Ces vices charnels #1

 
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J’ai des vices cachés inavouables, si je vous les dévoilais la vision que vous avez de moi changerait à coup sûr…. Ses petits secrets la, je les garde enfouis profondément ancrés dans ma tête et jamais, je n’oserai en parler… Pourquoi! Peur du ridicule, du rejet de la société, de son jugement hypocrite, d’avoirs l’air salace ou vicieuse [vicieux], un peu tout cela à la fois. Le monde dans lequel nous vivons aujourd’hui nous oblige à garder un jardin très secret sur nos penchants un peu plus pervers. Du temps des Romains, des Grecs et même des Égyptiens, la sexualité n’avait pratiquement aucun tabou. Le sexe libre était partagé entre tous, la recherche du plaisir était le but de chaque expérience vécue, peu importais le sexe du partenaire, le nombre, la façon, l’objet utiliser pour procurer du plaisir, l’aboutissement était l’échange, l’orgasme, le jeu, la jouissance. Tout était permis et offert aux plus consentants. Ce besoin encore présent de nos jours est brimé par la conscience religieuse, l’interdit d’une éducation puritaine et les lois. Ici, nous désirons briser les tabous et ouvrir la boîte de Pandore. Sous le couvert de l’anonymat plusieurs personnes osent en dirent plus sur leurs propres désirs de perversion. Vous êtes curieux d’en savoir plus n’est-ce pas alors entrer dans la zone des vices cachés, vous ne serez pas déçu du voyage et qui sait si vous ne vous reconnaissiez pas dans ses témoignages. Petits pervers que vous êtes!

P.S. Avant de mettre votre récit sur papier, apposé votre surnom, âge, sexe, ville, pays.

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1) Ma robe de mariée
J’ai baisé dans ma robe de Mariée pour la 1re fois et la seule fois 18 ans après mon mariage. Chose normale me diriez vous… Non, car ce n’était pas avec mon mari de l’époque! Mais bel et bien avec mon nouvel amant, 1 an et demi après la séparation avec mon mari. C’était son idée de me prendre dans ma robe de marié et vous savez quoi, j’ai adoré. En premier, j’ai trouvé l’idée blasphématoire… Mais petit à petit mon côté satirique me dit d’essayer. Soirée plus que mémorable pour tous les deux. Je peux vous dire que ma robe va souvent être réutilisée pour la bonne cause.
2) Un trou dans mon jean
Un jour d’après-midi mon mec me demanda s’il n’y avait pas un de mes jeans que je n’aimais plus et que je voulais me débarrasser. Je lui répondis; oui! Il me dit va le mettre, je veux le voir sur toi. Je me posais plein de questions, mais exécutait quand même. Je me présentais devant lui dans mon vieux jean. Il me dit; tourne-toi! Je m’exécutais à nouveau. Il se leva et me tira vers la chambre. M’embrassait et me déshabillait tout en laissant mes jeans sur moi. Il me retourna et commença à me mordre à travers mes jeans. Nous étions sur le lit à ce moment-là. De temps à autre, je sentais ses dents supérieures gratter les fesses. Mais ce qui me fit plus craquer ce sont les caresses de sa bouche sur mon entre fesses, jusqu’à la descente sur ma vulve. Là, j’étais complètement excité, je mouillais dans mon jean. Tout d’un coup, il arrêta et me dit; ne bouge plus! Il se leva et partit et revint dans la minute. Il s’installa derrière moi, détacha mon jean, le descendit à mi-cuisse et là j’entendis un couteau vendre le tissu du jean. Par la suite, j’entendis le tissu qui se faisait découper. Il sortit du lit, alla déposer ces outils et revenait à son œuvre. Je me disais, il vient de tuer mon jean! Mais en réalité, je m’en foutais totalement, j’attendais la suite des événements avec impatience. Moi toujours à quatre pattes, la tête dans le matelas, je le sentis s’installer à nouveau derrière moi, il remonta le jean et le boucla. Il enleva son pantalon et vint de sa verge caresser ma vulve dans... » Suite
3) Courir à la toilette
Je devais avoir tout juste 15 ans. Famille très religieuse, nous allions souvent à des réunions de culte pendant la semaine. Moi en bonne petite fille de famille chrétienne je me pliais à ces exigences qui ne fessaient pas vraiment mon affaire, mais bon… Durant ces réunions, mon esprit s’évadait très souvent et je rentrais dans certaines histoires romantiques. Un soir, frottant mes cuisses les unes contre les autres et pressant mon entre-jambes sur le fond de la chaise sur lequel j’étais assis, je commençais à ressentir une très forte envie de jouir. Mon esprit était parti en vrille et j’avais beau me concentrer sur le discourt du prête sur l’estrade en face de moi, c’était de jouissance que je rêvais. Je dis rapidement à ma mère que je devais aller à la toilette. Je courus presque au Wc, une fois entrée dans les toilettes, je fermai la porte à clef, retroussa ma robe sur mes hanches, colla mes fesses sur le mur carreler pour sentir un contact sur ma peau et sans attendre une seule autre seconde, une main dans ma petite culotte d’ados, je débutai une très rapide et intense séance de masturbation. Mon clito me fessait mal tellement je le pressais de mes doigts pour me faire jouir. Je savais que je n’avais que quelques minutes avant que ma mère ne se pose des questions. L’orgasme arriva, rapide, mais soulager le cœur encore palpitant, je descendis ma robe et me lava les mains. Comme si de rien n'était, je retournais m’asseoir sage près de ma mère. Le côté interdit de faire un acte puni dans un lieu sacré m’avait également bien excité. Ce ne fut pas la dernière fois que je le fis d’ailleurs…
4) Sa bitch
Un soir, je me laissais ramener chez cette petite dame que j’avais tant convoitée. Elle restait pas loin de la boîte où nous nous étions rencontrés. Arrivée chez elle, elle m’installa, me donna un verre et se dirigea à la douche. J'étais installé dans sa chambre attendant impatiemment qu’elle daigne se montrer. Comme de fait, je là vis apparaître dans le cadre de porte, flambant nue, pour que je puisse admirer ses courbes de déesse qui se présente devant moi. Elle était sublime et détenait un de ces corps sculptés qui restera gravé à jamais dans ma mémoire. Elle s’approcha lentement vers moi, me prit la main et m’attira dans son lit. Je n’ai pas besoin de vous compter l’histoire au complet... Donc après préliminaires et quelques positions nous passâmes aux choses sérieuses... » Suite
5) Penser au viol
Avant, plus jeune j’avais comme fantasme le viol. Me faire prendre par un, deux ou trois hommes par surprise. Me faire ligoter dans mon lit ou kidnapper dans un parc ou la sortie d’un bar par des étrangers. Le côté agression ajouté à l’inconnu m’excitait. Le combat de la force physique aussi. Essayer de m’évader, mais ne pas pouvoir. Aujourd’hui, ce fantasme n’en est plus un…
6) Dans mes jeans
Je venais de mettre mes jeans pour débuter ma journée, mon copain était debout là, devant moi dans la chambre. Il me regardait faire, je me suis placé face au miroir de sa chambre et lui tout doucement s'est approché de moi, grand et imposant. Il adore faire ça, prendre son air de patron des bécosses et essayer de m'impressionner. Le pire c'est que ça marche. Chut!!! Comme j'aime le dire, il impose le respect. Avec lui, je deviens complètement soumise et docile. J'étais prise entre le pied de son lit et son 6p4 de muscles. Je ne pouvais pas vraiment reculer, sauf pour tomber sur son lit. Alors d'un seul coup il me souleva comme une plume. J’adore lorsqu'il fait ça et il me jeta direct sur le lit tout d'un bloc. Il se mit directement sur moi et me tourna à plat ventre sur le matelas. Assis sur mes fesses, il me tenait d'une main les bras. J’étais à sa merci, il portait tout son poids sur moi et commença à caresser directement mon entrejambe. Ses doigts frottaient mon sexe sur le tissu de mes jeans... » Suite
7) La pomme de douche
Dans mes nombreuses activités à rechercher le plaisir solitaire, je découvris un jour par hasard la tendresse des jets d’eau que la pomme de ma douche pouvait me procurer. Tout simplement pendant que je me rinçais la chatte, le jet était situé directement à l’envers sur ma vulve bien ouverte et mon clitoris recevait les stimuli de l’eau. Tout d’abord une délicate sensation parcourut mon bas ventre et plus je gardais les jets bien diriger sur mon clito, plus la sensation de plaisir augmentait, jusqu’à me donner l’envie de jouir. Ce que je fis ensuite fut un pur délice, puisque je pénétrai deux doigts dans l’intérieur de ma vulve tout en continuant la caresse de l’eau et un orgasme arriva rapidement. Je peux vous dire que cette expérience je l’ai souvent répété.
8) Le dominer à lui faire mal
On avait commencé tout doucement à s’embrasser une soirée comme une autre. Coucher face à face, nos caresses étaient entremettant et le désir grandissait. Soudain sans crier garde il changeât complètement l’ambiance et commença à me griffer le dos et me mordre dans le cou. Ses caresses étaient plus brutales et me pressa contre lui fortement. Il commençait à me faire mal et mon côté lover se transforma en une vraie lionne enrager de se faire dompter de la sorte. Il s’en rendit compte et m’agrippa les cheveux et tira ma tête d’un seul coup par en arrière. S’en était trop! D’un seul mouvement de corps je me retrouvai sur lui, assise bien implanté sur son ventre les mains qui retenaient les siennes derrière sa tête les yeux noirs de fureur. J'étais bestial mon souffle était saccadé et tout mon poids le plaquais au lit. Il essaya de bouger, mais mes jambes se resserrèrent sur sa taille et mes bras appuyèrent sur les siens. Il me laissa faire docile. Alors, je mis ma main sur son menton et d’un geste brutal je tournai sa tête sur la gauche me laissant sa nuque bien offerte à ma bouche. D’un seul coup de mâchoire je le mordis. Mes dents venaient de rentrer dans sa chair d’abord doucement et de plus en plus que mon excitation s’amplifiait de plus en plus que mes morsures devenaient plus féroces. Je me rappelle que je grognais et que j’étais fauve. Je le mordais de partout, ses épaules, sa nuque, ses pectoraux. Je n’ai jamais entendu ses [stop! stop!] Jusqu’à ce qu’il me crie: arrête, tu me fais mal! J’ai arrêté, je l’ai regardé et après quelques secondes à se fixer dans les yeux. Mon état revient à la normale, je l’entrepris plus doucement et me pénétrant de sa queue, je le fis jouir. Il m’avoua le lendemain matin avoir eu l’impression d’être abuser et que malgré la douleur, il avait aimé mon état…
9) Fantasmer de vulve
Ma première expérience lesbienne date de mes 7 ans, la petite voisine qui elle était un peu plus âgée que moi m’avait initié à certains touchers sexuels entre filles. Alors le souvenir de cette expérience chatte contre chatte qui m’avait beaucoup donné de plaisir m’est resté jusqu'à ce jour. Depuis, je fantasme d’une séance de lèvres coller aux miennes qui se frotterais complètement bien mouiller jusqu'à me faire jouir. Deux chattes en plein chevauchement de désir. Avec mon expérience, aujourd’hui la séance serait bien différente et le moment encore plus agréable.
10) Rêves erotik
Il m’arrive parfois d’avoir des rêves érotiques. Certains aboutissent à une jouissance d’autre non… Celui-ci je l’ai eu une nuit après que mon amant me fit jouir plusieurs fois. Mon corps qui était complètement satisfait selon moi, m'a joué un tour et devait en vouloir encore, car un très excitant rêve érotique me fit mouiller mon entrecuisse bien comme il faut. Je ne jouis pas cette fois-là, mais le matin mes cuisses étaient ruisselantes de mouille et je ne pensais qu’à faire l’amour à mon mec. La suite vous la devinez…
   
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