J’ai
des vices cachés inavouables, si je
vous les dévoilais la vision que vous
avez de moi changerait à coup sûr….
Ses petits secrets la, je les garde
enfouis profondément ancrés dans ma
tête et jamais, je n’oserai en parler…
Pourquoi! Peur du ridicule, du rejet
de la société, de son jugement hypocrite,
d’avoirs l’air salace ou vicieuse [vicieux],
un peu tout cela à la fois. Le monde
dans lequel nous vivons aujourd’hui
nous oblige à garder un jardin très
secret sur nos penchants un peu plus
pervers. Du temps des Romains, des Grecs
et même des Égyptiens, la sexualité
n’avait pratiquement aucun tabou. Le
sexe libre était partagé entre tous,
la recherche du plaisir était le but
de chaque expérience vécue, peu importais
le sexe du partenaire, le nombre, la
façon, l’objet utiliser pour procurer
du plaisir, l’aboutissement était l’échange,
l’orgasme, le jeu, la jouissance. Tout
était permis et offert aux plus consentants.
Ce besoin encore présent de nos jours
est brimé par la conscience religieuse,
l’interdit d’une éducation puritaine
et les lois. Ici, nous désirons briser
les tabous et ouvrir la boîte de Pandore.
Sous le couvert de l’anonymat plusieurs
personnes osent en dirent plus sur leurs
propres désirs de perversion. Vous êtes
curieux d’en savoir plus n’est-ce pas
alors entrer dans la zone des vices
cachés, vous ne serez pas déçu du voyage
et qui sait si vous ne vous reconnaissiez
pas dans ses témoignages. Petits pervers
que vous êtes!
P.S.
Avant de mettre votre récit sur papier,
apposé votre surnom, âge, sexe, ville,
pays.
Écrivez
à : infokouples@gmail.com

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11)
J'ai
demandé
la
fessée
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Nous
étions sur
le grand divan
de son salon,
c'était l'après-midi,
nous venions
de regarder
un film et
tout collé
serré en cuillère
mon copain
et moi commençâmes
à nous embrasser.
Les baisers
devenaient
de plus en
plus ardents
et le désir
de la chair
se fit prenant.
Je me suis
placé debout
au-dessus
de lui comme
pour lui faire
une danse
tout en soulevant
mon T-shirt.
J’ai commencé
langoureusement
à retirer
celui-ci.
Lui, était
couché sous
moi et regardait
ma prestation
avec un petit
sourire au
coin de la
bouche, l'œil
pétillant.
Toujours debout
au-dessus
de lui, juste
vêtu de ma
petite culotte,
je descendais
vers son bassin
imitant un
strip-tease.
Je roulais
des hanches
à chaque mouvement
devant son
visage, écartant
parfois les
cuisses juste
devant son
visage pour
qu'il admire
mon entrejambe
à la perfection.
Je simulais
une masturbation,
spectacle
qu'il adorait
et qui l'allumait.
Il me dit;
assis toi
sur ma queue,
je veux te
sentir. Obéissante,
je fis descendre
mon mini slip
turquoise
sur mes cuisses
tout doucement
et lui demanda
de le retirer
une fois arrivé
à mes chevilles,
ce qu'il fit.
Une fois flambant
nue, je m'installais,
chatte sur
son visage
... »
Suite |
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12)
Lui,
je
voulais
son
sperme
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J’étais
avec cet homme
qui avait
une facilité
à me donner
des orgasmes.
Ce jour-là
après être
venu, il avait
décidé de
se masturber.
Il savait
que je n’avais
jamais avalé
de sperme
de ma vie.
Je l’avais
là, tout près
de mon visage
et il se masturbait
en me disant
qu’il allait
venir sur
mon visage
et dans ma
bouche. Je
me souviens,
j’étais là
les yeux fermés
et l’idée
qu’il éclate
sur mon visage
commença à
me plaire.
J’entrouvris
les yeux et
le voyait
qui se donnait
un va-et-vient
intense sur
sa bite. Un
petit sourire
se posa sur
mes lèvres.
Cette vue
m’enflamma
l’esprit et
il remarqua
que son petit
manège venait
de m’exciter
à un point
tel ou je
me mis fortement
à me masturber
à mon tour.
Je savais
qu’à ce moment
précis, je
voulais recevoir
toute sa semence
dans ma bouche.
Ce petit sourire
coquin et
malin qui
s’était dressé
sur mon visage
ne pouvait
plus disparaître.
Mon être ......
»
Suite |
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J’étais
dans cette
position dont
elle adorait
tant. J’étais
placé derrière
elle et lui
offrait un
doggy style
dont le rythme
était soutenu
et d’une vitesse
modérée. Au
début, nous
étions face
à la tête
du lit, mais
plus la cadence
s’accentuait
plus je remarquais
que ma copine
se déplaçait
dans le lit,
comme pour
changer les
angles qu'elle
n'arrive pas
à supporter.
Nous n’étions
plus face
à la tête
du lit, nous
étions placés
sur le côté
de la tête
maintenant,
tellement
elle bougeait.
Moi, cherchant
à retenir
ses hanches
pour continuer
mon va-et-vient,
je sentais
que je devais
la tenir fortement
dans mes mains
pour garder
le rythme,
la cadence,
et la profondeur
qu’elle adorait
tant. Je sentais
que chaque
coup de bassin
que je lui
offrais l’amenait
vers l’orgasme.
Cherchant
la profondeur,
je l’attirais
constamment
vers moi,
parfois une
main sur la
hanche et
l’autre sur
le haut de
la fesse,
ce qui me
permettais
de me soulever
et de rentrer
plus profond
en elle. Chaque
coup de reins
que je lui
prodiguais
la faisait
râler... »
Suite |
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14)
La
sensibilité
de
mes
seins |
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J’avais
cet amant
avec qui je
prenais plaisir
de raconter
tout de mes
expériences,
jusqu’aux
sensations
les plus secrètes
que mon corps
pouvait exprimer.
Jamais je
n’aurais imaginé
qu’il puisse
vouloir découvrir
jusqu’où j’étais
sensible.
Un jour chez
lui, je subissais
des préliminaires
comme il sait
me les donner,
tout d’un
coup, il me
dit; place-toi
à quatre pattes.
OK, ce que
je fis aussitôt,
là il se faufila
sous moi,
pour avoir
mes seins
à la portée
de sa bouche.
Il se mit
au travail,
les mordillait,
les léchait,
les suçait.
Comme à l’habitude,
il donnait
tout ce qu’il
avait, pouvant
ainsi faire
croire à sa
réussite.
Moi j’encaissais
ses attaques,
je frissonnais,
mon corps
réagissait.
Pendant 10
minutes sans
arrêt il s'amusait
à me faire
réagir. D'un
coup, il me
fit prendre
une position
peu orthodoxe,
j’étais encore
à quatre pattes,
mais en appui
sur mon épaule
droite et
il tenait
mon autre
bras avec
sa main droite.
Il changea
de stratégie,
il en voulait
plus. Il s’attaquait
à mon aisselle
avec de grands
coups langue
et descendit
jusqu’à mon
sein. Ce manège
me surprit
et m’étonna.
La sensation
fut fulgurante,
il recommença
et recommença,
mon excitation
ne faisait
que grandir.
Je m'étonnais
de son savoir-faire.
Je gémissais,
je sentais
l’orgasme
en moi. Il
s’attarda
à mon aisselle
et d’une grande
lèche descendit
vers mon sein
et arrêta
sur mon mamelon
qui pointait
long et dur.
Il poursuivit
ce manège
entre mon
aisselle et
mon mamelon
une bonne
dizaine de
fois encore.
Mon orgasme
qui était
là présent
depuis quelques
minutes se
déclencha
et ma bouche
ne put s’empêcher
de lâcher
un de ses
râles inoubliables.
Je venais
de jouir des
seins. Oups!
Plutôt il
venait de
me faire orgasmer
en me torturant
les seins. |
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15)
Il
me
dit
comment
m’habiller
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J’avais
une affaire
avec cet homme
dont j’avais
l'impression
qu’il était
mon coach
sexuel. Ce
jour-là, je
devais lui
rendre visite
et je cherchais
quoi mettre
pour lui plaire.
Je pris le
téléphone
et l’appela
pour lui dire
que j’arrivais
après mettre
décidé sur
ma tenu. Il
se mit à faire
des demandes
spéciales.
Il voulait
me voir dans
une robe d’été
légère et
le plus important,
aucune culotte
dessous. Cette
dernière demande
me laissa
froide. Mais
l’homme insista
et cette fois-ci
il ne demanda
pas, il ordonna
d’une voix
autoritaire.
Je me pliais
une fois de
plus à ces
caprices.
Je me sentais
tout bizarre,
c’est une
première pour
moi. Vêtue
de cette robe
et de talons
hauts, je
sortis et
me dirigea
vers ma voiture.
Et là, une
brise passa
entre mes
jambes, la
fraîcheur
alla caresser
ma chatte.
J’ai eu un
sourire et
me disais
que cet homme
savait exactement
ce qu’il faisait.
Je sentais
tout... »
Suite |
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16)
Ce
parie
que
j'ai
perdu |
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J’étais
là, avec cet
homme qui
me taquinait
en disant
que j’étais
une précoce
version femme.
J’ai éclaté
de rire et
lui dis; si
je le désire,
je suis capable
de ne pas
jouir. Alors,
il me dit;
dans ton cas,
c’est chose
impossible.
À ce moment-là,
les dés venaient
d’être lancés.
Pour gagner,
il fallait
tout faire
pour ne pas
atteindre
l’orgasme.
Je ne voulais
pas le voir
gagner aussi
facilement.
Nous débutâmes
notre petit
jeu. Ce n’est
pas sans vous
dire que cette
pénétration
fut longue,
bonne et très
excitante.
Il me pénétrait
sans cesse
langoureusement,
baisers et
caresses à
l’appui. Il
savait parfaitement
comment s’y
prendre. Moi
dans ma tête,
dans mon corps
je subissais
des assauts
de sensations
qui ne cessaient
de m’amener
vers un orgasme
inévitable.
Mais je n’allais
pas lui donner
raison aussi
facilement.
Sa queue fendait
mon entre-jambes
totalement
mouillé d’excitation
à le regarder
allez. J’espérais
tellement
le voir venir
avant moi.
J’ai tenu
face à ses
assauts un
bon 45 minutes
quand tout
à coup trahi
par mon corps
qui demandait
grâce, d’être
libéré de
cet orgasme
qui n’a cessé
d’être là,
constamment
présent depuis
que sa verge
fendit mes
entrailles.
J’ai éclaté
de jouissance,
une jouissance
libératrice.
Lui, là, devant
moi son sourire
de gagnant
aux lèvres,
me dit; wow,
tu m’étonnes,
jamais je
n’aurais pensé
que cela allait
être aussi
long. Moi,
encore sous
lui rétorqua;
quelque part
au fin fond
de moi je
sens ma victoire
d’avoir résisté
aussi longtemps
à ta queue.
P.S. Quelques
heures plus
tard, je l’appelais
au téléphone
et lui dit
avoir un aveu
à lui confesser.
Je lui dis
qu’il m’avait
fait jouir
[en silence]
dans les trois
premières
minutes de
notre pari
et que ce
fut pour cela
que j’ai pu
résister aussi
longtemps.
Bien sûr,
il s’esclaffa
de rire. Bonne
joueuse que
je suis, j'étais
contente de
lui avouer
que je perdis
ce pari en
moins de cinq
minutes. |
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Un
invité surprise
: Ce soir-là
je suis sorti
en ville avec
l’intention
de ramener
une fille
à la maison.
Comme de fait,
je m’exécutai.
Bien vite,
nous nous
sommes retrouvés
dans ma chambre
et les choses
se sont enflammées.
Après une
trentaine
de minutes,
elle se faisait
aller sur
ma queue,
quand tout
à coup la
porte de ma
chambre s’entrouvrit
et se referma
aussi tôt.
Dans l’état
où j’étais,
j’y portais
à peine une
importance.
Dans la minute
qui suivit,
je sentis
quelqu’un
qui venait
de monter
sur le lit.
Dans le noir
je le reconnus.
C’était l’un
de mes coéquipiers
qui venait
de revenir
de sa soirée.
Je lui demandais
ce qu’il faisait
et il me répondit
''shuuut''.
Tout d’un
coup, je remarquais
le visage
de la fille
qui exprimait
sa surprise.
Mon pote venait
de la prendre
par les hanches
et elle, aillant
remarqué cela
s’est un peut
plus enfoncé
sur ma queue
tout en se
penchant vers
moi, comme
pour se placer
de manière
à accueillir
mon ami. À
cet instant,
j’avais qu’une
chose en tête.
Je me disais
''wow'' elle
est prête
à accueillir
une autre
queue en elle.
Mon excitation
venait de
décupler.
Et là, j’entendis
un long gémissement
sortant de
sa bouche
et au même
moment, je
sentais la
verge de mon
coéquipier
fendre sa
cavité anale.
Sa queue,
je pouvais
sentir son
va-et-vient
à travers
la mince paroi
qui séparait
nos deux verges.
''Wow'', elle
avait forcément
déjà vécu
cela, car
encore une
fois ''wow'',
parce qu’elle
prenait totalement
son pied en
enfonçant
sa chatte
jusqu'à la
garde de ma
verge tout
en prenant
la queue de
notre invité
surprise dans
son anus.
Expérience
tout à fait
inoubliable.
Je vous fais
une dernière
confidence
: L’excitation
était au plafond
et la regarder
crier, crier,
crier jusqu’à
éclater de
jouissance,
déclencha
mon orgasme
et mon ami
fit de même.
Là, ce fut
incroyable,
car je pouvais
ressentir
tous les soubresauts
de la jouissance
de sa queue
dans l’anus
de cette fille
que j’avais
choisie dans
ce club. |
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18)
Une
demande
très
spéciale
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Je
me souviens,
j’avais 16
ans, nous
étions là,
les amis et
moi dans ce
salon. Nous
avions bu
et pris quelques
substances
illégales.
On riait pour
un tout pour
un rien. Devant
moi, cet ami
était là avec
sa copine
juste en face
de moi. Cela
faisait une
bonne heure
que je la
matais et
l’imaginais
complètement
nue. Elle
portait une
jupe dont
je pouvais
entrevoir
l’intérieur
de son entre
cuisses et
cela m’excitait.
Je la voyais
qui riait
et chaque
mouvement
de rire offrait
des mouvements
à son corps.
Ses jambes
couleur crème
n’arrêter
pas de se
frotter l’une
à l’autre
devant moi.
Ce spectacle
m’avait donné
une érection
qui durait
depuis plus
d’une demi-heure.
Cette fille
était complètement
dans ma tête.
D’un coup,
une folie
vint à mon
esprit. Sans
hésitation,
je regardais
mon ami et
lui lança;
me passerais-tu
ta copine?
Il me regarda
les yeux grands
ouverts et
là, je me
dis; qu’est-ce
qui m’a pris
de poser cette
question?
Il pouffa
de rire et
les autres
en firent
autant. On
n'arrêtait
plus, on riait.
Il s’arrêta
et me dit;
demande-lui!
Alors, je
m’exécutais
et lui dit;
viendrais-tu
dans la chambre
avec moi?
Sans hésiter,
elle se leva,
me tendit
la main et
m’entraînait
vers la chambre.
J’entendis
à nouveau
les amis s’éclater
de rire. Moi,
je poursuivais
mon chemin
avec cette
petite aux
jambes couleur
crème qui
me fit bander
une bonne
partie de
la soirée.
Et c’est comme
ça que cette
nuit-là, je
perdis ma
virginité
une nuit d’été
de mes 16. |
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19)
Telle
une
poupée
gonflabe
[complètement
paraplégique
]
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En
30 ans d'activité
sexuelle et
d'expérience
de tout genre,
je n'ai jamais
connu et ressenti
un tel sentiment
de lâcher-prise
et d'abandon
après un orgasme.
Je ne vous
parle pas
de lâcher-prise
ou de fatigue
extrême physique
non! Mais
d'une perte
totale du
contrôle de
mon corps.
À chaque fois
que mon amant
me donne un
orgasme avec
sa queue et
il est le
seul et l'unique
à réussir
cet exploit,
je deviens
semi-consciente,
mon corps
mes membres
se déconnectent
complètement
de mon cerveau,
plus rien
n'est inter
relié. La
seule connections
qu'il me reste,
est celle
de ma tête
à mon vagin
qui continu
malgré tout
à ressentir
les coups
de reins de
mon amant
qui tente
même dans
mon état léthargique
de me faire
à nouveau
jouir. Il
m'est impossible
de réagir
à ses assauts,
juste laisser
mon vagin
jouir de nouveau
encore et
encore. Parfois
pour me montrer
à quel point
il a le contrôle
de mon corps,
il me donne
des petites
gifles sur
le visage.
Ce geste me
mets en furie,
mais la seule
façon pour
moi de réagir,
c'est de lui
crier stop
arrête! Je
suis sa marionnette,
sa chose,
une loque
humaine complètement
à sa merci.
Au début,
c'était humiliant
et déconcertant.
Même que la
première fois,
je ne comprenais
pas ce qui
m'arrivait.
À présent,
je sais que
cela excite
mon mec et
ça me plaît,
sauf lorsqu'il
s'arrange,
arrogant pour
me faire sortir
de mes gon
et que je
ne peux rien
faire que
de subir ses
sévices... |
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|
Ce
jour-là, je
devais me
rendre chez
cet homme
avec qui j’ai
eu une aventure
d’un soir.
Je devais
aller chercher
un logiciel
qu'il m’avait
préparé sur
CD. Je n’avais
pas grand
temps, mais
je me mis
tout de même
sur mon 31
pour voir
si cela allait
l’agacer.
Je me présentais
à sa porte
un tailleur
blanc et des
talons hauts.
Il ouvrit
la porte,
ne dit rien.
Ses yeux se
sont baladés
de haut en
bas comme
un scanner
et je perçus
son sourcil
gauche se
relevé, ce
qui voulait
dire; j’ai
vu. J’avais
le sourire
accroché à
mes lèvres,
d’aguichante.
Il me dit;
wow! C’est
bien ce que
tu portes.
Il me fit
entrer, je
lui dis; ne
pas avoir
grand temps.
Il m’installa
sur sa chaise
d’ordinateur
le temps qu’il
sorte le CD.
J’avais entre-temps
croisé mes
longues jambes.
Le CD dans
la main il
s’approcha,
le déposa
sur le bureau
et s’agenouilla
lentement
devant moi.
Il passa sa
main sur ma
hanche et
les descendit
jusqu’à mes
genoux, les
embrassait
tendrement.
Au même moment
avec toujours
autant de
souplesse,
il me décroisa
les jambes
et les entrouvrit.
Le spectacle
était très
excitant,
je me laissais
faire littéralement.
Il remonta
doucement
ma jupe, j’écartai
légèrement
les cuisses
... »
Suite |
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