Ces vices charnels #8

 

Accueil / Sexualité / Ces vices charnels

J’ai des vices cachés inavouables, si je vous les dévoilais la vision que vous avez de moi changerait à coup sûr…. Ses petits secrets la, je les garde enfouis profondément ancrés dans ma tête et jamais, je n’oserai en parler… Pourquoi! Peur du ridicule, du rejet de la société, de son jugement hypocrite, d’avoirs l’air salace ou vicieuse [vicieux], un peu tout cela à la fois. Le monde dans lequel nous vivons aujourd’hui nous oblige à garder un jardin très secret sur nos penchants un peu plus pervers. Du temps des Romains, des Grecs et même des Égyptiens, la sexualité n’avait pratiquement aucun tabou. Le sexe libre était partagé entre tous, la recherche du plaisir était le but de chaque expérience vécue, peu importais le sexe du partenaire, le nombre, la façon, l’objet utiliser pour procurer du plaisir, l’aboutissement était l’échange, l’orgasme, le jeu, la jouissance. Tout était permis et offert aux plus consentants. Ce besoin encore présent de nos jours est brimé par la conscience religieuse, l’interdit d’une éducation puritaine et les lois. Ici, nous désirons briser les tabous et ouvrir la boîte de Pandore. Sous le couvert de l’anonymat plusieurs personnes osent en dirent plus sur leurs propres désirs de perversion. Vous êtes curieux d’en savoir plus n’est-ce pas alors entrer dans la zone des vices cachés, vous ne serez pas déçu du voyage et qui sait si vous ne vous reconnaissiez pas dans ses témoignages. Petits pervers que vous êtes!

P.S. Avant de mettre votre récit sur papier, apposé votre surnom, âge, sexe, ville, pays.

Écrivez à : infokouples@gmail.com

Visitez notre page Facebook Visitez notre page Tweeter
71) La plante des pieds et l'orgasme
Il m’avait dit « un jour je te ferais jouir en touchant la plante de tes pieds » je lui avais ri au nez, comme je le faisais souvent lorsqu’il me sortait de telles inepties. C’était il y a presque 1 an... Hé bien, il a encore réussi… Nous étions en train de baiser dans mon salon ce soir-là, mon copain avait descendu mon matelas et l’avais déposer sur le sol. Sur le dos, les jambes écartées, lui face à moi debout bien pénétré dans ma chatte, il me donnait de terribles coups de reins rythmés depuis déjà quelques minutes. Je lui avais dit ce soir-là que je ne jouirais pas… il en avait décidé autrement. Au fur et à mesure que je commençais à perdre le contrôle, il commença à jouer avec la plante de mes pieds. Je déteste que l’on me touche à cet endroit. C’est mon point faible, je me tords, cherche à fuir dès que l’on me chatouille les pieds, c’est insoutenable. Ma tête a présent est dans d’autres univers, je ressens l’orgasme qui monte et qui grandi dans le fond de mon ventre. Je ne ressens pas les doigts agiles et pressants de mon copain qui chatouille la plante de mes pieds. Je le vois faire, mais cela ne me procure aucun désagrément. Plus il masse mes pieds, plus les sensations de chatouillement commencent à se faire sentir, elles sont agréables comme relier à celles qui grandissent dans mon vagin. Je trouve cela déconcertant, car je me dis que c’est impossible. Mais je laisse aller le phénomène, je me concentre sur ma jouissance qui veut exploser à chaque coup de bassin de mon amant. Il est constant, rythmé, il ne lâche pas la cadence, il me replace pour garder l’angle de pénétration. Moi, je me tords sous les coups de sa queue, ses caresses, qui deviennent vraiment très agréable, je sens ses pouces agacer l’intérieur de la peau fine de mes pieds qui sont totalement arquées sous l’effet de ce massage. Il tient fermement ceux-ci dans chacune de ses mains. L’orgasme monte de plus belle dans mon ventre, des cercles de plaisirs se forment, des milliers de chatouillements explosent en feux d’artifice dans mon utérus, j’ai des frissons dans mes hanches, et… à ma grande surprise, des millions de frissons parcourent mes cuisses, cours vers mes mollets comme une armée de fourmis finissant leurs périples dans mes pieds encore tout contracter par l’orgasme reçu. Wow, mon corps est en alerte, il frémit sous ses frissons agréables qui s’estompent petit à petit. J’ai eu l’impression que l’orgasme est allé jusqu'au bout de mes orteils ce soir-là. Tout le bas de mon corps avait été rempli de plaisir et de sensations. Je me calme encore une fois le cerveau perdu vers d’autres univers… Mon rythme cardiaque reprend le contrôle, j’admire mon copain, qui finit par jouir a son tour. Il avait raison…
72) Le jet du douche
73) La première fois qu'une queue me fit jouir
74) Le venin du Black Mamba
75) Me frotter contre mon toutou
76) Le jet du jacousi
77) Cette orgasme à l'entrainement
78) Cette homme qui me remet à ma place constamment
79) J'ai décidé de le baiser
80) Mon fuck friend voulait que je le regarde baiser une autre
   
all rights reserved © Kiose