Frustration sexuelle quand tu me tiens
[f.e.e.]

Je n’en revenais pas à quel point je mouillais. Tout à coup, mes doigts furent happés par une contraction violente de mon vagin. Mes phalanges se plièrent sous la pression tellement la contraction fut forte. La paume de ma main, qui elle frottait sur mon clitoris offrait une caresse plus subtile et moins agressive. Mon clito répondit rapidement à ce massage, mes deux doigts quant à eux, combattaient les serrements constants de mon vagin. À chaque fois, que mes phalanges frottaient la chair tendre, les muscles vaginaux se refermaient automatiquement sur eux, lès compressant. Au fur et à mesure que je me caressais, les contractions se calmèrent et mes doigts purent enfin se mouvoir à leurs guises. Je me masturbais à une vitesse folle, prenant bien soin de tendre l’oreille aux moindres bruits aux alentours. Je me dépêchais de jouir, car je ne voulais pas que l’on me surprenne accoutrée de la sorte. Quelle honte cela serais!

Plus je me touchais, plus je mouillais. La sève de mon sexe coulait entre mes fesses, elle dégoulinait jusqu'au sol. Je donnais des poussées du bassin essayant de forcer la jouissance. Je voulais qu’elle monte et qu’elle explose là maintenant. Mais elle était capricieuse, pourtant mon sexe ressentait tellement ce besoin d’exploser. La main gauche toujours à l’intérieur de mon vagin, je décidais d’accélérer le processus, je n’avais plus de temps devant moi. Je callais solidement mes talons sur le rebord de la caisse de bois, surélevant les fesses, retirais mes doigts de mon sexe, portais mon pouce à ma bouche, le suçais puis les cuisses bien écartées, le bassin surélevé, je fis glisser ma main gauche en dessous de mes fesses jusqu'à mon sexe. Ma main se fraya un chemin vers l’auréole entre mes fesses que je frottais par de petits mouvements circulaires de mon pouce. L’auréole réagissait sous la caresse, le petit anneau de chair se dilatait et se contractait à chaque fois que je pressais mon doigt dessus. Une fois bien dilaté, j’enfonçais mon pouce complètement à l’intérieur de mon petit cul qui l’aspira rapidement. De ma main droite, je fis glisser mon index et mon majeur dans les replis chaud et moite de ma chatte, la paume de celle-ci toujours bien collée sur le haut de mon pubis pressant sur mon clitoris. De cette façon, je pouvais stimuler à mon aise mes deux orifices qui ne demandaient qu’à être remplis. Avoir ses deux doigts bien pénétrés à leur place respective, me permettais d’obtenir le maximum de sensation et surtout d’augmenter la montée de l’orgasme. La position n’était pas du tout confortable, mais j’étais doublement pénétrée et l’effet fut presque immédiat.

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J’étais doublement pénétrée et l’effet fut presque immédiat. Des ondes de plaisirs qui étaient restées coincées dans mon clitoris se dirigèrent directement vers le petit anneau de chair tendre que j’agaçais de mon pouce. Mon vagin réagissait en se resserrant à nouveau autour des mes doigts, qui agressait mon sexe violemment. Mes mouvements étaient tellement rapides, tellement fort que ma main soulevait mon bassin vers le haut. Toutes mes zones étaient stimulées en même temps, mon pouls s’accéléra, mes tempes cognaient, j’avais chaud. Mon cœur battait la chamade, mon sexe frémissait et ma tête s’était renversée vers l’arrière. Je ne tiens que par la pointe de mes talons en total équilibre, je veux cet orgasme, je le veux tout de suite. J’ai besoin de me libérer de cet état physique qui m’énerve.

Mon dos était légèrement accoté à une étagère pleine de dossiers. Je suis tellement concentré à me soulager que j’en oublie le ridicule de ma position. Je n’ose imaginer la réaction qu’un de mes collègues aurait eu en me découvrant ainsi. Au stade d’excitation où j’en étais rendu, je crois que je ne m’en serais même pas aperçu. J’en avais oublié les minutes et me concentrais sur les sensations qui remplissaient mon ventre, cette chaleur agréable qui réchauffe juste avant la montée de la jouissance. Les palpitations vaginales reprirent de plus belle, les milliers de petits chatouillements envahir mon clitoris, j’étais sur le bord d’exploser!

Mes jambes tremblaient de fatigue, mes abdos me faisaient mal, je ne voulais pas arrêter, je voulais jouir, calmer mon corps de cette frustration intense et enfin en être libérée pour l’après-midi. Je retirais mes doigts de mon vagin continuant à pénétrer mon anus de mon pouce. Mes doigts se placèrent directement sur mon clitoris qui se secoua au toucher, d’un mouvement très rapide je le maltraitais violemment. Plus je maltraitais mon clitoris, plus les pulsations vaginales s’amplifiaient, je pouvais sentir l’ouverture de mon sexe s’ouvrir et se refermer dans le vide comme une bouche qui avait terriblement faim. Soudain, dans un dernier effort, l’orgasme explosait en moi. Il irradie le fond de mon vagin et explosa complètement dans mon clitoris. Ma bouche s’était ouverte sous la puissance de l’orgasme. « AHHHH!!! Ouiiiiii! »

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