rage soudaine
où ma chatte
est prise
de convulsions
intenses telle
une [chatte
en chaleur].
Lors d’un
examen important,
durant une
conférence,
derrière mon
bureau ou
directement
dans un cours,
elle peut
se déclencher.
Lorsque ma
chatte se
met à me parler,
il faut absolument
que je cours
aux toilettes,
car cela devient
insupportable.
Il faut que
je me libère,
sinon impossible
de me concentrer,
de penser
et même d’agir.
C’est d’une
intensité
telle que
ma tête se
retrouve dans
un état où
elle ne peut
qu’encaisser
les humeurs
de ma chatte.
Cela me prend
dans tout
mon corps.
Ma chatte
me brûle,
il faut que
j’aille m’enfermé
aux toilettes
pour me jouer
après et me
donner un
orgasme. Un
jour lors
d’une conférence,
j’ai dû sortir
de la pièce
et me suis
dirigé à pas
pressé vers
la salle de
bain du bureau,
mais c’était
fermé. Je
me suis mise
à paniquer,
je n’avais
aucun autre
choix. Je
marchais vite
vers ma voiture,
l’air suspect.
Je m’y enfermais,
déboutonna
mon pantalon
et me passais
le doigt sur
mon clitoris
pour ainsi
le frotter
avec force
et rapidité.
La plupart
du temps,
je jouissais
d’un orgasme
puissant qui
me forçait
à prendre
quelques minutes
de répit avant
de vague à
mes occupations.
Cela n’a rien
d’agréable
d'être prise
de ces sensations,
c’est même
une malédiction.
Dire qu’il
y en a qui
n’arrive pas
à atteindre
l’orgasme.
Moi je leur
donnerai bien
ce présent
pour m’en
débarrasser. |
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