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[f.e.e.] |
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Parfois
comme
une
junkie
en
manque
de
sa
dose,
je
partais
à
la
recherche
d'un
objet
phallique
pouvant
combler
temporairement
ce
manque
cruel
que
mon
vagin
réclamait.
Les
plus
bizarres
des
objets
ont
servi
pendant
cette
période
de
disette.
Vous
ne
pouvez
pas
vous
imaginer
tout
ce
qui
peut
vous
passer
par
la
tête
juste
à
regarder
un
concombre
ou
une
banane.

Anecdote
:
Un
soir,
j’étais
seule
chez
moi
et
une
envie
de
jouir
me
réveilla
en
pleine
nuit,
encore
une
fois
les
incessantes
contractions
vaginales
me
rendaient
complètement
folle.
Pour
calmer
ce
manque
intense,
je
me
suis
mise
à
la
recherche
d’un
objet
phallique.
J’ai
cherché,
fouillée,
puis
en
ouvrant
mon
frigo
j’ai
vu
ces
bananes.
«
Oui
je
sais!
»
Un
petit
moment
d’hésitation,
j’analyse
l’objet,
je
vois
comment
l’utilisé
et
je
retourne
avec
empressement
dans
mon
lit.
Je
soulève
ma
robe
de
nuit
et
passe
mes
doigts
à
l’entrée
de
mon
vagin
pour
vérifier
sa
lubrification.
Je
suis
bien
trempée,
comme
à
chaque
fois
que
cela
se
produit.
Ni
une,
ni
deux
la
banane
s’engouffre
dans
mon
vagin
impatient
d'être
comblé.
Je
fais
la
grimace,
car
c’est
très
froid.
Mais
cela
ne
m’arrête
pas,
je
stimule
mon
clitoris
faisant
rouler
la
bille
de
chair
sous
mes
doigts
agités.
La
banane
pénètre
facilement
ma
chatte,
je
sens
le
froid
sur
mes
muscles
vaginaux
qui
n’ont
de
cesse
de
se
refermer
fortement
autour
du
pauvre
fruit.
Je
le
sens
même
en
train
de
se
tordre
en
moi
à
cause
de
mes
fortes
contractions
vaginales.
Avoir
ce
fruit
en
moi
n’est
pas
très
confortable,
j’ai
l’impression
qu’il
ne
se
place
pas
bien
dans
mon
vagin,
il
est
poreux,
rien
à
voir
avec
un
dildo
ou
une
vraie
verge
chaude,
mais
je
n’ai
que
cela
pour
me
satisfaire.
Au
bout
de
quelques
minutes,
je
jouis
et
réussis
à
calmer
les
crampes.
Lorsque
je
retire
la
banane
de
mon
vagin,
elle
est
littéralement
coupée
en
deux
et
ne
tenait
que
par
la
pelure
repliée,
j’en
étais
surprise.
J'en
ris
aujourd'hui,
même
si
je
trouve
cela
pathétique,
mais
que
voulez-vous,
on
fait
avec
ce
que
l'on
trouve
sous
la
main.
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Anecdote
: Quelques
années
plus tard
dans un
autre emploi,
j’avais
dans ma
sacoche
un gros
vibrateur
de métal,
je partais
me cacher
dans l’arrière
boutique
et je plaquais
l’objet
entre mes
jambes sur
le tissu
de mon jean.
La vibration
était
tellement
intense
que je jouissais
dans les
5 premières
minutes.
Il pouvait
m’arriver
de répéter
ces séances
plusieurs
fois dans
la journée
au travail.
Je ne peux
pas toutes
vous lès
racontées,
car cela
s’est
produit
plusieurs
fois sur
de très
longues
années,
il fallait
que je me
soulage
plusieurs
fois durant
la semaine.

Anecdote
: La journée
finissait
au bureau,
j’étais
seule avec
ma collègue,
son bureau
était
beaucoup
plus loin
que la réception
où
j’étais
installer.
Je terminais
un devis,
lorsque
de violentes
contractions
vaginales
se mirent
à
agresser
mon ventre.
Je me tordais
sur ma chaise
essayant
de les faire
partir,
mais rien
à
faire. Dans
ma tête
je me disais,
«
Oh non!
Pas là!
Pas tout
de suite,
je n’ais
pas le temps
pour ça!
»
Mais mon
sexe ne
voulait
rien savoir
de mes élucubrations.
Je
serre les
cuisses,
je lès
croisent,
lès
décroissent
dans l’espoir
de calmer
le cirque
qui se produit
en moi.
Je soupire,
je n’arrive
plus à
travailler,
au bout
de quelques
minutes
infructueuses,
regarde
vers le
bureau de
ma collègue,
réfléchie
rapidement
et d’un
geste vif
retrousse
le tissu
de ma robe
sur mon
ventre,
écarte
complètement
les cuisses
lès
ramenant
presque
sur les
accoudoirs
de mon fauteuil
à
roulette.
Une main
sur mon
bureau et
l’autre
fouillant
profondément
l’intérieur
de mon vagin,
je m’infligeais
une sauvage
pénétration
de l’index
et du majeur.
La paume
de ma main
bien pressée
sur mon
clitoris,
je frottais
l’ensemble
de mon sexe
pour le
faire exploser.
J’étais
en suspense,
exécutant
des gestes
de façon
méthodique,
le regard
braqué
vers le
bureau de
ma collègue
afin de
...»
Suite
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