Ces vices charnels #6

 

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J’ai des vices cachés inavouables, si je vous les dévoilais la vision que vous avez de moi changerait à coup sûr…. Ses petits secrets la, je les garde enfouis profondément ancrés dans ma tête et jamais, je n’oserai en parler… Pourquoi! Peur du ridicule, du rejet de la société, de son jugement hypocrite, d’avoirs l’air salace ou vicieuse [vicieux], un peu tout cela à la fois. Le monde dans lequel nous vivons aujourd’hui nous oblige à garder un jardin très secret sur nos penchants un peu plus pervers. Du temps des Romains, des Grecs et même des Égyptiens, la sexualité n’avait pratiquement aucun tabou. Le sexe libre était partagé entre tous, la recherche du plaisir était le but de chaque expérience vécue, peu importais le sexe du partenaire, le nombre, la façon, l’objet utiliser pour procurer du plaisir, l’aboutissement était l’échange, l’orgasme, le jeu, la jouissance. Tout était permis et offert aux plus consentants. Ce besoin encore présent de nos jours est brimé par la conscience religieuse, l’interdit d’une éducation puritaine et les lois. Ici, nous désirons briser les tabous et ouvrir la boîte de Pandore. Sous le couvert de l’anonymat plusieurs personnes osent en dirent plus sur leurs propres désirs de perversion. Vous êtes curieux d’en savoir plus n’est-ce pas alors entrer dans la zone des vices cachés, vous ne serez pas déçu du voyage et qui sait si vous ne vous reconnaissiez pas dans ses témoignages. Petits pervers que vous êtes!

P.S. Avant de mettre votre récit sur papier, apposé votre surnom, âge, sexe, ville, pays.

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51) Doucement et sensuellement sur sa queue
Je suis le genre de femme qui n’a aucune difficulté à atteindre l’orgasme. Je dirais même que s’en est trop facile et trop simple. Si on se concentrait sur mon plaisir, je peux venir un peu plus d’une dizaine de fois et si on s’acharne, je peux finir par atteindre une vingtaine d’orgasmes. J’étais avec mon plan cul du moment, en train de le chevaucher. J’adorais cette position, car je prenais totalement le contrôle de la situation. Et ce dont j’adorais le plus c'est de pouvoir décider du moment où je concrétiserais mon orgasme. Le but d’avoir ce contrôle, c’est justement pour pouvoir arrêter à chaque fois que je sens l’orgasme approché. Le fait de m’arrêter plusieurs fois provoque en moi la sensation de faire grandir cet orgasme et provoque dans mon corps une plus grande jouissance et de surcroît plus intense. Donc je reviens à ce plan cul qui était sous moi et dont j’étais en train de prendre plaisir sur sa queue. J’étais accroupi sur sa verge énorme et bien dure, une main au milieu de sa poitrine et l’autre au milieu de son ventre. Cela me permettait d’avoir équilibre et confort. Je prenais plaisir sur sa queue, mon intérieur demandait constamment de jouir. J’étais concentré sur le fait de ne pas jouir tout de suite. Après avoir stoppé à deux reprises mes va-et-vient son gland entre les lèvres de ma chatte... » Suite
52) Sur ma planche de Surf
C'était un bel après-midi ensoleillé et je venais de terminer l'école. Il devait être environ 14h et j'avais juste une idée en tête, prendre ma planche de Windsurf, aller au large, me détendre et bronzer. Donc, arriver chez moi mes Jeans et T-shirt furent remplacés par mon mini bikini et rapidement j'étais déjà en train de ramer sur le bleu de l'océan. Les cheveux dans le vent un sentiment de liberté dans le cœur, j'adorais cet instant unique où j'avais l'impression que plus rien n'existait autour de moi, plus de problèmes, plus de soucis, l'évasion totale. Cela me prit environ 20 minutes pour arriver au lieu où je voulais me poser. Je me mis à chercher une patate de corail pour pouvoir y attacher ma corde. Une fois trouvé, je plongeais à l'eau la corde à ma cheville cherchant un endroit sur le gros corail ou amarrez celle-ci. Je laissais remonter mon corps à la surface et enfin prête, je profitais du reste de ma journée allonger les seins nus aux alizés. Je laissais pénétrer les chauds rayons de soleil sur ma peau. Je m'étais enduit d'huile de Monoï, l'odeur des tiares mélangées au coco emplissait mes narines. Mon corps était reluisant et doré, une légère brise fit dresser mes mamelons, cela m'excita un peu. Je commençais à laisser glisser ma main sur mon ventre plat puis lentement cette douce caresse procurera à mon corps une légère sensation de plaisir. Mon sexe se contracta et j'écartais les jambes pour laisser passer la brise entre mes cuisses. Toujours les mains caressant mon corps huilé, je commençais à pincer mes seins, je fis gonfler et rouler mes mamelons entre mes doigts, ils glissaient... » Suite
53) Pour mettre fin à cette abstinence
J’étais sorti ce soir-là avec des collègues de travail pour me libérer la tête de mes problèmes conjugaux. Rien en tête, je m’amusais en essayant d’oublier que mon mec depuis que je suis tombé enceinte ne m’a pas touché une seule fois. J’avais accouché depuis belle lurette et toujours rien. J’avais repris mon poids initial et pesaient à peine 110 lb. Alors, il était où le problème? Je l’avoue, j’étais constamment en manque de chair. Je désirais une queue, mais une très grosse queue, je désirais ardemment sentir quelque chose en moi. Il y avait les hommes du groupe qui étaient après moi sur la piste de danse et les propositions pleuvaient. Ils étaient mignons, mais pas mon genre de mec. Quand tout à coup, j’aperçus cet homme qui dépassait tout le monde d’au moins une tête... » Suite
54) Un tourbillon de langues
Je venais d’obtenir deux orgasmes provoqués par sa douce langue. Il m’avait accordé quelques minutes de répit après chacune de ces jouissances, car j’en avais grandement besoin. Pour moi, avoir atteint un second orgasme tenait du miracle. Jamais personne ne s’était autant attardé et autant déchaîné sur ma chatte. Je vivais une expérience nouvelle et j’adorais. Mais Monsieur n’avait pas terminé son boulot. M’ayant accordé un petit sursis, il reprit son travail, mais changea complètement de tactique. Il débuta une lèche lente et douce sur mon clitoris. Passant de petits bisous un peu partout sur ma vulve à de longues pénétrations de sa langue à l’intérieur de ma petite chatte qui était toujours humide. Je gémissais déjà de plaisir. Je trouve cela incroyable, cette sensation d’excitation, car je ne m’attendais plus à en ressentir après être venu deux fois auparavant. Haaaa! C’était divin. Divin de voir quelqu’un entre mes jambes, s’occuper de ma chatte comme il le faisait. L’apercevoir ainsi coller continuellement bouche sur ma vulve m’excitait. Puis, je sentis qu’il enrobait mon petit clitoris de ses lèvres. Il avait formé un cercle de sa bouche autour de celui-ci. Il remplit sa bouche de salive et commença à faire des succions avec mon clitoris tout en se décollant de ma chatte laissant ainsi s’échapper de la salive et en même temps donnant de petits coups de langue rapide... » Suite
55) Mes premiers orgasmes multiple
’avais ce nouveau copain depuis peu et cette fin de semaine je l’ai amené avec moi chez mes parents qui restaient dans une ville à 200 km d’ici. Le soir, nous étions installés dans mon ancienne chambre qui faisait face à la chambre des parents. Moi, j’étais tout feu tout flamme et je sautais sur mon copain et lui dit que j’avais envie qu’il me fasse l’amour. Il est resté figé à ma demande et me dit; tu es folle, tu veux faire ça là, lorsque tes parents sont dans l’autre chambre en face de la nôtre. Euh…. Oui! Plus jeune je le faisais et ma mère m’a toujours dit préférer me savoir le faire ici que n’importe où d’autres. Lui, les yeux bien étonnés de surprise me regardaient stupéfait. Le trouvant trop mignon, je lui sautais dessus et l’embrasser partout. J’étais mouillé, je le désirais. Il se résigna et prit les commandes comme il le fait si souvent. J’eus droit à un préliminaire et un cunnilingus de l’enfer qui me fit trembler de partout. J’adorais sa langue qui prenait le temps de me faire jouir. C’était long, mais il réussissait à chaque fois, même si sa mâchoire à la fin pouvait lui faire mal d’être resté aussi longtemps ouverte pour mon plaisir... » Suite
56) La chambre de ma mère
J’ai ce rendez-vous avec mon ex fuck friend chez moi, ce soir. Il se présente à la porte et je l’accueille avec enthousiasme. Il rentre, je le prends par la main et l’attire non pas vers ma chambre, mais vers celle de ma mère qui m’a offert son lit pour cette soirée, qu’elle sait très spéciale avec cet homme. Lui voyant qu’on ne se dirige pas vers ma chambre se met à poser plein de questions. Après lui avoir fait un petit topo de la situation, je lui dis que ma mère s’est barricadée dans ma chambre. Pour me laisser son lit, il fallait vraiment qu’elle adore cet homme. J’avais tellement envie de lui, c’était la deuxième fois qu’il venait me baiser dans cet appartement. Je me souviens qu’il m’avait fait de longs préliminaires intenses ce soir-là et par la suite on avait commencé à baiser comme des bêtes. Nous nous sommes déplacés un peu partout sur le lit dû à l’intensité que nous dégagions. Il était derrière moi et me talonnait de sa grosse verge. J’adorais la position dans laquelle il me prenait, j’étais allongé affaler sur le ventre dans le lit. Il m’écartait les jambes avec ses jambes pour pouvoir bien me pénétrer profondément. J’adorais cette position lorsqu’il me la faisait, car lui, il se rendait jusqu’au fond. Chaque coup de verge reçue m’amenait vers le pied du lit... » Suite
57) J'ai rencontré ce gars qui m'a fais l'amour
J’ai vu cet homme à une soirée à un peu plus de 200 km de chez moi. Beau, grand, mystérieux, il m’a ouvert l’appétit sexuel ce soir-là. N’ayant pas eu le courage d’aller lui adresser la parole, j’ai abandonné. Deux semaines plus tard, profitant d’une autre soirée, mais cette fois-ci dans ma ville. Je l'ai aperçu et je l’ai tout de suite reconnue. Je pris mon courage à deux mains et suis allé lui parler. Je lui dis l’avoir remarqué il y a deux semaines de cela dans un autre club. Il me répondit qu’il savait et avait remarqué que je le regardais. Nous étions depuis peu sur la piste de danse et je l’imaginais déjà dans mon lit. La soirée débutait à peine et je lui demandai s’il voulait venir là, tout de suite chez moi. Sans aucune hésitation, il accepta mon invitation. C’est là que je subis l’expérience la plus bizarre de ma vie. Cet homme, fort et mystérieux que j’ai fantasmé dessus ces derniers jours, m’a fait vivre une expérience hors de l’ordinaire. En tout cas pour moi. Dans l’action, il a pris le contrôle de cette nuit de sexe, sans la moindre résistance de ma part. Écoutez, quelqu’un qui vous fait cela comme ça, ça déboussole, mais de plus on se sent pris d’un désir irrésistible de le voir continuer. Il m’a fait la totale, il s’est occupé de tout mon corps avec douceur et sensualité. Il m’a même offert un cunnilingus. Même un étant mal à l’aise, j’étais prise d’envie que cela ne s’arrête pas. Alors, je m’abandonnais complètement dans ses bras, dans ses caresses, car tout cela me plaisait énormément. Je me disais surtout n’arrête pas. Après, il m’a prise et toujours avec autant d’attention et de caresses. Tout en me pénétrant, il a continué de me prodiguer ses caresses et ses baisers. Je me laissais totalement aller. J’avais des frissons partout. Ce soir-là, j’ai obtenu deux orgasmes et énormément de sensations nouvelles sans aucun effort de sa part. Mon corps n’était pas meurtri, comme quand on me prenait comme une chienne. Je lui dis que jamais je n’aurais imaginé qu’il me fasse cela ainsi. J’ai compris que dans le fin fond, c’était un lover. J’ai vraiment senti qu'on me faisait l’amour ce soir-là, ou un semblant d’amour.
58) Je fais la fessée
Après midi de juillet, il fait chaud, des perles d’eau tombent sur mes joues, mon mec me pilonne de façon soutenue depuis un certain temps déjà. Il est tendu au-dessus de moi, trempé de sueurs, j’ai les jambes bien écartées qui sont posées sur le haut de ses cuisses. Mes bras entourent son cou et je lui mords la nuque à grandes bouchées, je laisse glisser mes dents sur la peau ébène et douce. Ma langue lèche le sel de sa vigueur. Il adore ça lorsque je fais ma lionne, comme il aime me surnommer. Je ronronne sous les vas et viens que sa queue bien bandée me procure, je geins de sentir son membre me fendre. Il est là, bien au-dessus de moi les deux bras sous mes épaules, il serre mon corps contre lui comme pour fusionner encore plus le mien au sien. Il est déchaîné, ses coups de reins sont violents, profond, il n'a de cesse de me marteler comme un défoncer. Je le vois à son regard, il se retient, car il veut me faire jouir en premier, mais moi ce jour-là mon corps malgré le plaisir qu’il reçoit à décider de ne rien déclencher. Cela arrive souvent, un blocage se fait. Je me mets à ressentir les touchers, les caresses, les contractions, c’est mécanique, mais rien d’excitant ne surgit de ce stimulus. Ma tête est ailleurs partie dans un cinéma érotique sans symphonie. C’était une journée comme celle-là et je savais pertinemment que peux importe ce que mon copain ferait, peut importe les efforts qu’il donnerait rien ne changerait la donne... » Suite
59) Proposition descente
Il y avait cet homme qui me draguait constamment, il n’arrêtait pas de dire; je sais ce que tu aimes, je sais parfaitement ce que tu veux et comment tu le veux. Je lui répondais qu’il ne savait absolument rien et qu’il parlait dans le vent. Il avait une grande confiance en lui, moi je me laissais draguer, j’adorais que ça vienne de lui et surtout j’adorais le voir courir. Un jour, il m’arriva avec cette proposition et me dit; on passe une soirée ensemble où je m’occupe de toi, de ton corps en entier et moi je n’ai pas besoin de recevoir quoi que ce soit en échange. La proposition était alléchante et il me dit d’y penser sérieusement. Durant une semaine, je n’avais que ça en tête. Ce mec me caressant, goûtant mon corps tout entier. Imaginer sa bouche sur ma vulve m’excitait totalement. Alors je me suis laissé tenter par cette proposition qui ne m’engageait à rien. Selon ces règles, il voulait juste me toucher, me caresser et me manger la chatte. Je ne sentais pas la pression de lui devoir quoi que ce soit, pas de fellation, pas de pénétration. L’offre m'était présentée sur un plateau de diamant et la tentation m’avait envahi. J’acceptais et réitérais le contrat pour être sûr d’être tous deux sur la même longueur d’onde. Ce soir-là, je compris ce que c’était de subir du sexe oral. Il me prit dans toutes les positions possibles. J’offris ma chatte à sa langue experte durant près de quatre heures et j’obtins plus d’orgasmes sous l’influence de cette petite chose versus qu'une queue pu donner. Je suis passé par toutes les sensations possibles. J’espérais juste que mon cœur puisse tenir sous l’acharnement de sa langue. Ma chatte et mon clitoris furent totalement choyés de toutes ces caresses. Après cette soirée, je me demandais ce que ça pouvait être avec lui, faire l’amour. Combien d’orgasmes aurais-je reçus, si cela avait été consommé au complet? Comment aurait-il baisé ma chatte? À quoi ressemblait sa queue? Comment me ferait-il l’amour de sa queue? J’étais prise de ce désir d’en savoir plus, je voulais plus. Imaginez, près de quatre heures cette petite langue qui explore l’intérieur de votre vulve, agace votre clitoris et vous fait exploser et obtenir plus d’orgasmes que n’importe quelle queue qui vous ai déjà pénétré. Et je ne parle même pas des caresses qu’il m’a offertes. Je m’en fou du comment je pourrais me sentir après, mais ce que je sais, c’est que ma chatte veut en savoir plus, veut en recevoir plus. Je le veux en moi maintenant. Je ne peux me contenter juste de ça…
60) Je l’ai agacée, narguée et humiliée devant mes copines
J’étais dans ce party de l’université avec mon mec sur la piste de danse quand tous ses coéquipiers furent leur entrée. Ils étaient presque tous là. Les voyants, je me suis tout de suite mise à penser à la queue de certains d’entre eux, car mon copain m’en avait fait leur pédigrée. Moi, les regardant je ne voyais que la description de leurs queues, dont un en particulier paraît-il état beaucoup plus emmanché que les autres en termes de grosseur. Je le regardais bien, il avait la tête du parfait Bad boy, un chacal prêt à toute éventualité, il serait facile à corrompre me disais-je. J’étais toujours sur la piste accompagné de mon mec… quel mec? J’en avais plus, depuis que ses coéquipiers ont envahi la place. Moi, tout ce dont je désirais c’était la grosse queue de son coéquipier, de celui qui avait la plus grosse. Nous quittons la piste de danse pour rejoindre ses potes. Il entamait les présentations, je serrais la main à chacun d'eux, cela m’excitait d’être parmi tous ces pénis. Arrivé à ma future proie, je lui serrai la main bien comme il faut, tout en lui là écrasant le plus fort possible pour m’assurer qu’il me remarque. Comme de fait, le message fut passé. Il me regardait tel un chacal, le sourire au coin des lèvres et le regard perçant. Mon message était passé, je n’avais qu’à attendre, les dés étaient jetés... » Suite
   
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