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[f.e.e.] |
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Anecdote
:
Lors
d’un
souper
chez
ma
grand-mère
j’ai
dû
courir
aux
toilettes
pour
me
soulager,
je
ne
tenais
plus
sur
ma
chaise
et
j’avais
l’impression
que
tout
le
monde
autour
de
la
table
se
rendait
compte
de
mon
état
d’excitation.
Assise
sur
le
bol
de
toilette,
je
m’étais
masturbé
le
clitoris
tellement
rapidement
qu’il
avait
été
sensible
pendant
des
jours.

Anecdote
:
À
certaines
reprises,
mon
corps
me
faisait
sentir
l'effet
d'une
pénétration
alors
que
j'étais
tranquillement
allongée
dans
mon
fauteuil
à
regarder
un
film.
Vous
vous
rendez
compte!
Sans
crier
garde
votre
corps
se
lie
en
conspiration
avec
votre
subconscient
et
vous
rappelle
que
vous
n'avez
pas
joui
depuis
des
lustres.
Vous
avez
beau
vous
concentrer
sur
votre
film
ou
une
autre
activité,
l’appel
de
la
nature,
les
hormones,
le
désir
sexuel,
nommez-le
comme
vous
le
voulez,
n'empêche
votre
cerveau
devient
de
plus
en
plus
pervers
et
continu
à
torturer
votre
entre-jambes.
Le
pire,
c'est
lorsque
votre
conjoint
rentre
du
travail
et
que
vous
avez
attendu
son
retour.
Impatiente,
vous
avez
résisté
à
vous
toucher,
car
vous
vous
êtes
dit;
«
Lorsqu'il
va
rentrer,
je
vais
tellement
jouir!
»
Vous
lui
sautez
dessus,
vous
le
violer
presque
sur
le
plancher
de
la
cuisine,
zéro
préliminaire,
sa
queue
est
en
vous,
vous
dégouliner
de
mouille,
vous
êtes
sur
une
corde
raide,
vous
vous
déhanchez
comme
une
vraie
diablesse,
vous
sentez
que
l'orgasme
monte,
monte,
vous
activez
le
tout
par
des
caresses
clitoridiennes…
«
Oh!
Oui!
Oh
Oui!
»
Puis...rien,
rien…????
Votre
conjoint
vient
de
jouir
en
vous,
point
barre!
«
Quoi!
C'est
fini???
»
Un
incroyable
sentiment
de
déception,
de
frustration,
de
colère
vous
envahit.
Vous
avez
envie
de
lui
crier
à
la
tête;
«
Mais
pourquoi
tu
ne
t’es
pas
retenu
plus
longtemps!
POURQUOI?
»
Vous
lui
en
voulez
d’être
si
égoïste
et
de
ne
penser
qu’à
lui.
Faire
un
tout
petit
effort,
juste
ça,
surtout
en
cette
journée
de
torture.
Vous
avez
encore
mal
dans
vos
chairs,
les
contractions
sont
encore
plus
fortes,
vous
vouliez
jouir,
juste
prendre
un
peu
de
plaisir
rien
de
plus,
mais
non,
encore
une
fois,
vous
n'y
aurez
pas
droit.
Alors
vous
attendez
patiemment
que
votre
conjoint
parte
pour
essayer
de
calmer
votre
corps.
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Anecdote
: Je vous
mets en
situation,
je me lève
un matin
avec ma
chatte qui
contracte
et qui crie
famine.
Je cours
prendre
ma douche
et calmer
cette envie
de jouir
qui me tiraille.
Je pars
travailler,
tout va
bien les
choses sont
rentrées
dans l’ordre
puis quelques
heures plus
tard mon
clitoris
à
décider
de jouer
à
l’agace
dans ma
culotte.
Je respire,
j’essaye
de me détendre
pour éviter
de concentrer
mes pensées
sur les
pulsations
qui grandissent
dans mon
sous-vêtement.
Rien à
faire! Mon
clito vient
d’inviter
ma chatte
à
la partie,
c’est
une vraie
fiesta au
sous-sol.
Exaspérer
et ne pouvant
plus me
concentrer
sur mon
travail,
je cours
aux toilettes
me soulager.
Vous pensez
que j’en
ai fini!!!!!
Ah! Ah!
Ah! Non,
croyez-moi
vers la
fin de la
journée
le scénario
recommence.
Je suis
exaspérée
et j’ai
hâte
que la journée
se termine,
je songe
à
comment
je vais
régler
ce problème.
Oui, cela
devient
un problème!
Des scénarios
se créent
dans ma
tête
et je manigance
toutes sortes
de plans
salaces
pour mon
retour à
la maison.
Je fais
rapidement
l’inventaire
des objets,
qui vont
me permettre
de bien
me satisfaire.
À
l’époque,
j’avais
mon pénis
en latex,
il avait
une ventouse
à
sa base
très
performante,
ce qui me
permettait
des positions
plus que
spéciales.
Sinon je
pensais
à
mon conjoint
de l'époque
qui allait
rentrer
du boulot
et que j’allais
agresser
à
son retour.

AH
OUI!!!!
De la chair,
de la peau
à
toucher,
de la chaleur
à
sentir,
une queue
en moi voilà
ce que mon
corps réclamait.
J’arrive
à
la maison,
une douche,
j’ai
pratiquement
peur de
me savonner
le sexe,
car au moindre
effleurement
du savon
sur ma chatte
ma peau
frémit
de la tête
au pied.
Je sors
de la douche,
je suis
à
mon summum
d’excitation.
Juste passer
la serviette
entre mes
cuisses
me met à
fleur de
peau. Je
pourrais
me masturber
là
sans plus
attendre,
mais j’attends.
Imaginez
dans quel
état
je suis
à
ce moment-là.
Toute la
«
Fucking
»
journée,
j’ai
été
obligée
de calmer
une vraie
révolte
dans ma
culotte.
Mais les
rages malgré
mes efforts
de les stopper
ne se sont
pas apaisées.
À
présent,
je suis
comme une
lionne en
cage qui
attend son
dîner,
je suis
affamée!
...»
Suite
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