|
[f.e.e.] |
 |
|
Anecdote
:
Les
toilettes
étaient
aussi
un
endroit
où
me
réfugier
pour
me
calmer.
Debout,
une
jambe
relevée
sur
le
bol
des
toilettes,
j’avais
au
préalable
retiré
ma
petite
culotte,
retroussé
ma
jupe,
les
fesses
bien
relevées,
j’enfonçais
de
la
main
gauche,
mon
index
dans
mon
vagin
et
mon
majeur
dans
mon
anus.
Avec
ma
main
droite,
je
commençais
une
très
rapide
stimulation
de
mon
clitoris.
Je
savais
que
je
n’avais
que
quelques
minutes,
il
fallait
faire
vite,
même
très
vite.
«
Vite,
aller
vient,
dépêche-toi!
»
Voilà
ce
que
je
me
suppliais
à
répétition
dans
ma
tête,
je
parlais
à
mon
orgasme
pendant
que
je
brutalisais
mon
clitoris
tout
en
enfonçant
mes
doigts
dans
les
orifices
que
je
leurs
avait
attribué
les
faisant
aller
et
venir
sauvagement.
Je
me
dépêchais
pour
faire
grimper
la
jouissance.
Je
la
voulais,
je
voulais
me
libérer
de
cette
terrible
envie
de
jouir.

Mes
oreilles
étaient
attentives
aux
moindres
bruits
autour
de
moi,
j'avais
la
chienne
que
quelqu'un
frappe
à
la
porte.
Mes
mouvements
étaient
brusques,
rien
de
sensuel,
je
n’avais
pas
le
temps
d’imaginer
un
scénario
quelconque
encore
une
fois,
je
devais
jouir
à
tout
pris
là,
maintenant!
Les
muscles
de
mon
vagin
se
crispaient
autour
de
mon
doigt,
j’avais
des
chatouillements
partout
à
l'intérieur
de
mon
sexe.
Mon
clitoris
sursautait
sous
la
forte
rotation
de
mes
doigts,
la
jouissance
montait,
montait,
mes
pieds
se
dressèrent
sur
leurs
pointes
sentant
l'orgasme
arriver
comme
pour
l'aider
à
monter
plus
vite.
Mes
doigts
tournaient,
pressaient
à
une
vitesse
folle
sur
le
pauvre
bouton
de
chair
qui
finit
par
exploser
dans
un
orgasme
violent.
«
AHHHHHH!
»
Mon
corps
convulsait,
mes
jambes
tremblaient,
mon
cœur
battait
dans
mes
oreilles
et
j'étouffais
mon
cri
de
plaisir
libérateur.
Ma
respiration
était
saccadée
comme
si
je
venais
de
faire
une
course.
À
peine
la
jouissance
terminée,
je
me
remettais
rapidement
de
mes
émotions,
mes
joues
étaient
rouges
du
plaisir
reçu,
mais
surtout
du
stress
des
quelques
dernières
minutes.
|
|
 |
|
|
|
Je
remis ma
culotte
et retournais
m’asseoir
à
mon bureau
comme si
de rien
était.
Cette fois-là,
en rentrant
chez moi,
je me suis
rendu compte
que je m'étais
blessée
avec mes
ongles,
un petit
morceau
de peau
au niveau
du clitoris
avait fendu
tellement
mes doigts
avaient
été
rapides.
Je ne m’en
étais
vraiment
pas rendu
compte pendant
ma séance
de masturbation.
Ce type
d’exemple
ne fut pas
le 1er ni
le dernier,
je me suis
souvent
retrouvée
dans cette
position
pour calmer
cette frustration
qui me tiraillait
la chatte.
Bien
sûr,
je me masturbais
très
fréquemment,
c'était
même
devenu un
remède
à
mon mal
et à
ma frustration
sexuelle.
Je vous
disais plus
haut que
parfois
la nuit
je me réveillais
avec l'envie
irrésistible
de me faire
pénétrer.
J'avais
envie de
jouir, d'exploser
et mon cerveau
me harcelait
sans arrêt.

Certains
matins,
je me réveillais
avec un
gros manque
sexuel dû
à
un rêve
érotique.
Ma chatte
était
en chaleur,
elle se
contractait
comme si
elle venait
d’avoir
un orgasme
intense.
Et pourtant
non ! Je
me réveillais,
humide,
en sueur,
encore toute
chamboulée
par les
sensations.
Mon rêve
avait l’air
si réel
que je pouvais
ressentir
les sensations
d’une
verge qui
me pénètre
la vulve
et le plus
fou c’est
que je lès
subissaient
encore les
pénétrations
après
mon réveil.
Même
les rare
fois que
cela me
procurais
un orgasme,
c’était
loin d’être
satisfaisant,
car c’est
un peu comme
lorsque
vous rêvez
que vous
avez soif,
que vous
avez la
bouche collée
au robinet,
l’eau
coule dans
votre gorge,
vous sentez
l’eau,
sa fraîcheur,
mais elle
n’étanche
pas votre
soif. Ouf!
Alors, devinez
ce que je
faisais…
Je me masturbais
pour calmer
ma chatte
pour la
faire taire.
J’avais
de ces rêves
débiles
1 à
2 fois par
mois.
...»
Suite
|
|
 |
|