Ces vices charnels #2

 

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J’ai des vices cachés inavouables, si je vous les dévoilais la vision que vous avez de moi changerait à coup sûr…. Ses petits secrets la, je les garde enfouis profondément ancrés dans ma tête et jamais, je n’oserai en parler… Pourquoi! Peur du ridicule, du rejet de la société, de son jugement hypocrite, d’avoirs l’air salace ou vicieuse [vicieux], un peu tout cela à la fois. Le monde dans lequel nous vivons aujourd’hui nous oblige à garder un jardin très secret sur nos penchants un peu plus pervers. Du temps des Romains, des Grecs et même des Égyptiens, la sexualité n’avait pratiquement aucun tabou. Le sexe libre était partagé entre tous, la recherche du plaisir était le but de chaque expérience vécue, peu importais le sexe du partenaire, le nombre, la façon, l’objet utiliser pour procurer du plaisir, l’aboutissement était l’échange, l’orgasme, le jeu, la jouissance. Tout était permis et offert aux plus consentants. Ce besoin encore présent de nos jours est brimé par la conscience religieuse, l’interdit d’une éducation puritaine et les lois. Ici, nous désirons briser les tabous et ouvrir la boîte de Pandore. Sous le couvert de l’anonymat plusieurs personnes osent en dirent plus sur leurs propres désirs de perversion. Vous êtes curieux d’en savoir plus n’est-ce pas alors entrer dans la zone des vices cachés, vous ne serez pas déçu du voyage et qui sait si vous ne vous reconnaissiez pas dans ses témoignages. Petits pervers que vous êtes!

P.S. Avant de mettre votre récit sur papier, apposé votre surnom, âge, sexe, ville, pays.

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11) J'ai demandé la fessée
Nous étions sur le grand divan de son salon, c'était l'après-midi, nous venions de regarder un film et tout collé serré en cuillère mon copain et moi commençâmes à nous embrasser. Les baisers devenaient de plus en plus ardents et le désir de la chair se fit prenant. Je me suis placé debout au-dessus de lui comme pour lui faire une danse tout en soulevant mon T-shirt. J’ai commencé langoureusement à retirer celui-ci. Lui, était couché sous moi et regardait ma prestation avec un petit sourire au coin de la bouche, l'œil pétillant. Toujours debout au-dessus de lui, juste vêtu de ma petite culotte, je descendais vers son bassin imitant un strip-tease. Je roulais des hanches à chaque mouvement devant son visage, écartant parfois les cuisses juste devant son visage pour qu'il admire mon entrejambe à la perfection. Je simulais une masturbation, spectacle qu'il adorait et qui l'allumait. Il me dit; assis toi sur ma queue, je veux te sentir. Obéissante, je fis descendre mon mini slip turquoise sur mes cuisses tout doucement et lui demanda de le retirer une fois arrivé à mes chevilles, ce qu'il fit. Une fois flambant nue, je m'installais, chatte sur son visage ... » Suite
12) Lui, je voulais son sperme
J’étais avec cet homme qui avait une facilité à me donner des orgasmes. Ce jour-là après être venu, il avait décidé de se masturber. Il savait que je n’avais jamais avalé de sperme de ma vie. Je l’avais là, tout près de mon visage et il se masturbait en me disant qu’il allait venir sur mon visage et dans ma bouche. Je me souviens, j’étais là les yeux fermés et l’idée qu’il éclate sur mon visage commença à me plaire. J’entrouvris les yeux et le voyait qui se donnait un va-et-vient intense sur sa bite. Un petit sourire se posa sur mes lèvres. Cette vue m’enflamma l’esprit et il remarqua que son petit manège venait de m’exciter à un point tel ou je me mis fortement à me masturber à mon tour. Je savais qu’à ce moment précis, je voulais recevoir toute sa semence dans ma bouche. Ce petit sourire coquin et malin qui s’était dressé sur mon visage ne pouvait plus disparaître. Mon être ...... » Suite
13) Elle fuyait ma queue
J’étais dans cette position dont elle adorait tant. J’étais placé derrière elle et lui offrait un doggy style dont le rythme était soutenu et d’une vitesse modérée. Au début, nous étions face à la tête du lit, mais plus la cadence s’accentuait plus je remarquais que ma copine se déplaçait dans le lit, comme pour changer les angles qu'elle n'arrive pas à supporter. Nous n’étions plus face à la tête du lit, nous étions placés sur le côté de la tête maintenant, tellement elle bougeait. Moi, cherchant à retenir ses hanches pour continuer mon va-et-vient, je sentais que je devais la tenir fortement dans mes mains pour garder le rythme, la cadence, et la profondeur qu’elle adorait tant. Je sentais que chaque coup de bassin que je lui offrais l’amenait vers l’orgasme. Cherchant la profondeur, je l’attirais constamment vers moi, parfois une main sur la hanche et l’autre sur le haut de la fesse, ce qui me permettais de me soulever et de rentrer plus profond en elle. Chaque coup de reins que je lui prodiguais la faisait râler... » Suite
14) La sensibilité de mes seins
J’avais cet amant avec qui je prenais plaisir de raconter tout de mes expériences, jusqu’aux sensations les plus secrètes que mon corps pouvait exprimer. Jamais je n’aurais imaginé qu’il puisse vouloir découvrir jusqu’où j’étais sensible. Un jour chez lui, je subissais des préliminaires comme il sait me les donner, tout d’un coup, il me dit; place-toi à quatre pattes. OK, ce que je fis aussitôt, là il se faufila sous moi, pour avoir mes seins à la portée de sa bouche. Il se mit au travail, les mordillait, les léchait, les suçait. Comme à l’habitude, il donnait tout ce qu’il avait, pouvant ainsi faire croire à sa réussite. Moi j’encaissais ses attaques, je frissonnais, mon corps réagissait. Pendant 10 minutes sans arrêt il s'amusait à me faire réagir. D'un coup, il me fit prendre une position peu orthodoxe, j’étais encore à quatre pattes, mais en appui sur mon épaule droite et il tenait mon autre bras avec sa main droite. Il changea de stratégie, il en voulait plus. Il s’attaquait à mon aisselle avec de grands coups langue et descendit jusqu’à mon sein. Ce manège me surprit et m’étonna. La sensation fut fulgurante, il recommença et recommença, mon excitation ne faisait que grandir. Je m'étonnais de son savoir-faire. Je gémissais, je sentais l’orgasme en moi. Il s’attarda à mon aisselle et d’une grande lèche descendit vers mon sein et arrêta sur mon mamelon qui pointait long et dur. Il poursuivit ce manège entre mon aisselle et mon mamelon une bonne dizaine de fois encore. Mon orgasme qui était là présent depuis quelques minutes se déclencha et ma bouche ne put s’empêcher de lâcher un de ses râles inoubliables. Je venais de jouir des seins. Oups! Plutôt il venait de me faire orgasmer en me torturant les seins.
15) Il me dit comment m’habiller
J’avais une affaire avec cet homme dont j’avais l'impression qu’il était mon coach sexuel. Ce jour-là, je devais lui rendre visite et je cherchais quoi mettre pour lui plaire. Je pris le téléphone et l’appela pour lui dire que j’arrivais après mettre décidé sur ma tenu. Il se mit à faire des demandes spéciales. Il voulait me voir dans une robe d’été légère et le plus important, aucune culotte dessous. Cette dernière demande me laissa froide. Mais l’homme insista et cette fois-ci il ne demanda pas, il ordonna d’une voix autoritaire. Je me pliais une fois de plus à ces caprices. Je me sentais tout bizarre, c’est une première pour moi. Vêtue de cette robe et de talons hauts, je sortis et me dirigea vers ma voiture. Et là, une brise passa entre mes jambes, la fraîcheur alla caresser ma chatte. J’ai eu un sourire et me disais que cet homme savait exactement ce qu’il faisait. Je sentais tout... » Suite
16) Ce parie que j'ai perdu
J’étais là, avec cet homme qui me taquinait en disant que j’étais une précoce version femme. J’ai éclaté de rire et lui dis; si je le désire, je suis capable de ne pas jouir. Alors, il me dit; dans ton cas, c’est chose impossible. À ce moment-là, les dés venaient d’être lancés. Pour gagner, il fallait tout faire pour ne pas atteindre l’orgasme. Je ne voulais pas le voir gagner aussi facilement. Nous débutâmes notre petit jeu. Ce n’est pas sans vous dire que cette pénétration fut longue, bonne et très excitante. Il me pénétrait sans cesse langoureusement, baisers et caresses à l’appui. Il savait parfaitement comment s’y prendre. Moi dans ma tête, dans mon corps je subissais des assauts de sensations qui ne cessaient de m’amener vers un orgasme inévitable. Mais je n’allais pas lui donner raison aussi facilement. Sa queue fendait mon entre-jambes totalement mouillé d’excitation à le regarder allez. J’espérais tellement le voir venir avant moi. J’ai tenu face à ses assauts un bon 45 minutes quand tout à coup trahi par mon corps qui demandait grâce, d’être libéré de cet orgasme qui n’a cessé d’être là, constamment présent depuis que sa verge fendit mes entrailles. J’ai éclaté de jouissance, une jouissance libératrice. Lui, là, devant moi son sourire de gagnant aux lèvres, me dit; wow, tu m’étonnes, jamais je n’aurais pensé que cela allait être aussi long. Moi, encore sous lui rétorqua; quelque part au fin fond de moi je sens ma victoire d’avoir résisté aussi longtemps à ta queue. P.S. Quelques heures plus tard, je l’appelais au téléphone et lui dit avoir un aveu à lui confesser. Je lui dis qu’il m’avait fait jouir [en silence] dans les trois premières minutes de notre pari et que ce fut pour cela que j’ai pu résister aussi longtemps. Bien sûr, il s’esclaffa de rire. Bonne joueuse que je suis, j'étais contente de lui avouer que je perdis ce pari en moins de cinq minutes.
17) Un invité surprise
Un invité surprise : Ce soir-là je suis sorti en ville avec l’intention de ramener une fille à la maison. Comme de fait, je m’exécutai. Bien vite, nous nous sommes retrouvés dans ma chambre et les choses se sont enflammées. Après une trentaine de minutes, elle se faisait aller sur ma queue, quand tout à coup la porte de ma chambre s’entrouvrit et se referma aussi tôt. Dans l’état où j’étais, j’y portais à peine une importance. Dans la minute qui suivit, je sentis quelqu’un qui venait de monter sur le lit. Dans le noir je le reconnus. C’était l’un de mes coéquipiers qui venait de revenir de sa soirée. Je lui demandais ce qu’il faisait et il me répondit ''shuuut''. Tout d’un coup, je remarquais le visage de la fille qui exprimait sa surprise. Mon pote venait de la prendre par les hanches et elle, aillant remarqué cela s’est un peut plus enfoncé sur ma queue tout en se penchant vers moi, comme pour se placer de manière à accueillir mon ami. À cet instant, j’avais qu’une chose en tête. Je me disais ''wow'' elle est prête à accueillir une autre queue en elle. Mon excitation venait de décupler. Et là, j’entendis un long gémissement sortant de sa bouche et au même moment, je sentais la verge de mon coéquipier fendre sa cavité anale. Sa queue, je pouvais sentir son va-et-vient à travers la mince paroi qui séparait nos deux verges. ''Wow'', elle avait forcément déjà vécu cela, car encore une fois ''wow'', parce qu’elle prenait totalement son pied en enfonçant sa chatte jusqu'à la garde de ma verge tout en prenant la queue de notre invité surprise dans son anus. Expérience tout à fait inoubliable. Je vous fais une dernière confidence : L’excitation était au plafond et la regarder crier, crier, crier jusqu’à éclater de jouissance, déclencha mon orgasme et mon ami fit de même. Là, ce fut incroyable, car je pouvais ressentir tous les soubresauts de la jouissance de sa queue dans l’anus de cette fille que j’avais choisie dans ce club.
18) Une demande très spéciale
Je me souviens, j’avais 16 ans, nous étions là, les amis et moi dans ce salon. Nous avions bu et pris quelques substances illégales. On riait pour un tout pour un rien. Devant moi, cet ami était là avec sa copine juste en face de moi. Cela faisait une bonne heure que je la matais et l’imaginais complètement nue. Elle portait une jupe dont je pouvais entrevoir l’intérieur de son entre cuisses et cela m’excitait. Je la voyais qui riait et chaque mouvement de rire offrait des mouvements à son corps. Ses jambes couleur crème n’arrêter pas de se frotter l’une à l’autre devant moi. Ce spectacle m’avait donné une érection qui durait depuis plus d’une demi-heure. Cette fille était complètement dans ma tête. D’un coup, une folie vint à mon esprit. Sans hésitation, je regardais mon ami et lui lança; me passerais-tu ta copine? Il me regarda les yeux grands ouverts et là, je me dis; qu’est-ce qui m’a pris de poser cette question? Il pouffa de rire et les autres en firent autant. On n'arrêtait plus, on riait. Il s’arrêta et me dit; demande-lui! Alors, je m’exécutais et lui dit; viendrais-tu dans la chambre avec moi? Sans hésiter, elle se leva, me tendit la main et m’entraînait vers la chambre. J’entendis à nouveau les amis s’éclater de rire. Moi, je poursuivais mon chemin avec cette petite aux jambes couleur crème qui me fit bander une bonne partie de la soirée. Et c’est comme ça que cette nuit-là, je perdis ma virginité une nuit d’été de mes 16.
19) Telle une poupée gonflabe [complètement paraplégique ]
En 30 ans d'activité sexuelle et d'expérience de tout genre, je n'ai jamais connu et ressenti un tel sentiment de lâcher-prise et d'abandon après un orgasme. Je ne vous parle pas de lâcher-prise ou de fatigue extrême physique non! Mais d'une perte totale du contrôle de mon corps. À chaque fois que mon amant me donne un orgasme avec sa queue et il est le seul et l'unique à réussir cet exploit, je deviens semi-consciente, mon corps mes membres se déconnectent complètement de mon cerveau, plus rien n'est inter relié. La seule connections qu'il me reste, est celle de ma tête à mon vagin qui continu malgré tout à ressentir les coups de reins de mon amant qui tente même dans mon état léthargique de me faire à nouveau jouir. Il m'est impossible de réagir à ses assauts, juste laisser mon vagin jouir de nouveau encore et encore. Parfois pour me montrer à quel point il a le contrôle de mon corps, il me donne des petites gifles sur le visage. Ce geste me mets en furie, mais la seule façon pour moi de réagir, c'est de lui crier stop arrête! Je suis sa marionnette, sa chose, une loque humaine complètement à sa merci. Au début, c'était humiliant et déconcertant. Même que la première fois, je ne comprenais pas ce qui m'arrivait. À présent, je sais que cela excite mon mec et ça me plaît, sauf lorsqu'il s'arrange, arrogant pour me faire sortir de mes gon et que je ne peux rien faire que de subir ses sévices...
20) Ou jouais-tu?
Ce jour-là, je devais me rendre chez cet homme avec qui j’ai eu une aventure d’un soir. Je devais aller chercher un logiciel qu'il m’avait préparé sur CD. Je n’avais pas grand temps, mais je me mis tout de même sur mon 31 pour voir si cela allait l’agacer. Je me présentais à sa porte un tailleur blanc et des talons hauts. Il ouvrit la porte, ne dit rien. Ses yeux se sont baladés de haut en bas comme un scanner et je perçus son sourcil gauche se relevé, ce qui voulait dire; j’ai vu. J’avais le sourire accroché à mes lèvres, d’aguichante. Il me dit; wow! C’est bien ce que tu portes. Il me fit entrer, je lui dis; ne pas avoir grand temps. Il m’installa sur sa chaise d’ordinateur le temps qu’il sorte le CD. J’avais entre-temps croisé mes longues jambes. Le CD dans la main il s’approcha, le déposa sur le bureau et s’agenouilla lentement devant moi. Il passa sa main sur ma hanche et les descendit jusqu’à mes genoux, les embrassait tendrement. Au même moment avec toujours autant de souplesse, il me décroisa les jambes et les entrouvrit. Le spectacle était très excitant, je me laissais faire littéralement. Il remonta doucement ma jupe, j’écartai légèrement les cuisses ... » Suite
   
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