J’ai
des vices cachés inavouables, si je
vous les dévoilais la vision que vous
avez de moi changerait à coup sûr….
Ses petits secrets la, je les garde
enfouis profondément ancrés dans ma
tête et jamais, je n’oserai en parler…
Pourquoi! Peur du ridicule, du rejet
de la société, de son jugement hypocrite,
d’avoirs l’air salace ou vicieuse [vicieux],
un peu tout cela à la fois. Le monde
dans lequel nous vivons aujourd’hui
nous oblige à garder un jardin très
secret sur nos penchants un peu plus
pervers. Du temps des Romains, des Grecs
et même des Égyptiens, la sexualité
n’avait pratiquement aucun tabou. Le
sexe libre était partagé entre tous,
la recherche du plaisir était le but
de chaque expérience vécue, peu importais
le sexe du partenaire, le nombre, la
façon, l’objet utiliser pour procurer
du plaisir, l’aboutissement était l’échange,
l’orgasme, le jeu, la jouissance. Tout
était permis et offert aux plus consentants.
Ce besoin encore présent de nos jours
est brimé par la conscience religieuse,
l’interdit d’une éducation puritaine
et les lois. Ici, nous désirons briser
les tabous et ouvrir la boîte de Pandore.
Sous le couvert de l’anonymat plusieurs
personnes osent en dirent plus sur leurs
propres désirs de perversion. Vous êtes
curieux d’en savoir plus n’est-ce pas
alors entrer dans la zone des vices
cachés, vous ne serez pas déçu du voyage
et qui sait si vous ne vous reconnaissiez
pas dans ses témoignages. Petits pervers
que vous êtes!
P.S.
Avant de mettre votre récit sur papier,
apposé votre surnom, âge, sexe, ville,
pays.
Écrivez
à : infokouples@gmail.com

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21)
J’écoute
mes
voisins
baiser
et
je
réveille
mon
conjoint
pour
leur
faire
compétition |
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Ce n'était
pas la première
fois que mes
voisins s'en
donnaient
à cœur joie
dans leur
salon. Ils
avaient une
très forte
libido. Ha!
ça, j'en avais
souvent fait
les frais.
Leur mur de
salon était
collé à celui
de notre chambre,
il n'était
vraiment pas
insonorisé
et parfois,
j'avais l'impression
de faire partie
du duo. Une
nuit, il devait
être proche
de 2h du matin,
mon conjoint
et moi-même
dormions paisiblement
jusqu'à ce
que mon sommeil
soit perturbé
par des bruits
lointains.
Plus je me
réveillais
plus les bruits
devenaient
distinct.
Gémissements,
râlements,
soupire bref
la totale,
une symphonie
digne du Marquis
de Sade lui-même.
J'attendais
quelques minutes,
qui me semblèrent
des heures.
Mon conjoint
lui, dormais
à point fermer
à côté de
moi, je l'enviai.
Pour ma part
impossible
de me rendormir
et en plus,
leur petit
manège commençait
à m'exciter.
Les minutes
s'écoulèrent,
j'avais l'impression
qu'il ne finirait
jamais de
jouir. Ah!!!
J'en avais
ras le bol.
Je commençais
à bouger mon
conjoint pour
le réveiller,
mais rien
à faire il
ronflait.
Plan B, je
passe sous
les draps
et je commence
à le sucer,
cela n'a pas
été long,
qu'il s'est
réveillé bandé.
Ni une ni
deux, je lui
grimpe dessus
et je commence
à bouger sur
sa queue.
Il est surpris,
mais partant
et il comprend
très vite
mon engouement
lorsqu'il
entend nos
voisins. Il
me regarde
et me... »
Suite |
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Après
plusieurs
mois sans
jouissance
et plusieurs
mois de
frustration
à devoir
feindre
l’orgasme,
un soir
prise avec
la folle
envie de
jouir, j’entrepris
de me masturber.
Mais la
sensation
d’une queue
à l’intérieur
de ma chatte
me manquait
terriblement
et cette
envie insatiable
de me faire
labourer
empêchait
à mon orgasme
de venir.
Je commençai
donc une
mission
de recherche
active des
objets à
la forme
d’un phallus
que je pouvais
avoir chez
moi. N’ayant
plus aucun
jouet sexuel
à mon actif,
j'étais
vraiment
à la recherche
de n’importe
quoi qui
me donnerait
satisfaction
ce soir-là.
J’ai fouillé,
mais en
vain. En
ouvrant
mon frigidaire,
je vis les
concombres
que j’avais
achetés
la veille.
Et là! L’idée
d’en utiliser
un me prit
tout de
suite. Je
choisis
celui qui
me semblait
le plus
gros, le
plus beau.
Après l’avoir
lavé et
recouvert
d’un préservatif,
il est devenu
le parfait
jouet sexuel
de ma nuit…
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23)
Sous
l'emprise
de
sa
ceinture |
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Ce
jour-là,
nous nous
adonnions
à une
soirée
sexe comme
on fait à
l'habitude.
Une soirée
hot, longue
et pleine
de sensations.
J'avais déjà
eu quelques
orgasmes durant
la soirée
et dans ma
tête,nous
étions
vers la fin.
J'étais
installé
là,
sur le bord
du lit à
quatre pattes
et je me faisais
prendre par
mon mec, quand
tout à
coup il arrêta
net son va-et-vient.
Une idée
lui avait
traversé
l'esprit.
Il se déplaça
dans la chambre
et je le vis
prendre son
pantalon.
Je me demandais
où
il voulait
en venir et
là,
je le vis
retirer la
ceinture en
cuir qui y
était
enfilé.
Je me suis
dit; il ne
va tout de
même
pas me battre
avec ça.
Je restais
là,
comme il me
l’avait
ordonné,
toujours à
quatre pattes
ne disant
rien et attendant
sagement pour
voir où
tout cela
allait mener.
Il revint
s’installer
derrière
moi et délicatement
plaça
la ceinture
autour de
ma taille,
comme si c’est
moi qui là
portait. Il
tenait les
deux extrémités,
la boucle
dans sa main
gauche et
la queue dans
sa main droite.
Je le sentis
qui plaça
sa queue juste
à l’entrée
de ma chatte
et me l’enfila
lentement.
Au même
moment que
sa queue me
traversait,
mon corps
frissonnait
de partout.
Il reprit
exactement
où
il avait laissé.
L’excitation
reprit de
plus belle,
je sentais
que présentement
il me tenait
comme il faut,
impossible
de fuir sa
queue si cela
me venait
à l’esprit.
Là,
il me baisait
comme il le
désirait,
me ramenant
constamment
sur sa queue...
»
Suite
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24)
Mon
corps
en
redemande
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Il
y a trois
jours de cela,
j'obtins mes
premiers orgasmes
provoqués
par une simulation
clitoridienne
incroyable
qui dura un
bon quarante
minutes. Cet
homme que
j’ai revu
pour la deuxième
fois, libérale
quelque chose
qui était
enfoui en
moi et dont
je ne savais
comment libérer.
Libération
ou malédiction?
Dure à dire,
car depuis
ces fameux
orgasmes mon
corps me parle
continuellement.
Mon clitoris
n’arrêtait
pas de provoquer
des sensations
jamais ressenties
auparavant.
Je pouvais
être n’importe
où, dans la
cuisine face
à maman, dans
le bus ou
sur le banc
d'école et
là, tout d’un
coup il se
met à frémir
en faisant
des battements
de cœur dont
je ne peux
contrôler.
Cette sensation
me ramène
directement
à cette fameuse
soirée ou
tout se libéra
en moi. Du
jour au lendemain,
j’ai ces pulsions
qui me donnent
constamment
envie de baiser.
Que m'a t'il
fait avec
sa langue!
Je ne pense
qu’à ça maintenant,
mon corps
en redemande,
mon corps
le veut, mon
corps suffoque
du manque
de plaisir
et rêve d'y
rebouter.
Je prends
mon téléphone
et l’appel,
lui explique
qu’il faut
absolument
que je le
revoie, là
maintenant
pour qu’encore
une fois il
puisse me
libérer. Mais
cette fois-ci,
c’est différent,
je veux jouir
de lui pour
que puisse
enfin cesser
ce tourment
qui me torture.
Croyez-moi,
je n’ai jamais
couru aussi
vite pour
voir un homme.
Il fallait
absolument
qu’il me soulage.
Qu’il soulage
mon corps,
mon clitoris
qui s’est
enfin réveillé. |
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25)
Se
masturber
en
écoutant
ses
parents
faire
l'amour |
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Je devais
avoir 13
ans, notre
maison était
vraiment
toute petite
et je dormais
dans un
grand lit
dans le
salon, le
mur de la
chambre
de mes parents
était collé
à la tête
de mon lit
et les murs
en contreplaqué
était très
mince donc
tous les
bruits pouvaient
être perçues
et entendus.
Cette nuit-là,
je m'étais
réveillé
à cause
d'un bruit
répétitif
et bizarre,
un ploc
ploc ploc
survenait
de je ne
sais pas
où. Encore
dans mon
sommeil,
je prêtais
un peu plus
attention
aux sons
qui provenais
de la chambre
de mes parents,
plus je
me concentrais
plus le
bruit devenait
évident
à mes oreilles
et je commençais
à percevoir
d'autres
sons se
rajouter,
je compris
très vite
que ce que
j'entendais
était les
gémissements
de ma mère
et les claquements
de fesses
ou d’une
autre partie
du corps
de mon père
sur ma mère.
Ce n'était
pas la première
fois que
j'entendais
mes parents
baiser,
donc je
ne suis
pas surprise.
J’ai pris
mon coussin
comme je
le faisais
habituellement,
le plaçant
sur mon
visage pour
étouffer
les bruits,
je fermais
les yeux
et me concentrais
pour me
rendormir.
Mais cette
nuit-là,
je ne sais
pas pourquoi
les gémissements
traversaient
mon coussin
et rentraient
directement
dans mes
tympans.
Ah! Je voulais
dormir et
imaginer
mes parents
baiser ne
me plaisait
pas plus
que ça.
Mais les
râlements
de plaisir
continuaient
et doucement
mon esprit
commença
à partir
dans des
fantasmes
de jeune
fille pucelle...
»
Suite
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26)
Elle
m’attachait
à
mon
lit
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Nous
étions dans
ma chambre
et on entreprenait
une soirée
qu’on savait,
allait être
agréable.
Elle portait
un ensemble
de portes-jarretelles
rouges que
mes yeux contemplaient
longuement.
Nous étions
debout à côté
du lit et
nous embrassions
intensément.
Elle s’arrêta
et me dit
doucement
à l’oreille;
allonge toi,
je vais m’occuper
de toi. Sur
ce, j’obéis
sagement à
la dame. Sa
phrase avait
retenti à
mon oreille,
pour une fois
qu’on voulait
s’occupe de
moi, croyez-moi
je n’allais
pas refuser.
Je m’étais
allongé au
centre de
mon lit. Là,
elle sortit
une corde
et me prit
doucement
le poignet
droit et l’amarra.
Elle se pencha
et fixait
la corde soigneusement
à la patte
du lit, elle
fit de même
pour l’autre
côté. Tout
cela fait
avec tendresse
et délicatesse,
je me laissais
faire. Je
remarquai
que les nœuds
étaient vraiment
bien faits
et je lui
dis. D’un
petit sourire
au bord des
lèvres, elle
rétorqua qu’elle
avait appris
cela au scout.
Elle sortit
alors un cache
yeux qu’elle
me plaça sur
le visage.
Elle débuta
de longs préliminaires
sur mon corps,
je sentais
sa bouche,
sa langue
qui n’épargnaient
aucune parcelle
de mon anatomie,
après de longues
minutes à
me caresser,
elle se décide
à passer aux
choses sérieuses.
Délicatement,
je sentis
sa bouche,
sa langue
qui venaient
se poser sur
ma verge qui
était couchée
sur mon bas
ventre. De
grands coups
de lèche accompagnée
de salive
fluctuaient
de haut en
bas de ma
verge, mes
couilles aussi
y goûtaient.
Elle prit
enfin ma verge...
»
Suite
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Mon
mec de l’époque
me donnait
de ces préliminaires
comme personne
d’autre. Il
avait de ces
façons de
faire qui
me procurait
orgasme sur
orgasme. Ce
corps qui
était le mien
devenait tout
à coup le
sien, il semblait
connaître
toutes ses
facettes pour
ainsi me donner
du plaisir.
Ce jour-là,
il me prodiguait
un cunnilingus
dont moi,
j’étais installé
là debout
sur son lit,
face contre
mur et bras
relevé comme
si je subissais
une fouille
des mains
d’un agent
de la loi.
Il était là,
derrière moi,
tête enfouie
entre mes
fesses qu’il
ouvrait de
ses mains
cherchant
à explorer
ma chatte
de sa langue
experte. Haaaa!
Que c’était
sublime! Mes
fesses se
relevaient
comme pour
chercher plus
de sensations
de sa langue
qui ne cessait
de laper mon
vagin. Je
râlais constamment
sous les effets
qu’il me procurait.
Mon corps
convulsait,
la chair de
poule me prit
tant les sensations
ressenties
parcourait
tout mon corps.
Il était là,
face contre
mes fesses
et je le senti
qui caressais
mon petit
anus de sa
langue. Je
frissonnais
de plaisir
tellement
je sentais
sa douce langue
qui se délectait
sur la partie
intime de
mon entre
fesses qu’il
tenait ouvert
de ses deux
mains pour
y avoir mieux
accès. Il
me fit pivoter
doucement
pour faire
face à lui...
»
Suite
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J’ai
pigé ce mâle
un soir dans
un club pour
me soulager,
car cela faisait
un bail que
je ne me suis
pas faite
un mec. Je
lès aime très
grand, car
étant moi-même
de grande
taille 5p10.
C’était une
pièce, je
le voulais
dans mon lit.
Je m’exécutai
et le ramenait
à la maison
sans aucune
résistance
de sa part.
Je l’entraînais
sans hésitation
vers ma chambre.
Je l’embrassais
avec rage
tellement
mon envie
d’une queue
était pressante.
Les vêtements
furent retirés
et balancés
partout dans
ma chambre
tout en continuant
de se manger
les lèvres.
On s’installa
à genou tous
deux dans
mon lit, baisers
et caresses
s’échangeaient
avec ferveur.
Et là, comme
à l’habitude,
je voulus
allonger l’homme
sur mon matelas
pour pouvoir
m’occuper
de lui, mais
au même moment,
je sentis
une résistance.
Je l’ai regardé
et ses yeux
venaient de
froncer et
je pouvais
y lire : Qu’est
ce que tu
penses faire?
Et il se mit
à vouloir
m’allonger,
mais pour
moi, pas question,
c’est ma soirée,
je l’ai choisi,
j’en ferais
ce que je
veux... »
Suite |
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|
29)
Elle
orgasme
sur
mes
fesses |
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Allant rejoindre
ma nouvelle
copine à mi-chemin
entre chez
moi et son
autobus, je
la vis au
loin apparaître,
élégante dans
cette jupe
d’été agencé
avec ses talons
hauts et d’un
top qui match
avec le tout.
Voyant mon
grand sourire
de satisfaction
elle sut que
son choix
d’habits fut
excellent.
De retour
chez moi,
on se dirigeait
directement
dans ma chambre.
Je l’embrassais
goulûment,
elle était
excitante,
belle et élégante.
De longs préliminaires
ont suivi
par la suite…
à vrai dire
je ne m’en
souviens pas
du tout, car
l’événement
marquant de
cette après-midi
fut le préliminaire
que la petite
dame me procura.
Tout d’un
coup, j’ai
la vi de grimper
sur mes fesses,
je pouvais
sentir sa
chatte mouillée
qui dégoûtait
sur moi. Elle
faisait des
mouvements
de va-et-vient
sur une de
mes fesses,
elle gémissait,
cela l’excitait
d’être installée
là sur une
belle grosse
fesse noire
bien gonflée.
Je sentais
le mouvement
s’accélérer,
elle appuyait
sur le bas
de mon dos.
On aurait
dit que c'est
elle qui détenait
la queue et
non moi. Ses
gémissements
s'accéléraient
de plus belle,
je pouvais
là voir en
me tournant
sur le côté.
Ses hanches
avaient pris
un rythme
endiablé sous
l’excitation.
À ma grande
surprise,
je l’entendis
qui cria de
jouissance
sur le mont
qui forme
ma fesse.
Je pouvais
sentir ses
jambes trembler
de même que
tout son fluide
vaginal qui
coulaient
dans mon entre
fesses. Elle
se tassa sur
le côté et
s’écrasa tel
un homme crevé
par sa jouissance.
Me suis-je
senti abuser?
Non! Comme
je dis souvent;
tout pour
le plaisir
de la petite
dame! |
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30)
Sous
l'effet
de
la
Marijuana
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La
soirée avait
été très agréable
chez notre
couple d'amis.
Et après le
souper, nous
nous étions
laissé aller
à fumer un
joint de pote
ensemble.
Alcool, marijuana
et fou rire
avaient rendu
notre soirée
très euphorique.
De retour
chez nous,
cela ne fut
pas très long
pour que mon
conjoint et
moi-même nous
nous sautèrent
carrément
dessus. Pas
le temps de
retirer nos
vêtements,
ni préliminaires.
Il me baissa
les jeans
d'un seul
coup, ma culotte
rose suivit
le mouvement.
On s'embrassait
à pleine bouche
et les caresses
ne tarissaient
pas. Cela
faisait très
longtemps
que nous ne
nous étions
pas retrouvés
dans un état
d'excitation
pareille.
On voulait
se baiser,
se bouffer
tout cru.
L'effet du
pote sur moi
m'enlevait
complètement
mes inhibitions,
mes complexes,
j'étais à
nouveau belle,
sexy, désirable
et, peu importe
les positions
qu'il prenait
pour me baiser,
je me laissais
complètement
aller à ressentir
le plaisir...
»
Suite
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