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[f.e.e.] |
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Dans
la
fulgurante
explosion,
ma
jambe
gauche
s’était
levée
dans
les
airs,
je
ne
tenais
plus
que
par
mon
pied
droit
qui
trembla
longuement.
Mon
pied
gauche
pointait
le
plafond,
ma
chaussure
s’était
presque
retirée
de
celui-ci
et
ne
tenait
que
par
le
bout
de
mes
orteils.
Je
continuais
de
me
stimuler
malgré
la
forte
jouissance
que
j’étais
en
train
de
recevoir.
Je
voulais
la
faire
durée
plus
longtemps
tellement
elle
fût
bonne.
Mon
pouce
roulait
toujours
à
l’intérieur
de
mon
anus.
C’était
tellement
bon,
tellement
fort
que
je
continuais
de
trembler
de
partout.
Je
repris
mes
esprits,
doucement
les
sensations
de
chatouillement
diminuèrent,
le
calme
se
fit
sentir,
mes
doigts
lâchèrent
leurs
emprises
sur
le
bouton
de
chair.
Celui-ci
sursautait
encore
du
plaisir
reçu,
mon
ventre
brûlait
à
cause
de
la
chaleur
de
l’orgasme,
mon
anus
se
resserrait
par
pulsations
autour
de
mon
pouce
qui
était
immobile
à
présent.
Calmer
je
retournais
à
mon
bureau
essayant
de
garder
un
air
décontracté.

Anecdote
:
Les
archives
étaient
devenues
mon
refuge,
j’y
suis
souvent
allée
faire
des
recherches.
Parfois
lorsque
je
décroisais
les
jambes
du
dessous
de
mon
bureau,
mon
clitoris,
mes
petites
lèvres
étaient
complètement
engourdies.
Oui
engourdi
comme
lorsque
vous
dormez
sur
un
bras
et
que
vous
le
sentez
lourd
ou
mort.
En
me
levant,
je
sentais
le
sang
affluer
vers
mon
bas-ventre
et
les
micros
veines
de
mon
vagin
reprendre
vie,
mon
clitoris
pétillait.
Je
vous
jure
cette
sensation
est
vraiment
bizarre.
Imaginez
la
même
sensation
que
vous
avez
lorsque
votre
bras
engourdi
reprend
vie.
C’est
exactement
la
même
chose,
mais
à
l’intérieur
de
votre
vagin,
la
sensation
en
est
débile.
C’est
comme
si
on
vous
avait
introduit
un
vibrateur
qui
vous
envoie
un
courant
électrique
qui
affluait.
Alors
je
vous
le
dis,
je
n’en
pouvais
plus,
jucher
sur
mes
talons
hauts,
je
descendais
les
escaliers
qui
menaient
aux
archives
assez
rapidement.
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Une
fois n’ayant
plus la
grosse boîte
en bois
pour m’asseoir,
je dus rester
debout.
Les jambes
bien écartées,
les pieds
en équilibre
dans mes
jolies sandales
d’été.
Je descendis
ma culotte
jusqu’à
mes chevilles
et glissait
mes doigts
entre la
fente moite
de mon sexe.
J’écartais
de mes doigts
mes lèvres
et y insérait
un à
un mon majeur
puis mon
index. De
l’autre
main il
n’était
pas rare
que je déboutonnais
ma chemise
permettant
à
mes seins
de recevoir
des
caresses.
Ma longue
jupe en
nylon était
retroussée
et tenait
sur le rebord
de mes hanches.
Je bougeais
rapidement
mes phalanges
dans mon
vagin, ils
rentraient
et sortaient
dans un
va-et-vient
extrêmement
vif. Je
pinçais
mes tétons,
empoignais
mes seins
à
tour de
rôle.
Mon corps
se penchait
en avant,
j’aurais
pu être
prise en
levrette
positionnée
ainsi. Mes
fesses bougeaient
sous la
pénétration
profonde
de mes doigts,
mon ventre
se contractait
pour faire
grandir
le plaisir.
Je me concentrais
sur tous
les ressentis
que m’envoyait
mon sexe.

Encore
une fois,
je devais
faire vite,
très
vite.
Pas
le temps
de pensée
à
un quelconque
scénario.
Je passais
mes doigts
en alternance
de l’intérieur
de mon vagin
à
la stimulation
de mon clitoris.
Je roulais
mon clito
entre mes
doigts quelques
secondes,
puis je
retournais
pénétrer
mon vagin.
Je fis ce
mouvement
jusqu'à
ce que mon
clitoris
palpite
si fort
que je pouvais
le sentir
frapper
sur la paume
de ma main.
AAAHHH!!!!!
Je sentais
monter l’orgasme
en moi,
il allait
exploser…
J’écartais
encore plus
les cuisses,
mes fesses
se relevaient
vers le
plafond,
mes doigts
baisaient
encore et
encore mon
vagin. Le
visage relevé,
je respirais
de façon
saccadée,
l’empressement
de mes mouvements
fit enfin
exploser
mon orgasme.
Mon corps
tremblait
quelques
secondes
et je me
remis de
mes émotions
en un clin
d’œil.
...»
Suite
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