Ces vices charnels #3

 

Accueil / Sexualité / Ces vices charnels

J’ai des vices cachés inavouables, si je vous les dévoilais la vision que vous avez de moi changerait à coup sûr…. Ses petits secrets la, je les garde enfouis profondément ancrés dans ma tête et jamais, je n’oserai en parler… Pourquoi! Peur du ridicule, du rejet de la société, de son jugement hypocrite, d’avoirs l’air salace ou vicieuse [vicieux], un peu tout cela à la fois. Le monde dans lequel nous vivons aujourd’hui nous oblige à garder un jardin très secret sur nos penchants un peu plus pervers. Du temps des Romains, des Grecs et même des Égyptiens, la sexualité n’avait pratiquement aucun tabou. Le sexe libre était partagé entre tous, la recherche du plaisir était le but de chaque expérience vécue, peu importais le sexe du partenaire, le nombre, la façon, l’objet utiliser pour procurer du plaisir, l’aboutissement était l’échange, l’orgasme, le jeu, la jouissance. Tout était permis et offert aux plus consentants. Ce besoin encore présent de nos jours est brimé par la conscience religieuse, l’interdit d’une éducation puritaine et les lois. Ici, nous désirons briser les tabous et ouvrir la boîte de Pandore. Sous le couvert de l’anonymat plusieurs personnes osent en dirent plus sur leurs propres désirs de perversion. Vous êtes curieux d’en savoir plus n’est-ce pas alors entrer dans la zone des vices cachés, vous ne serez pas déçu du voyage et qui sait si vous ne vous reconnaissiez pas dans ses témoignages. Petits pervers que vous êtes!

P.S. Avant de mettre votre récit sur papier, apposé votre surnom, âge, sexe, ville, pays.

Écrivez à : infokouples@gmail.com

Visitez notre page Facebook Visitez notre page Tweeter
21) J’écoute mes voisins baiser et je réveille mon conjoint pour leur faire compétition
Ce n'était pas la première fois que mes voisins s'en donnaient à cœur joie dans leur salon. Ils avaient une très forte libido. Ha! ça, j'en avais souvent fait les frais. Leur mur de salon était collé à celui de notre chambre, il n'était vraiment pas insonorisé et parfois, j'avais l'impression de faire partie du duo. Une nuit, il devait être proche de 2h du matin, mon conjoint et moi-même dormions paisiblement jusqu'à ce que mon sommeil soit perturbé par des bruits lointains. Plus je me réveillais plus les bruits devenaient distinct. Gémissements, râlements, soupire bref la totale, une symphonie digne du Marquis de Sade lui-même. J'attendais quelques minutes, qui me semblèrent des heures. Mon conjoint lui, dormais à point fermer à côté de moi, je l'enviai. Pour ma part impossible de me rendormir et en plus, leur petit manège commençait à m'exciter. Les minutes s'écoulèrent, j'avais l'impression qu'il ne finirait jamais de jouir. Ah!!! J'en avais ras le bol. Je commençais à bouger mon conjoint pour le réveiller, mais rien à faire il ronflait. Plan B, je passe sous les draps et je commence à le sucer, cela n'a pas été long, qu'il s'est réveillé bandé. Ni une ni deux, je lui grimpe dessus et je commence à bouger sur sa queue. Il est surpris, mais partant et il comprend très vite mon engouement lorsqu'il entend nos voisins. Il me regarde et me... » Suite
22) Le concombre

Après plusieurs mois sans jouissance et plusieurs mois de frustration à devoir feindre l’orgasme, un soir prise avec la folle envie de jouir, j’entrepris de me masturber. Mais la sensation d’une queue à l’intérieur de ma chatte me manquait terriblement et cette envie insatiable de me faire labourer empêchait à mon orgasme de venir. Je commençai donc une mission de recherche active des objets à la forme d’un phallus que je pouvais avoir chez moi. N’ayant plus aucun jouet sexuel à mon actif, j'étais vraiment à la recherche de n’importe quoi qui me donnerait satisfaction ce soir-là. J’ai fouillé, mais en vain. En ouvrant mon frigidaire, je vis les concombres que j’avais achetés la veille. Et là! L’idée d’en utiliser un me prit tout de suite. Je choisis celui qui me semblait le plus gros, le plus beau. Après l’avoir lavé et recouvert d’un préservatif, il est devenu le parfait jouet sexuel de ma nuit…

23) Sous l'emprise de sa ceinture
Ce jour-là, nous nous adonnions à une soirée sexe comme on fait à l'habitude. Une soirée hot, longue et pleine de sensations. J'avais déjà eu quelques orgasmes durant la soirée et dans ma tête,nous étions vers la fin. J'étais installé là, sur le bord du lit à quatre pattes et je me faisais prendre par mon mec, quand tout à coup il arrêta net son va-et-vient. Une idée lui avait traversé l'esprit. Il se déplaça dans la chambre et je le vis prendre son pantalon. Je me demandais où il voulait en venir et là, je le vis retirer la ceinture en cuir qui y était enfilé. Je me suis dit; il ne va tout de même pas me battre avec ça. Je restais là, comme il me l’avait ordonné, toujours à quatre pattes ne disant rien et attendant sagement pour voir où tout cela allait mener. Il revint s’installer derrière moi et délicatement plaça la ceinture autour de ma taille, comme si c’est moi qui là portait. Il tenait les deux extrémités, la boucle dans sa main gauche et la queue dans sa main droite. Je le sentis qui plaça sa queue juste à l’entrée de ma chatte et me l’enfila lentement. Au même moment que sa queue me traversait, mon corps frissonnait de partout. Il reprit exactement où il avait laissé. L’excitation reprit de plus belle, je sentais que présentement il me tenait comme il faut, impossible de fuir sa queue si cela me venait à l’esprit. Là, il me baisait comme il le désirait, me ramenant constamment sur sa queue... » Suite
24) Mon corps en redemande
Il y a trois jours de cela, j'obtins mes premiers orgasmes provoqués par une simulation clitoridienne incroyable qui dura un bon quarante minutes. Cet homme que j’ai revu pour la deuxième fois, libérale quelque chose qui était enfoui en moi et dont je ne savais comment libérer. Libération ou malédiction? Dure à dire, car depuis ces fameux orgasmes mon corps me parle continuellement. Mon clitoris n’arrêtait pas de provoquer des sensations jamais ressenties auparavant. Je pouvais être n’importe où, dans la cuisine face à maman, dans le bus ou sur le banc d'école et là, tout d’un coup il se met à frémir en faisant des battements de cœur dont je ne peux contrôler. Cette sensation me ramène directement à cette fameuse soirée ou tout se libéra en moi. Du jour au lendemain, j’ai ces pulsions qui me donnent constamment envie de baiser. Que m'a t'il fait avec sa langue! Je ne pense qu’à ça maintenant, mon corps en redemande, mon corps le veut, mon corps suffoque du manque de plaisir et rêve d'y rebouter. Je prends mon téléphone et l’appel, lui explique qu’il faut absolument que je le revoie, là maintenant pour qu’encore une fois il puisse me libérer. Mais cette fois-ci, c’est différent, je veux jouir de lui pour que puisse enfin cesser ce tourment qui me torture. Croyez-moi, je n’ai jamais couru aussi vite pour voir un homme. Il fallait absolument qu’il me soulage. Qu’il soulage mon corps, mon clitoris qui s’est enfin réveillé.
25) Se masturber en écoutant ses parents faire l'amour

Je devais avoir 13 ans, notre maison était vraiment toute petite et je dormais dans un grand lit dans le salon, le mur de la chambre de mes parents était collé à la tête de mon lit et les murs en contreplaqué était très mince donc tous les bruits pouvaient être perçues et entendus. Cette nuit-là, je m'étais réveillé à cause d'un bruit répétitif et bizarre, un ploc ploc ploc survenait de je ne sais pas où. Encore dans mon sommeil, je prêtais un peu plus attention aux sons qui provenais de la chambre de mes parents, plus je me concentrais plus le bruit devenait évident à mes oreilles et je commençais à percevoir d'autres sons se rajouter, je compris très vite que ce que j'entendais était les gémissements de ma mère et les claquements de fesses ou d’une autre partie du corps de mon père sur ma mère. Ce n'était pas la première fois que j'entendais mes parents baiser, donc je ne suis pas surprise. J’ai pris mon coussin comme je le faisais habituellement, le plaçant sur mon visage pour étouffer les bruits, je fermais les yeux et me concentrais pour me rendormir. Mais cette nuit-là, je ne sais pas pourquoi les gémissements traversaient mon coussin et rentraient directement dans mes tympans. Ah! Je voulais dormir et imaginer mes parents baiser ne me plaisait pas plus que ça. Mais les râlements de plaisir continuaient et doucement mon esprit commença à partir dans des fantasmes de jeune fille pucelle... » Suite

26) Elle m’attachait à mon lit
Nous étions dans ma chambre et on entreprenait une soirée qu’on savait, allait être agréable. Elle portait un ensemble de portes-jarretelles rouges que mes yeux contemplaient longuement. Nous étions debout à côté du lit et nous embrassions intensément. Elle s’arrêta et me dit doucement à l’oreille; allonge toi, je vais m’occuper de toi. Sur ce, j’obéis sagement à la dame. Sa phrase avait retenti à mon oreille, pour une fois qu’on voulait s’occupe de moi, croyez-moi je n’allais pas refuser. Je m’étais allongé au centre de mon lit. Là, elle sortit une corde et me prit doucement le poignet droit et l’amarra. Elle se pencha et fixait la corde soigneusement à la patte du lit, elle fit de même pour l’autre côté. Tout cela fait avec tendresse et délicatesse, je me laissais faire. Je remarquai que les nœuds étaient vraiment bien faits et je lui dis. D’un petit sourire au bord des lèvres, elle rétorqua qu’elle avait appris cela au scout. Elle sortit alors un cache yeux qu’elle me plaça sur le visage. Elle débuta de longs préliminaires sur mon corps, je sentais sa bouche, sa langue qui n’épargnaient aucune parcelle de mon anatomie, après de longues minutes à me caresser, elle se décide à passer aux choses sérieuses. Délicatement, je sentis sa bouche, sa langue qui venaient se poser sur ma verge qui était couchée sur mon bas ventre. De grands coups de lèche accompagnée de salive fluctuaient de haut en bas de ma verge, mes couilles aussi y goûtaient. Elle prit enfin ma verge... » Suite
27) Debout dans son lit
Mon mec de l’époque me donnait de ces préliminaires comme personne d’autre. Il avait de ces façons de faire qui me procurait orgasme sur orgasme. Ce corps qui était le mien devenait tout à coup le sien, il semblait connaître toutes ses facettes pour ainsi me donner du plaisir. Ce jour-là, il me prodiguait un cunnilingus dont moi, j’étais installé là debout sur son lit, face contre mur et bras relevé comme si je subissais une fouille des mains d’un agent de la loi. Il était là, derrière moi, tête enfouie entre mes fesses qu’il ouvrait de ses mains cherchant à explorer ma chatte de sa langue experte. Haaaa! Que c’était sublime! Mes fesses se relevaient comme pour chercher plus de sensations de sa langue qui ne cessait de laper mon vagin. Je râlais constamment sous les effets qu’il me procurait. Mon corps convulsait, la chair de poule me prit tant les sensations ressenties parcourait tout mon corps. Il était là, face contre mes fesses et je le senti qui caressais mon petit anus de sa langue. Je frissonnais de plaisir tellement je sentais sa douce langue qui se délectait sur la partie intime de mon entre fesses qu’il tenait ouvert de ses deux mains pour y avoir mieux accès. Il me fit pivoter doucement pour faire face à lui... » Suite
28) Il m’immobilisa
J’ai pigé ce mâle un soir dans un club pour me soulager, car cela faisait un bail que je ne me suis pas faite un mec. Je lès aime très grand, car étant moi-même de grande taille 5p10. C’était une pièce, je le voulais dans mon lit. Je m’exécutai et le ramenait à la maison sans aucune résistance de sa part. Je l’entraînais sans hésitation vers ma chambre. Je l’embrassais avec rage tellement mon envie d’une queue était pressante. Les vêtements furent retirés et balancés partout dans ma chambre tout en continuant de se manger les lèvres. On s’installa à genou tous deux dans mon lit, baisers et caresses s’échangeaient avec ferveur. Et là, comme à l’habitude, je voulus allonger l’homme sur mon matelas pour pouvoir m’occuper de lui, mais au même moment, je sentis une résistance. Je l’ai regardé et ses yeux venaient de froncer et je pouvais y lire : Qu’est ce que tu penses faire? Et il se mit à vouloir m’allonger, mais pour moi, pas question, c’est ma soirée, je l’ai choisi, j’en ferais ce que je veux... » Suite
29) Elle orgasme sur mes fesses
Allant rejoindre ma nouvelle copine à mi-chemin entre chez moi et son autobus, je la vis au loin apparaître, élégante dans cette jupe d’été agencé avec ses talons hauts et d’un top qui match avec le tout. Voyant mon grand sourire de satisfaction elle sut que son choix d’habits fut excellent. De retour chez moi, on se dirigeait directement dans ma chambre. Je l’embrassais goulûment, elle était excitante, belle et élégante. De longs préliminaires ont suivi par la suite… à vrai dire je ne m’en souviens pas du tout, car l’événement marquant de cette après-midi fut le préliminaire que la petite dame me procura. Tout d’un coup, j’ai la vi de grimper sur mes fesses, je pouvais sentir sa chatte mouillée qui dégoûtait sur moi. Elle faisait des mouvements de va-et-vient sur une de mes fesses, elle gémissait, cela l’excitait d’être installée là sur une belle grosse fesse noire bien gonflée. Je sentais le mouvement s’accélérer, elle appuyait sur le bas de mon dos. On aurait dit que c'est elle qui détenait la queue et non moi. Ses gémissements s'accéléraient de plus belle, je pouvais là voir en me tournant sur le côté. Ses hanches avaient pris un rythme endiablé sous l’excitation. À ma grande surprise, je l’entendis qui cria de jouissance sur le mont qui forme ma fesse. Je pouvais sentir ses jambes trembler de même que tout son fluide vaginal qui coulaient dans mon entre fesses. Elle se tassa sur le côté et s’écrasa tel un homme crevé par sa jouissance. Me suis-je senti abuser? Non! Comme je dis souvent; tout pour le plaisir de la petite dame!
30) Sous l'effet de la Marijuana
La soirée avait été très agréable chez notre couple d'amis. Et après le souper, nous nous étions laissé aller à fumer un joint de pote ensemble. Alcool, marijuana et fou rire avaient rendu notre soirée très euphorique. De retour chez nous, cela ne fut pas très long pour que mon conjoint et moi-même nous nous sautèrent carrément dessus. Pas le temps de retirer nos vêtements, ni préliminaires. Il me baissa les jeans d'un seul coup, ma culotte rose suivit le mouvement. On s'embrassait à pleine bouche et les caresses ne tarissaient pas. Cela faisait très longtemps que nous ne nous étions pas retrouvés dans un état d'excitation pareille. On voulait se baiser, se bouffer tout cru. L'effet du pote sur moi m'enlevait complètement mes inhibitions, mes complexes, j'étais à nouveau belle, sexy, désirable et, peu importe les positions qu'il prenait pour me baiser, je me laissais complètement aller à ressentir le plaisir... » Suite
   
all rights reserved © Kiose