Frustration sexuelle quand tu me tiens
[f.e.e.]

La porte s’ouvre mon conjoint rentre, je ne lui laisse aucune seconde de plus, le divan du salon, le tapis, le buffet de la cuisine, tout est devenu un terrain pour tenter d'assouvir ma satisfaction. Je suis chienne, je suis chatte, il est tout excité, se laisse faire, je lui grimpe dessus en quelques secondes, AHHHHH!!!! De la peau enfin! Ma chatte frétille sous la caresse du contact chaud, je roule des hanches le chevauchant sensuellement, je ne pense même pas à lui, je m’en fous! Ce que je veux, c’est « essayer » de jouir. Je me baise sur lui, il n’est que mon instrument. Je suis à mon paroxysme d’excitation, mais… « Houston, j’ai un problème! » Mon vagin ne réagit pas malgré les frottements qu’il reçoit, cela m’exaspère, je deviens très impatiente, car je sais qu’à ce rythme mon jouet va bientôt se défiler. Alors j’emploie les grands moyens, à califourchon toujours bien empalée sur cette verge, je provoque mon clitoris le frottant vigoureusement pour qu’il libère ce fichu orgasme. Mes cuisses brûlent sous les flexions de mon corps, mon esprit est concentré sur les mouvements de ma main qui agresse mon clitoris, je sens qu’il va exploser, j’ai le ventre qui frétille, mon vagin se contracte, les ondes de plaisirs apparaissent, elles montent, montent, ohhhh ouiiiii, encore un petit effort, ohhhhhhh ouiiiiiiii, je vais y arriver ohhhhhhh ouiiiiiiii…….. Et là tout s’arrête…

Pouah pouah pouah pouah. Il a joui lui, encore une fois! Mon orgasme est retombé direct, je suis immobile le regardant apprécié son plaisir « le salopard! » Puis espérant encore y arriver, je bouge mes hanches, je reprends mon rythme; « Tant qu’elle reste dure, il y a de l’espoir! » me dis-je. Je reprends la cadence espérant même le faire rebander, mais au bout de quelques va-et-vient, je sens le ramollissement prendre le dessus sur le muscle qui devint mou, sort de ma chatte et tombe sur son ventre. AAHHHHHHH.... Gros soupirs! Je vous raconterai bien les fois où j’ai attendu plusieurs minutes usant de caresses et de post-préliminaires pour faire renaître cet appendice flasque. Mais là n’est pas la question, le problème n’était pas résolu, je suis encore en famine de jouissance et je ruminais ma frustration couchée sur le dos entendant les ronflements de satisfactions de mon faible homme. GRRRRR PFFFFF !!!

Anecdote : Je me souviens de certaines séances de masturbation furtive lorsque je me trouvais au travail. Parfois, mon vagin se crispait tout seul, subissant des crampes vaginales comme on peut

Night of slow

en avoir au mollet [la contraction du muscle était semblable, mais la douleur beaucoup moins forte], cela me rendait complètement folle au fur et à mesure que la journée progressait. J’essayais tant bien que mal de me concentrer sur mon travail, je serrais les cuisses espérant faire disparaître ces terribles contractions. Je bougeais sur ma chaise comme si j’avais une envie urgente d’aller aux toilettes. Mon clitoris était engourdi, tellement je serrais les cuisses, le sang n’affluait plus dans cette zone. Le simple frottement de ma culotte sur ma petite bille de chair finissait par me donner envie de me toucher.

Le visage figé, les mains sur mon clavier je corrigeais les textes, mais mes pensées voguaient sur les possibilités de trouver un endroit calme ou je pourrais aller me soulager et surtout calmer cette envie subite de jouissance. Après plusieurs minutes de ce supplice, n’en pouvant plus, je dis à mon patron que j’avais besoin d’aller faire un tour aux archives pour récupérer des documents. Je savais que j’avais 15 bonnes minutes devant moi. Une fois la porte refermée derrière moi, je me dépêchais de trouver un endroit ou me cacher. Je n’avais pas de temps à perdre et je devais faire très vite. Des étagères remplies de dossier en tout genre ornaient la salle et une grosse caisse de bois était dans le fond de la pièce. Il faisait, sombre le plafond n’était pas très haut et une odeur de renfermé complétait l’ambiance. Mais je m’en foutais ce que je voulais, c’était de retirer rapidement cette culotte qui frottait de plus en plus sur mon sexe palpitant d’envie. Allant d’un pas pressant vers la grosse caisse de bois, je m’y suis assise sur le rebord ramenant mes cuisses jusqu'à mon torse et m’écartais largement les jambes. Ma jupe de coton noir avait complètement glissée jusqu'à mon ventre laissant mon entre-jambe totalement à nu. Mes doigts écartèrent rapidement le petit tissu de coton blanc de ma culotte, de mon autre main je commençais rapidement à frotter mon clitoris qui tressaillit de plaisir instantanément. Aussitôt, mes doigts se mirent à agresser violemment et rapidement mon clitoris, tellement intensément que la sensation en devenait douloureuse. Malgré l’incontrôlable envie de jouir, je dus me résoudre à me stimuler plus doucement usant d’un autre stratagème. Les fesses bien placées sur le rebord de la caisse de bois, je fis rentrer mon majeur et mon index dans mon vagin complètement mouillé de liquide.

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Night of slow
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