J’ai
des vices cachés inavouables, si je
vous les dévoilais la vision que vous
avez de moi changerait à coup sûr….
Ses petits secrets la, je les garde
enfouis profondément ancrés dans ma
tête et jamais, je n’oserai en parler…
Pourquoi! Peur du ridicule, du rejet
de la société, de son jugement hypocrite,
d’avoirs l’air salace ou vicieuse [vicieux],
un peu tout cela à la fois. Le monde
dans lequel nous vivons aujourd’hui
nous oblige à garder un jardin très
secret sur nos penchants un peu plus
pervers. Du temps des Romains, des Grecs
et même des Égyptiens, la sexualité
n’avait pratiquement aucun tabou. Le
sexe libre était partagé entre tous,
la recherche du plaisir était le but
de chaque expérience vécue, peu importais
le sexe du partenaire, le nombre, la
façon, l’objet utiliser pour procurer
du plaisir, l’aboutissement était l’échange,
l’orgasme, le jeu, la jouissance. Tout
était permis et offert aux plus consentants.
Ce besoin encore présent de nos jours
est brimé par la conscience religieuse,
l’interdit d’une éducation puritaine
et les lois. Ici, nous désirons briser
les tabous et ouvrir la boîte de Pandore.
Sous le couvert de l’anonymat plusieurs
personnes osent en dirent plus sur leurs
propres désirs de perversion. Vous êtes
curieux d’en savoir plus n’est-ce pas
alors entrer dans la zone des vices
cachés, vous ne serez pas déçu du voyage
et qui sait si vous ne vous reconnaissiez
pas dans ses témoignages. Petits pervers
que vous êtes!
P.S.
Avant de mettre votre récit sur papier,
apposé votre surnom, âge, sexe, ville,
pays.
Écrivez
à : infokouples@gmail.com

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51)
Doucement
et
sensuellement
sur
sa
queue
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Je
suis le genre
de femme qui
n’a aucune
difficulté
à atteindre
l’orgasme.
Je dirais
même que s’en
est trop facile
et trop simple.
Si on se concentrait
sur mon plaisir,
je peux venir
un peu plus
d’une dizaine
de fois et
si on s’acharne,
je peux finir
par atteindre
une vingtaine
d’orgasmes.
J’étais avec
mon plan cul
du moment,
en train de
le chevaucher.
J’adorais
cette position,
car je prenais
totalement
le contrôle
de la situation.
Et ce dont
j’adorais
le plus c'est
de pouvoir
décider du
moment où
je concrétiserais
mon orgasme.
Le but d’avoir
ce contrôle,
c’est justement
pour pouvoir
arrêter à
chaque fois
que je sens
l’orgasme
approché.
Le fait de
m’arrêter
plusieurs
fois provoque
en moi la
sensation
de faire grandir
cet orgasme
et provoque
dans mon corps
une plus grande
jouissance
et de surcroît
plus intense.
Donc je reviens
à ce plan
cul qui était
sous moi et
dont j’étais
en train de
prendre plaisir
sur sa queue.
J’étais accroupi
sur sa verge
énorme et
bien dure,
une main au
milieu de
sa poitrine
et l’autre
au milieu
de son ventre.
Cela me permettait
d’avoir équilibre
et confort.
Je prenais
plaisir sur
sa queue,
mon intérieur
demandait
constamment
de jouir.
J’étais concentré
sur le fait
de ne pas
jouir tout
de suite.
Après avoir
stoppé à deux
reprises mes
va-et-vient
son gland
entre les
lèvres de
ma chatte...
»
Suite
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52)
Sur
ma
planche
de
Surf
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C'était
un bel après-midi
ensoleillé
et je venais
de terminer
l'école.
Il devait
être
environ 14h
et j'avais
juste une
idée
en tête,
prendre ma
planche de
Windsurf,
aller au large,
me détendre
et bronzer.
Donc, arriver
chez moi mes
Jeans et T-shirt
furent remplacés
par mon mini
bikini et
rapidement
j'étais
déjà
en train de
ramer sur
le bleu de
l'océan.
Les cheveux
dans le vent
un sentiment
de liberté
dans le cœur,
j'adorais
cet instant
unique où
j'avais l'impression
que plus rien
n'existait
autour de
moi, plus
de problèmes,
plus de soucis,
l'évasion
totale. Cela
me prit environ
20 minutes
pour arriver
au lieu où
je voulais
me poser.
Je me mis
à chercher
une patate
de corail
pour pouvoir
y attacher
ma corde.
Une fois trouvé,
je plongeais
à l'eau
la corde à
ma cheville
cherchant
un endroit
sur le gros
corail ou
amarrez celle-ci.
Je laissais
remonter mon
corps à
la surface
et enfin prête,
je profitais
du reste de
ma journée
allonger les
seins nus
aux alizés.
Je laissais
pénétrer
les chauds
rayons de
soleil sur
ma peau. Je
m'étais
enduit d'huile
de Monoï,
l'odeur des
tiares mélangées
au coco emplissait
mes narines.
Mon corps
était
reluisant
et doré,
une légère
brise fit
dresser mes
mamelons,
cela m'excita
un peu. Je
commençais
à laisser
glisser ma
main sur mon
ventre plat
puis lentement
cette douce
caresse procurera
à mon
corps une
légère
sensation
de plaisir.
Mon sexe se
contracta
et j'écartais
les jambes
pour laisser
passer la
brise entre
mes cuisses.
Toujours les
mains caressant
mon corps
huilé,
je commençais
à pincer
mes seins,
je fis gonfler
et rouler
mes mamelons
entre mes
doigts, ils
glissaient...
»
Suite
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53)
Pour
mettre
fin
à
cette
abstinence
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J’étais
sorti ce soir-là
avec des collègues
de travail
pour me libérer
la tête
de mes problèmes
conjugaux.
Rien en tête,
je m’amusais
en essayant
d’oublier
que mon mec
depuis que
je suis tombé
enceinte ne
m’a
pas touché
une seule
fois. J’avais
accouché
depuis belle
lurette et
toujours rien.
J’avais
repris mon
poids initial
et pesaient
à peine
110 lb. Alors,
il était
où
le problème?
Je l’avoue,
j’étais
constamment
en manque
de chair.
Je désirais
une queue,
mais une très
grosse queue,
je désirais
ardemment
sentir quelque
chose en moi.
Il y avait
les hommes
du groupe
qui étaient
après
moi sur la
piste de danse
et les propositions
pleuvaient.
Ils étaient
mignons, mais
pas mon genre
de mec. Quand
tout à
coup, j’aperçus
cet homme
qui dépassait
tout le monde
d’au
moins une
tête...
»
Suite
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54)
Un
tourbillon
de
langues
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Je
venais d’obtenir
deux orgasmes
provoqués
par sa douce
langue. Il
m’avait
accordé
quelques minutes
de répit
après
chacune de
ces jouissances,
car j’en
avais grandement
besoin. Pour
moi, avoir
atteint un
second orgasme
tenait du
miracle. Jamais
personne ne
s’était
autant attardé
et autant
déchaîné
sur ma chatte.
Je vivais
une expérience
nouvelle et
j’adorais.
Mais Monsieur
n’avait
pas terminé
son boulot.
M’ayant
accordé
un petit sursis,
il reprit
son travail,
mais changea
complètement
de tactique.
Il débuta
une lèche
lente et douce
sur mon clitoris.
Passant de
petits bisous
un peu partout
sur ma vulve
à de
longues pénétrations
de sa langue
à l’intérieur
de ma petite
chatte qui
était
toujours humide.
Je gémissais
déjà
de plaisir.
Je trouve
cela incroyable,
cette sensation
d’excitation,
car je ne
m’attendais
plus à
en ressentir
après
être
venu deux
fois auparavant.
Haaaa! C’était
divin. Divin
de voir quelqu’un
entre mes
jambes, s’occuper
de ma chatte
comme il le
faisait. L’apercevoir
ainsi coller
continuellement
bouche sur
ma vulve m’excitait.
Puis, je sentis
qu’il
enrobait mon
petit clitoris
de ses lèvres.
Il avait formé
un cercle
de sa bouche
autour de
celui-ci.
Il remplit
sa bouche
de salive
et commença
à faire
des succions
avec mon clitoris
tout en se
décollant
de ma chatte
laissant ainsi
s’échapper
de la salive
et en même
temps donnant
de petits
coups de langue
rapide...
»
Suite
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55)
Mes
premiers
orgasmes
multiple
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’avais
ce nouveau
copain depuis
peu et cette
fin de semaine
je l’ai
amené
avec moi chez
mes parents
qui restaient
dans une ville
à 200
km d’ici.
Le soir, nous
étions
installés
dans mon ancienne
chambre qui
faisait face
à la
chambre des
parents. Moi,
j’étais
tout feu tout
flamme et
je sautais
sur mon copain
et lui dit
que j’avais
envie qu’il
me fasse l’amour.
Il est resté
figé
à ma
demande et
me dit; tu
es folle,
tu veux faire
ça
là,
lorsque tes
parents sont
dans l’autre
chambre en
face de la
nôtre.
Euh….
Oui! Plus
jeune je le
faisais et
ma mère
m’a
toujours dit
préférer
me savoir
le faire ici
que n’importe
où
d’autres.
Lui, les yeux
bien étonnés
de surprise
me regardaient
stupéfait.
Le trouvant
trop mignon,
je lui sautais
dessus et
l’embrasser
partout. J’étais
mouillé,
je le désirais.
Il se résigna
et prit les
commandes
comme il le
fait si souvent.
J’eus
droit à
un préliminaire
et un cunnilingus
de l’enfer
qui me fit
trembler de
partout. J’adorais
sa langue
qui prenait
le temps de
me faire jouir.
C’était
long, mais
il réussissait
à chaque
fois, même
si sa mâchoire
à la
fin pouvait
lui faire
mal d’être
resté
aussi longtemps
ouverte pour
mon plaisir...
»
Suite
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56)
La
chambre
de
ma
mère
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J’ai
ce rendez-vous
avec mon ex
fuck friend
chez moi,
ce soir. Il
se présente
à la porte
et je l’accueille
avec enthousiasme.
Il rentre,
je le prends
par la main
et l’attire
non pas vers
ma chambre,
mais vers
celle de ma
mère qui m’a
offert son
lit pour cette
soirée, qu’elle
sait très
spéciale avec
cet homme.
Lui voyant
qu’on ne se
dirige pas
vers ma chambre
se met à poser
plein de questions.
Après lui
avoir fait
un petit topo
de la situation,
je lui dis
que ma mère
s’est barricadée
dans ma chambre.
Pour me laisser
son lit, il
fallait vraiment
qu’elle adore
cet homme.
J’avais tellement
envie de lui,
c’était la
deuxième fois
qu’il venait
me baiser
dans cet appartement.
Je me souviens
qu’il m’avait
fait de longs
préliminaires
intenses ce
soir-là et
par la suite
on avait commencé
à baiser comme
des bêtes.
Nous nous
sommes déplacés
un peu partout
sur le lit
dû à l’intensité
que nous dégagions.
Il était derrière
moi et me
talonnait
de sa grosse
verge. J’adorais
la position
dans laquelle
il me prenait,
j’étais allongé
affaler sur
le ventre
dans le lit.
Il m’écartait
les jambes
avec ses jambes
pour pouvoir
bien me pénétrer
profondément.
J’adorais
cette position
lorsqu’il
me la faisait,
car lui, il
se rendait
jusqu’au fond.
Chaque coup
de verge reçue
m’amenait
vers le pied
du lit...
»
Suite |
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57)
J'ai
rencontré
ce
gars
qui
m'a
fais
l'amour
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J’ai
vu cet homme
à une soirée
à un peu plus
de 200 km
de chez moi.
Beau, grand,
mystérieux,
il m’a ouvert
l’appétit
sexuel ce
soir-là. N’ayant
pas eu le
courage d’aller
lui adresser
la parole,
j’ai abandonné.
Deux semaines
plus tard,
profitant
d’une autre
soirée, mais
cette fois-ci
dans ma ville.
Je l'ai aperçu
et je l’ai
tout de suite
reconnue.
Je pris mon
courage à
deux mains
et suis allé
lui parler.
Je lui dis
l’avoir remarqué
il y a deux
semaines de
cela dans
un autre club.
Il me répondit
qu’il savait
et avait remarqué
que je le
regardais.
Nous étions
depuis peu
sur la piste
de danse et
je l’imaginais
déjà dans
mon lit. La
soirée débutait
à peine et
je lui demandai
s’il voulait
venir là,
tout de suite
chez moi.
Sans aucune
hésitation,
il accepta
mon invitation.
C’est là que
je subis l’expérience
la plus bizarre
de ma vie.
Cet homme,
fort et mystérieux
que j’ai fantasmé
dessus ces
derniers jours,
m’a fait vivre
une expérience
hors de l’ordinaire.
En tout cas
pour moi.
Dans l’action,
il a pris
le contrôle
de cette nuit
de sexe, sans
la moindre
résistance
de ma part.
Écoutez, quelqu’un
qui vous fait
cela comme
ça, ça déboussole,
mais de plus
on se sent
pris d’un
désir irrésistible
de le voir
continuer.
Il m’a fait
la totale,
il s’est occupé
de tout mon
corps avec
douceur et
sensualité.
Il m’a même
offert un
cunnilingus.
Même un étant
mal à l’aise,
j’étais prise
d’envie que
cela ne s’arrête
pas. Alors,
je m’abandonnais
complètement
dans ses bras,
dans ses caresses,
car tout cela
me plaisait
énormément.
Je me disais
surtout n’arrête
pas. Après,
il m’a prise
et toujours
avec autant
d’attention
et de caresses.
Tout en me
pénétrant,
il a continué
de me prodiguer
ses caresses
et ses baisers.
Je me laissais
totalement
aller. J’avais
des frissons
partout. Ce
soir-là, j’ai
obtenu deux
orgasmes et
énormément
de sensations
nouvelles
sans aucun
effort de
sa part. Mon
corps n’était
pas meurtri,
comme quand
on me prenait
comme une
chienne. Je
lui dis que
jamais je
n’aurais imaginé
qu’il me fasse
cela ainsi.
J’ai compris
que dans le
fin fond,
c’était un
lover. J’ai
vraiment senti
qu'on me faisait
l’amour ce
soir-là, ou
un semblant
d’amour. |
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Après
midi de juillet,
il fait chaud,
des perles
d’eau tombent
sur mes joues,
mon mec me
pilonne de
façon soutenue
depuis un
certain temps
déjà. Il est
tendu au-dessus
de moi, trempé
de sueurs,
j’ai les jambes
bien écartées
qui sont posées
sur le haut
de ses cuisses.
Mes bras entourent
son cou et
je lui mords
la nuque à
grandes bouchées,
je laisse
glisser mes
dents sur
la peau ébène
et douce.
Ma langue
lèche le sel
de sa vigueur.
Il adore ça
lorsque je
fais ma lionne,
comme il aime
me surnommer.
Je ronronne
sous les vas
et viens que
sa queue bien
bandée me
procure, je
geins de sentir
son membre
me fendre.
Il est là,
bien au-dessus
de moi les
deux bras
sous mes épaules,
il serre mon
corps contre
lui comme
pour fusionner
encore plus
le mien au
sien. Il est
déchaîné,
ses coups
de reins sont
violents,
profond, il
n'a de cesse
de me marteler
comme un défoncer.
Je le vois
à son regard,
il se retient,
car il veut
me faire jouir
en premier,
mais moi ce
jour-là mon
corps malgré
le plaisir
qu’il reçoit
à décider
de ne rien
déclencher.
Cela arrive
souvent, un
blocage se
fait. Je me
mets à ressentir
les touchers,
les caresses,
les contractions,
c’est mécanique,
mais rien
d’excitant
ne surgit
de ce stimulus.
Ma tête est
ailleurs partie
dans un cinéma
érotique sans
symphonie.
C’était une
journée comme
celle-là et
je savais
pertinemment
que peux importe
ce que mon
copain ferait,
peut importe
les efforts
qu’il donnerait
rien ne changerait
la donne...
»
Suite |
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Il
y avait cet
homme qui
me draguait
constamment,
il n’arrêtait
pas de dire;
je sais ce
que tu aimes,
je sais parfaitement
ce que tu
veux et comment
tu le veux.
Je lui répondais
qu’il ne savait
absolument
rien et qu’il
parlait dans
le vent. Il
avait une
grande confiance
en lui, moi
je me laissais
draguer, j’adorais
que ça vienne
de lui et
surtout j’adorais
le voir courir.
Un jour, il
m’arriva avec
cette proposition
et me dit;
on passe une
soirée ensemble
où je m’occupe
de toi, de
ton corps
en entier
et moi je
n’ai pas besoin
de recevoir
quoi que ce
soit en échange.
La proposition
était alléchante
et il me dit
d’y penser
sérieusement.
Durant une
semaine, je
n’avais que
ça en tête.
Ce mec me
caressant,
goûtant mon
corps tout
entier. Imaginer
sa bouche
sur ma vulve
m’excitait
totalement.
Alors je me
suis laissé
tenter par
cette proposition
qui ne m’engageait
à rien. Selon
ces règles,
il voulait
juste me toucher,
me caresser
et me manger
la chatte.
Je ne sentais
pas la pression
de lui devoir
quoi que ce
soit, pas
de fellation,
pas de pénétration.
L’offre m'était
présentée
sur un plateau
de diamant
et la tentation
m’avait envahi.
J’acceptais
et réitérais
le contrat
pour être
sûr d’être
tous deux
sur la même
longueur d’onde.
Ce soir-là,
je compris
ce que c’était
de subir du
sexe oral.
Il me prit
dans toutes
les positions
possibles.
J’offris ma
chatte à sa
langue experte
durant près
de quatre
heures et
j’obtins plus
d’orgasmes
sous l’influence
de cette petite
chose versus
qu'une queue
pu donner.
Je suis passé
par toutes
les sensations
possibles.
J’espérais
juste que
mon cœur puisse
tenir sous
l’acharnement
de sa langue.
Ma chatte
et mon clitoris
furent totalement
choyés de
toutes ces
caresses.
Après cette
soirée, je
me demandais
ce que ça
pouvait être
avec lui,
faire l’amour.
Combien d’orgasmes
aurais-je
reçus, si
cela avait
été consommé
au complet?
Comment aurait-il
baisé ma chatte?
À quoi ressemblait
sa queue?
Comment me
ferait-il
l’amour de
sa queue?
J’étais prise
de ce désir
d’en savoir
plus, je voulais
plus. Imaginez,
près de quatre
heures cette
petite langue
qui explore
l’intérieur
de votre vulve,
agace votre
clitoris et
vous fait
exploser et
obtenir plus
d’orgasmes
que n’importe
quelle queue
qui vous ai
déjà pénétré.
Et je ne parle
même pas des
caresses qu’il
m’a offertes.
Je m’en fou
du comment
je pourrais
me sentir
après, mais
ce que je
sais, c’est
que ma chatte
veut en savoir
plus, veut
en recevoir
plus. Je le
veux en moi
maintenant.
Je ne peux
me contenter
juste de ça… |
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60)
Je
l’ai
agacée,
narguée
et
humiliée
devant
mes
copines
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J’étais
dans ce party
de l’université
avec mon mec
sur la piste
de danse quand
tous ses coéquipiers
furent leur
entrée.
Ils étaient
presque tous
là.
Les voyants,
je me suis
tout de suite
mise à
penser à
la queue de
certains d’entre
eux, car mon
copain m’en
avait fait
leur pédigrée.
Moi, les regardant
je ne voyais
que la description
de leurs queues,
dont un en
particulier
paraît-il
état
beaucoup plus
emmanché
que les autres
en termes
de grosseur.
Je le regardais
bien, il avait
la tête
du parfait
Bad boy, un
chacal prêt
à toute
éventualité,
il serait
facile à
corrompre
me disais-je.
J’étais
toujours sur
la piste accompagné
de mon mec…
quel mec?
J’en
avais plus,
depuis que
ses coéquipiers
ont envahi
la place.
Moi, tout
ce dont je
désirais
c’était
la grosse
queue de son
coéquipier,
de celui qui
avait la plus
grosse. Nous
quittons la
piste de danse
pour rejoindre
ses potes.
Il entamait
les présentations,
je serrais
la main à
chacun d'eux,
cela m’excitait
d’être
parmi tous
ces pénis.
Arrivé
à ma
future proie,
je lui serrai
la main bien
comme il faut,
tout en lui
là
écrasant
le plus fort
possible pour
m’assurer
qu’il
me remarque.
Comme de fait,
le message
fut passé.
Il me regardait
tel un chacal,
le sourire
au coin des
lèvres
et le regard
perçant.
Mon message
était
passé,
je n’avais
qu’à
attendre,
les dés
étaient
jetés...
»
Suite |
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